marc-la-lopette

Le lendemain matin, je me réveillais assez tard, et l'odeur du café me sortie du lit...respectant les consignes qui m'avait été données, j'enfilais l'un de mes strings transparents qui ne cachait rien de mon petit sexe épilé, un peignoir rose vaporeux et diaphane me rendait bandante et enculable à souhait des le saut du lit, des mules à talons aiguilles et pompons rose  finissait de me donnez ce petit air de fille de bordel des années 20...
C'était le souhait de mon beau-père, son exigence absolue et non négociable, je devrais désormais être à sa disposition, du matin jusqu'au soir, en tenue de petite pute, soumise et docile, apprêtée en poupée sexuelle, disponible à touts les désirs du mâle, toujours prête à la saillie et gourmande de semence....ma mère qui ne souhaitait que le satisfaire et qui avait toujours partagée avec lui ses vices les plus pervers, avait validée ses désirs après avoir vérifiée que j'étais non seulement consentante mais terriblement motivée....
Le cul préparé, graissé et plein d'un rosebud de belle taille, j'entrais dans la cuisine ou Gérard, finissant son café, lisait un magazine de vidéo cochonne....son peignoir largement ouvert laissait sa bite bien en vu, sa grosse paire de couilles épilées servait d'écrins à son gros membre....

- " C'est aujourd'hui que tu prends ma bite me dit il en me saisissant par les fesses alors que je passais près de lui..ses grosses mains m'écartaientles lobes, il passât délicatement un doigt sur le rosebud, l'effleurant à peine avec une délicatesse que je ne lui connaissait pas... tu sais me dit il, même bien préparée comme tu l'est, tu vas bien la sentir ma grosse teub, je vais te remplir le fion comme jamais, tu vas jouir comme ta mère et comme toutes les autres, j'ai encore jamais rencontré de femelle qui n'en ait pas redemandée..."il me pelotait maintenant les pointes de seins et mes tétons étaient devenus tout durs et tout gonflés...

Prise par mes tétons, il me pinçât plus fort et me tira vers le bas, je fut obligé de me baisser jusqu'à ce que je sois à genoux, les yeux à la hauteur de son gros ventre velu qui contrastait avec son sexe entièrement épilé de près...son gros membre semblait encore plus impressionnant au repos, le diamètre était conséquent et le gland proéminent ressemblait à une grosse fraise que l'on avait envie de mettre en bouche...il savait la fascination que provoquait la vision d'un tel outil sur les femelles gourmandes de sexes, la taille démesurée de la paire de couille qui allait avec laissait augurer de la puissance de feu d'un tel arsenal, de plus, la possession d'un sexe aussi impressionnant induisait chez mon beau-père un comportement, une attitude, un regard qui soumettait instantanément la femelle qui y était confrontée, le désir de jouissance et la curiosité dépassaient chaque fois la crainte que pouvait inspirer un tel engin...

Docile et obéissante, je laissais parler mon instinct et je m'emparais du chibre géant encore flasque et dégonflé...

Dans cet état premier, je pouvais déjà percevoir la puissance sexuelle du mâle que la nature bienveillante avait pourvu généreusement... la bite de Gérard n'était jamais vraiment totalement au repos, elle semblait toujours assoupie mais prête à durcir instantanément, irriguée par de grosses et puissantes veines bleus qui la rigidifiait à la faire éclater à la moindre pulsion sexuelle du gros vicieux.

 J'avais sentie des les premiers instants ou je l'avais rencontrée que je pouvait faire naître chez lui de ces violentes et irrésistibles pulsions sexuelles qui en faisait un mâle dominant. Ce pouvoir était en fait bien mince, car contrairement aux autres mâles qui devaient séduire et faire preuve d'imagination pour parvenir a leurs fins, il faisait partie de ceux qui se serve sans demander, il était de la race des maîtres fait pour être servis et obéis...

il m'excitait encore plus non bandé, la douceur du gland et sa mollesse, le coté moelleux d'une verge à peine gorgée de sang, le plaisir qu'il y avait à la rendre gonflée de désir, dur comme de l'acier, débordante de sève, puissante d'une semence qui ne demandait qu'à jaillir, à s'introduire au plus profond des orifices de la femelle qui n'était plus alors qu'un receptacle à foutre....

En résumé, il me faisait mouiller du cul comme une chienne que j'étais et il le savait mieux que moi... 

Agenouillée devant lui, il se laissait suçoter distraitement  ent me tiraillant les tétons....

" - C'est aujourd'hui que tu prends du fion petite vicieuse, je vais t'agrandir l'anus avec ma belle bite d'homme...."

Je levais les yeux vers lui en grognant, un filet de bave aux lèvres, je tortillais du cul pour lui montrer mon consentement...je pipais comme une folle, astiquant le pieux pour le plaisir du mâle, mes joues se  creusaient,  l'aspiration de la grosse bite me mettait en transe et  ma langue s'enroulait sur la tige qui durcissait de plus en plus, je griffais les grosses bourses de mes grands ongles vernis comme ma mère me l'avait apprise, le mâle se raidissait sous mes doigts et pour le faire venir, mon index lui caressa l'anus, il se cabra et ses grosses mains m'attrapèrent la tête, une me saisissant puissamment la nuque pour me soumettre et l'autre me tirant par les cheveux, il s'enfonçât au fond de ma gorge et par de gros jets puissants, il me fit avaler sa semence épaisse et chaude, de belles giclées de foutre blanc, il ressortit un peu sa bite et en répandit sur mon visage, je me léchais les babines, gourmande et effrontée, je le regardais dans les yeux et je savais déjà qu'avec sa grosse bite, il me tenait plus sûrement qu'avec aucun autre moyen...

J'étais encore à genoux à nettoyer le gros dard lorsque ma mère entra dans la cuisine...

"Tu l'a déjà mise à la pompe mon salaud...dit-elle en souriant à son amant...elle se baissa pour m'embrasser et lécha un peu de sperme sur ma joue...et toi si tu te plaît vraiment dans ce nouveau rôle, dit toi bien que de la bite tu vas en prendre...et plus souvent qu'a ton tour...."  Elle nous roulât alors une pelle bien baveuse à chacun et se servit un café...