Vendredi 20 novembre 5 20 /11 /Nov 21:16

Moi, Léa la lopette, du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours été attirée par les hommes.
 Jeune pré-ado, dès les premiers émoi sexuels, mon attirance pour les dessous féminins, les dentelles et autres fanfreluches était déjà bien affirmée.
 Mon beau père, costaud et plutôt dominateur, très amateur de lingeries sexy exigeait de ma mère qu'elle en portes quasi quotidiennement.  Bien que fort jeune, je compris rapidement les demandes, même formulées de façons plutôt voilées de mon beau père à l'égard de ma mère. Il était intraitable sur ce sujet comme sur bien d'autre et participait de façons active aux choix des ensembles qu'il convenait de porter selon ses humeurs...ma mère s'y pliait de bonne grâce, contrainte et forcée parfois, le plus souvent ravie et motivée, gagnée par le virus qu'il lui avait inoculé...élégante et racée par nature, elle devenait sexy et provocante par jeux de connivence avec lui..et lorsque ma mère un peu inquiète de l'image qu'elle renvoyait, demandait un peu plus de discrétion à mon égard, il savait par je ne sais quels arguments, retourner la situation et la convaincre que pour un jeune garçon, la vision d'un couple unis et amoureux ne pouvait être que ce qu'il y avait de plus sain pour un développement harmonieux....et blablabla...  bla bla..
Ma mère, ne voyant pas venir de ma part la moindre récrimination ou manifestation d'une quelconque réprobation finit par penser qu'il avait sans doute raison. Mon beau-père ne se privait pas de la peloter sans vergogne, à la maison et même aussi dans les lieux public. Il aimait s'exhiber et exhiber ma mère. Les tenues sexy qu'elle portait  le mettait souvent en érection et si cela était possible, il ne s'en cachait guère...à la maison en tous cas, il était fier des bosses qu'elle provoquait au travers de son pantalon, et avec le temps, ma mère s'en offusquait de moins en moins et je finis par tous connaître de leurs petits jeux, leur vocabulaire et la façons dont cela se terminait.
Sans jamais avoir l'air de me douter de quoi que ce soit, je faisais très bien le jeune niais mais n'en perdais pour autant pas une miette. Comme tout les garçons de mon âge, le sexe m'intéressais au plus haut point. Je ne pensais en fait qu'a cela. Ils sortaient souvent et seul à la maison, j'allais aussitôt fouiller dans les tiroirs de lingeries de ma mère, toucher ces dessous, ces matières qui me faisaient tant d'effet.

C'est chez un copain qu'un après-midi, je vis pour la première fois un film porno. J'avais déjà vu des bribes de pornographie, des photos, des magazines...mais jamais, aussi explicitement, des fellations aussi détaillées, des levrettes, des sodomies et autres position....la bande son fut aussi une découverte de grognements, de feulements, de respirations, de gémissements qui me rappelèrent aussitôt des souvenirs de la maison...beaucoup de ses sons m'étaient connus et les images qui allaient avec complétaient mon puzzle...la plus grande révélation fut pour moi l'usage intime que l'on faisait de ces tenues que ma mère portait. Les strings écartés pour laisser passer les gros membres des hommes qui s'enfonçait dans des anus dilatés, les bouches bien peinte en rouge qui sucaient de grosses queues parcourues de veines bleutées..les ongles longs et vernis qui griffais des couilles bien remplis de jus..pas une femme qui n'était en bas et porte jarretelle..talons aiguille, cuissarde...toute la panoplie que mon beau-père faisait porter à ma mère prenait un sens nouveau et évident. Des morceaux de ce grand puzzle de la découverte de la sexualité se liaient de façons évidente et me plongeaiens dans des abîmes de perplexités.
Mon copain si en avance sur moi, me certifia que chez moi aussi, il devait bien y avoir de ces films là. Je répondis sans conviction par la négative, en me disant que oui, décidément la bande son, dans son genre ne m'étais pas inconnus..
Mais oui, me disait-il, ils mettent le film et ils baisent devant....il en était sur, c'est son grand frère qui lui avait dit...
Une autre fois, le grand frère, qui du haut de nos quatorze ans nous paraissait être un vieux avec ses seize ans passés nous appris la branlette devant le porno. Ils nous surpris devant un film et voulus alors nous montrer tout son savoir et sa supériorité, sans aucune gène, il sortis sa bite et commença à se branler.
 Bien que je me caressais souvent tout seul, intimidé par cette promiscuité, impossible de bander..mon copain lui y arriva très bien et le grand frère, avec une queue qui me sembla énorme se masturbais en respirant fort...ils virent tous les deux ma queue qui était si petite et toute molle, en rirent et se tournèrent vers le film...l'aînée mis le son plus fort et éteint la lumière, seule la lumière du film éclairais la pénombre de la pièce. Sans être vu de son petit frère qui s'astiquait sa bite dans un état second, le plus grand m'attrapa la main et la posa sur son gros sexe chaud que je sentis aussitôt se raidir, il garda sa main sur la mienne et la fit aller et venir lentement. Cela ne se voyait pas mais je devins rouge de honte, je voulus retirer ma main mais il la maintenait en serrant fort et le sexe dans ma main se gonflait encore, je ne bougeais plus, intimidé, gêné, ne sachant que faire...il le compris comme un accord, desserra sa main et me caressa les doigts doucement, en m'imprimant légèrement un mouvement de va et viens sur sa hampe..j'obéis sans trop réfléchir, envahis par une curieuse excitation que je ne connaissais pas, je découvrais un plaisir à tenir ce sexe, à y être contraint, à être l'instrument du plaisir d'un autre...comme un automate je continuais les aller et venus sur la verge si raidement tendus.... Je fut de nouveau surpris par sa main qui me pelota les fesses mais avant même que je ne réalise quoi ce soit, me mettre la main au cul le fit décharger aussi sec et de gros jet de foutre se répandirent sur le sol. Il s'éloigna d'un pas, alluma la lumière, et nous fis voir fièrement les giclées de semences qu'il avait put produire. Son petit frère qui n'avait rien vu de toute la scène, trop absorbé qu'il était par sa branlette,se retourna alors, désolé de ne pouvoir pas gicler a son tour. Le grand frère le rassura et lui dit que contrairement a moi qui ne bandait même pas, il était déjà un vrai homme lui...il avait pas déchargé, certes, mais il bandait bel et bien. Nous remontâmes les pantalons, le film fut éteint, le grand ordonna sechement au  plus petit d'aller au sous sol chercher de quoi nettoyer.
 Celui-ci fila sans broncher et resté seul avec moi, il me dit sans hésiter, tu branles mieux que ma copine, faudra que tu reviennes le mercredi après midi, je vais te donner des leçons, il me regardais dans les yeux et conclus, je sais que tu as aimer ça et moi j'ai adoré, alors tu fait pas d'histoire....
Le petit frère revint avec ce qu'il fallait pour nettoyer, il se mis a l'ouvrage et moi je restais la sans rien dire....
Nous repartîmes un peu penaud et mon copain me dis, tu sais mon frère, il fait le malin mais il est gentil en fait, ...nous nous séparâmes un peu après, encore tout chose de l'aventure que nous avions vécus...
De retour à la maison, après avoir plus ou moins décris mon après midi à ma mère sans lui raconter l'essentiel bien sur, je m'assis devant la table de la cuisine, feuilletant négligemment un programme de télé...ma mère préparais le repas face au plan de travail de la cuisine, et je lui matais le cul en détail...bien moulée comme le voulait mon beau-père, une jupe de tailleur à la coupe droite bien serrée, au dessus du genoux, dans un tissus légèrement satinée lui comprimais la croupe et dessinais pour qui savait être attentif, le petit triangle du string et l'empreinte des jarretelles qui descendait le longs des cuisses. Ses bas couture bien tendus et le talons renforcé finissais de confirmer aux amateurs qu'elle était en porte jarretelles, des escarpins à talons aiguilles la rendais vraiment bandante et son chemisier blanc un peut transparent ondulait sur sa grosse poitrine bien maintenus par un soutien gorge de dentelle noir qui mettais en avant par sa forme de corbeilles pigeonnante la grosse paire de seins.
Mon Beau-père rentra alors et sans même enlever son manteau, après un bonsoir à la cantonade, il l'attrapa fougueusement par les hanches, lui pelota le cul sérieusement, passa sur l'empreinte du string, tripota les jarretelles, comme pour vérifier leurs présences, lui retravailla le cul tout en lui roulant une grosse pelle baveuse, c'était leurs habitudes, il n'entendait pas en changer, il se plaqua derrière elle, imbriqué contre son cul,comme pour la prendre contre le plan de travail et lui faisait les seins de ses deux grosses mains en lui parlant à l'oreille..il se retourna vers moi, pour prendre quelque nouvelles et sa grosse érection se devinait sous son pantalon, il en était fier, s'exhibait, elle lui faisait alors quelques remontrance de façade, trouvant qu'il exagérais et il disais alors....mais enfin, il sait ce que c'est quand même..c'est un garçons non...? moi a son age....et il revenait se frotter contre la croupe, manière de bien conserver son érection..il me surpris ce soir la alors que je les matais bien vicieusement et il vit nettement mon regard posé bien fixement sur sa grosse bite...ma mère toujours de dos ne s'aperçut de rien...mais lui, depuis ce soir là, me regarda différemment et je fut gêner de son regard...







Par BERNARD - Publié dans : Gérard, mon beau-pére...
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés