Le blog de BERNARD
Dans sa tenue, Sylvie ne pouvait guerre marcher et son imperméable, bien qu'il la protégeais des regards, excitait plutôt les convoitises de hommes et aussi de quelques femmes, son
collier de chienne était bien visible. Appuyée à mon bras, son équilibre précaire lui faisait une démarche hésitante et son dos raidi par le corset ne facilitait pas sa tâche, elle souffrait
de ses chevilles qui se tordait et tout les muscles des jambes était sollicités pour un travail encore jamais effectué. Après quelques centaines de mètres, je mis fin à son calvaire et je
hélais un taxi.....s'installer dans la voiture dans cette tenue était aussi une épreuve. Je vis le chauffeur régler discrètement son rétroviseur sur Sylvie et après un instant, je murmurai à
l'oreille de Sylvie. Elle déboutonna son imperméable et sa paire de seins apparus...je pelotais les pointes et lui écarta les cuisses; j'enfonçais un doigt dans sa moule entre les perles de
son string et je lui massais le clito. Le taxi mattais comme un gros salaud et caressait sa bite à travers son pantalon sans rien dire. Sylvie gémissais et couina comme une garce en
jouissant les yeux fermés. Le taxi content de ce petit spectacle me glissa une petite carte arrivé à destination, si vous avez besoin de moi, me dit il, à toute heure, n'hésitez pas...je suis à
votre disposition....j'emmène souvent des couples en club privé, j'ai l'habitude de ce genre de situation et j'adore ça...
Sylvie réajusta son imperméable, descendit de la voiture et pris mon bras...son allure hésitante et sa démarche mal assurée la rendait vulnérable et désirable, cette docilité m'excitai et me
donnait encore plus envie de la soumettre, je l'emmenai vers le porche d'un immeuble de pierre de taille à la façade austère, avec très peu de fenêtre sur la rue. Je sonnait à
l'interphone et dit aussitôt " Bonjour, c'est Bernard " le petit déclic de la gâche électrique permis à la porte de s'ouvrir.. Je poussais Sylvie devant moi qui trébucha et manqua de
tomber...Je la rabrouais vertement et lui promis une autre correction si elle ne faisait pas plus d'effort pour mieux se tenir....au fond d'un couloir nous entrâmes dans une petite cabine
d'ascenseur, qui nous descendit au niveau -2, nous sortimes dans un autre couloir avec des murs de pierre, voûté et étroit....une grosse porte de bois cloutée, entrebâillée, nous fit entrée dans
un petit salon..."enlève ton imper...." ordonnais-je.... elle se retrouva en corset, les seins offerts sur son balconnet, les grosses jarretelles tiraient ses bas couture impeccablement et ses
talons aiguilles vertigineux lui cambrai le cul et faisait ressortir ses fesses, le string de perle disparaissait dans sa chatte...elle avait conscience de ce que sa tenue impliquait et
l'exhibition de son corps et de sa soumission l'excitait au plus haut point.
Un vieil homme rentra dans la pièce et s'adressa à moi sans autre forme de politesse:
"Tu l'as depuis peu je crois? J'ai eu Odette au téléphone....elle m'a racontée votre visite de cette après-midi..."
Oui lui répondis-je, je ne dresse Sylvie que depuis hier....mais elle est très prometteuse...seulement, ... tout reste à faire..
Michel, c'était le prénom du vieil homme, tourna lentement autour de Sylvie, son oeil de faucon examinait méticuleusement la nouvelle venue...".Oui...dit il, cela pourrait convenir..... tu
es sur qu'elle n'a jamais été dressée? elle à signée son contrat ?
Non, nous n'en sommes vraiment pas là....Il faut la faire percer, elle n'as jamais été travaillée, ni par la l'anus, ni par la gorge, pas même des tétons... elle ne sait pas même marcher et se
tenir...tout est vraiment à faire, vraiment....
Michel, je suis venu pour savoir ce que tu penses du sujet et si peut être Mahmoud pouvait lui faire le cul..? Je crois que Odette sera ravie de se charger de sa tenue et pour les
bonnes manières tu me sembles tout indiqué...Michel se rapprocha de Sylvie, il la tira en arrière par les cheveux et lui arracha un petit cri vite réprimé, son autre main lui serrait le cou sur
son collier de chienne, la peur se lisait sur le visage de Sylvie et il en parut satisfait...oui dit-il cela peut se faire...Il lui tripota alors le cul, les cuisses, les mollets, le ventre,
les seins....un peu comme un cheval à la foire, il la pencha en avant en appuis sur le dos du canapé, écarta un peu les jambes, et en crachant dans sa main,il lui écarta l'anus et la doigta
méticuleusement,.....Mahmoud ne pourra pas la prendre sous sa coupe tout de suite déclara t'il, il lui faudra la valise n°2...10 jours... sinon il la déchirerait...et ce serai dommage
en effet, elle me parait très bien...bon j'en parlerais ce soir à la réunion, mais tu peut considérer que cela sera accordé...je m'en occupe...il fit redresser Sylvie d'une claque sonore sur les
fesses à l'endroit de la correction du matin, elle tressaillie et gémie de douleur,
"Vous verrez ma petite" lui dit-il, "vous prendrez très vite beaucoup de plaisir à tout cela, je vous assure et Bernard sera parfais...c'est exactement ce qu'il vous fallait,
vous avez eu beaucoup de chance....."
Des hommes arrivaient par petits groupes et tout en saluant Bernard ne firent pas plus attention à Sylvie que si elle n'existait pas,...chacun connaissais les règles et les codes, une femelle ou
un jeune mâle n'étaient pas disponible tant qu'il ou elle n'était pas marqués. La cérémonie de marquage indiquait ensuite par de savants codages le degré de disponibilité du soumis ou
de la soumise.....Il fallait ensuite demander une réservation au secrétariat du club ou bien voir directement avec le propriétaire de l'esclave.
Bernard sortis de sa poche une laisse de cuir rouge, il l'attacha au cou de Sylvie et lui dit "Une petite visite..?"
Elle hocha la tête doucement, prudente et curieuse de savoir ou elle se trouvait....
Au bout du petit salon, une alcôve tendu d'un rideau de soie noir s'ouvrait sur une grande cave voûtée, au centre une scène avec des accessoires dont Sylvie ne connaissais encore pas tout les
usages, de nombreux canapés ceinturaient la grande pièce et d'autres encore formaient de petits cercles qui permettaient aux habitués de se réunir par affinités ou par caprice du
moment...Un bar terminait le fond de la pièce avec de grand tabouret, certain un peu étrange, tout les meubles étaient en fait un peu bizarre et avaient d'autres usages que leurs usages
habituels...
"Tu découvriras tout cela plus tard..lui dit - il ..." Nous n'en sommes pas encore là ! rentrons maintenant...."
Mr Gilbert avait bloqué la porte avec un petit panneaux "hors service", et il fallait aller sonner à la loge pour pouvoir rentrer, il maugréa un vague prétexte de maintenance et nous laissa
passer par sa loge, il avait remarquer de suite les talons aiguilles de Sylvie et son collier de tour de cou, il transpirait à grosses gouttes et son érection déformait son pantalon de joggin's,
il bafouillais et bredouillait..."je vous l'avais dit Mr Bernard, une chaudasse, la classe hein..en deux jours, même pas...ah ...ah vous alors.... je vous respecte vraiment hein...faut savoir y
faire avec ce genre de pute..."
Nous disparûmes dans l'ascenseur....