Le blog de BERNARD

La bouche de Sylvie devra être disponible au moins autant que la chatte et l'anus, c'était la règles du club. C'était à moi qu'il revenait de la rendre praticable par tous. Il lui fallait prendre de la bite au fond de la gorge aussi facilement que dans la chatte. Cela nécessitait un véritable apprentissage, c'était une technique, il fallait travailler....une cagoule à pipe lacée derrière la tête permettait de fixer des queues de latex de différentes tailles, et presque tout le jour l'habituer, à respirer par le nez, la bouche pleine, en alternant les diamètres et les longueurs, les plus profondes lui provoquait des hauts le coeur et pouvait aller jusque la faire vomir, il fallait alors la laver, recommencer et recommencer encore, chaque jour des progrès lui permettait de prendre de la bite en bouche, on pouvait alors la renverser sur un sling et la tête penchée en arrière, bien caler à hauteur de bite, la limer furieusement jusqu'au fond de la gorge en lui tenant la tête, elle bavait et prenait de petites apnées pour ne pas être étouffée par le dard.
Le fait de commencer à prendre de la bite en bouche copieusement et de s'initier à la gorge profonde la motivait et il arrivait qu'elle se jette et s'empale elle même jusqu'à la glotte sur mon dard. Elle en ressortait à demi-asphyxier, toute rouge et toute bavante, son maquillage coulait quand cela la faisait pleurer mais on pouvait lire dans son regard la satisfaction de savoir soulager son mâle en rut qui s'excitait à se vider au tréfonds sa gorge. Je lui faisait porter un écarteur de mâchoire qui la maintenait  bouche ouverte et qui détendait et assouplissait les muscles de sa bouche. Je lui dit qu'elle pourrait avoir à pomper du gros diamètre et qu'il fallait s'y préparer. Son écarteur de bouche lui faisait mal
mais il lui permettait aussi d'être plus endurante bouche grande ouverte. Elle devait se préparer à de longue soirée ou elle devait être disponible de la bouche et un peu comme un sportif, un entraînement physique intense était nécessaire. Des positions humiliantes devront être gardées, baissée en avant, jambe tendus, croupe offerte avec des talons aiguilles de 15 cm, en se faisant ramonée ou en bouffant de la bite, c'était un exercice très éprouvant physiquement. Il y avait aussi un petit groupe d'éducation anglaise qui allait la corseter au delà du raisonnable dans de véritable camisole de satin, de cuir et de dentelles...le souffle coupé par le serrage, il faut un bon entraînement pour pouvoir ensuite contenté sexuellement les mâles fétichistes devenus fou d'excitation par la contrainte imposée par la tenue.

Son plug anal en 55 mm était de mieux en mieux supporter et je sentais qu'elle commençait prendre du plaisir à ses séances de godage. La fessée sur le cul était devenus son quotidien et petit à petits je la dressais aussi de la chatte en lui fouettant l'entre cuisse, je lui passais le clito au martinet et ses tétons percés était travaillés à la pince à seins réglables. Elle me craignais et  pourtant chaque fois, je constatais qu'elle était trempée de la chatte, cela la faisait mouillée comme jamais. Elle avait découvert que dans la soumission et le dressage, toute la part de masochisme qui était en elle pouvait s'épanouir en une jouissance décuplée. Je la cagoulais et l'attachait aussi très régulièrement pour qu'elle comprenne  l'évidence de sa soumission. Des que je la sentais un peu rétive, une grosse correction et un dressage à la bite la remettais vite dans l'axe. Je la doigtais souvent à l'improviste, de la chatte, de la bouche ou du cul, manière de lui faire voir qu'elle m'appartenais.
Dim 19 jui 2009 Aucun commentaire