Le blog de BERNARD

Gilbert sortait maintenant Sylvie de plus en plus longtemps, elle devenait endurante et supportait ses talons sans plus de problème, seule la marche était lente, ce qui n'était pas pour déplaire à Gilbert qui marchait légèrement en retrait pour bien lui mater le cul, il astiquait souvent son gourdin par une de ses poches de pantalon qu'il avait percée à cet effet..et bien qu'il n'en avais pas le droit, il la pelotait le plus possible des qu'il pouvait, c'était plus fort que lui.
 Sylvie n'avait aucun droit et ne pouvait pas se plaindre...se rebiffer, même devant Gilbert, elle n'en avait pas le droit...
Lui savait qu'il risquait gros mais le vice était plus fort que la crainte de la punition...et lorsque je choisissais le matin une mini-jupe pour la promenade, il me fallait lui mettre sa ceinture de chasteté cadenassée  pour qu'il ne la baise pas dans quelque impasse ou buisson de jardin public. Je lui faisait mettre un rouge à lèvres spécial anti-pipe qui indiquait tout frottement sur les lèvres, il ne pouvait donc pas non plus la mettre à la pipe. Une paire de gant-bracelets avec de petits cadenas complétait la tenue. On ne pouvait pas non plus les ôter et les gants étaient revêtus d'un produit qui laissait un marquage visible deux à trois jours. Impossible de se faire branler le manche à couilles.
Il ne lui restait que sa bite à branler dans sa poche.
Un matin, alors qu'ils n'étaient pas encore rentrés, je croisais Marc sur le palier. Il vivait seul maintenant dans l'appartement de sa mère, puisque Sylvie désormais habitait chez moi.
Faisons un peu mieux connaissance, lui dis je, tu m'offre un verre...?
Il acquiesça un peu gêné et j'eus le sentiment qu'il ne voulait pas me laisser entrer.. je forçais un peu le passage et lui dis
"je ne suis pas un sauvage tu sais.." ... je peut t'assurer que ta maman est très heureuse avec moi...Il referma la porte un peu embêté, enleva son grand manteau style gothique et me jetât  - "Ce n'est pas ma mère....c'est une des ex-femmes de mon père et lorsqu'il est parti, il m'a laissé chez elle, et elle m'a élevée..."
"Je sais ce vous en faites, et cela m'est égal.....elle m'a dit en effet que c'était son souhait et sa vrai nature.. elle est majeure hein ricanât-il...après tout cela ne me regarde pas..."
Nous nous assîmes dans le canapé et je compris alors en le voyant devant moi, ce qui me faisait bizarre et que je n'arrivais pas bien à cerner, ....ce qui modifiait son visage, c'est qu'il s'épilait les sourcils...... Il se leva pour aller chercher des verres et je m'appercu alors qu'il portait un petit pantalon vraiment trop moulant qui n'avait pas de poches arrières, son petit cul était mis en valeur et les deux petites fesses bombées étaient bien séparer par la pantalon qui lui rentrais dans la raie des fesses...un petit tee-shirt brillant le moulait, il amena un plateau, une bouteille et deux verre.
Soudain je vis clair, et j'éclatais de rire d'avoir été ainsi aveuglé...le dressage de la belle mère m'avait à tel point absorbé que je n'avais pas vu une chose à ce point évidente. C'était un petit homo, avec ou sans expérience, mais j'étais certain de son penchant pour le mâle. Je n'en fit rien voir et l'observais maintenant à la dérobée...Je finis mon verre et pris congé, je le pris par l'épaule, le frottais un peu, manière de le tester....il rougit et esquiva rapidement...
Je décidais de le surveiller de près. Je n'aurais pas de difficulté à le dresser aussi et cette perspective me banda la bite.
Sylvie qui rentrait fut corriger du cul sans attendre et je la sodomisait brutalement  à 4 pattes dans l'entrée avec des claques sur les fesses, elle couinait comme une truie et pour la faire taire je dis à Gilbert de lui bourrer la bouche. Sa bite qu'il astiquait depuis le matin était toute violette et veinée de bleu...j'ouvris la petite fenêtre sur la cour et je sus que Marc l'entendais gémir.....je déchargeais dans son cul en pensant aux petites fesses de la lopette...Gilbert, au signal lui remplie la gueule de foutre......Demain, il y aurai de quoi faire....

Lun 20 jui 2009 Aucun commentaire