Jeudi 26 novembre 4 26 /11 /Nov 22:56

Le cul trempé par l'excitation, j'étais dans un état second, ma première petite expérience avec Bruno ne m'avait pas provoqué le dixième des sensations que Gérard me faisait ressentir. Par le simple fait de me traiter comme il le faisait, de parler de moi au féminin, de m'habiller, de m'insulter, sa façons aussi qu'il avait de décrire très cruement les situations ou bien encore de se montrer ferme et dominateur, sans tendresse, cet avilissement de n'être qu'un objet sexuel et le désir qu'il avait de me faire subir un dressage qui n'avait d'autre but que de m'apprendre à le satisfaire sexuellement.. tout cela réunis me mettais dans un tel état et était pour lui si visible que j'en avait perdu sur le champ toute notion d'une quelconque résistance, j'avais perdu la partie avant qu'elle ne commence, il le savait trop bien et n'avait pas l'intention de perdre du temps avec mes éventuelles petites réticences, qui lui apparaissait comme des petits des détails sans importance...
Il savait depuis longtemps le plaisir intense qu'il donnait à ses partenaires et le pouvoir que cela lui conférait.
Toujours, ses proies devenaient consentante et le suppliaient à ses pieds pour que son gros sexe leur donne encore de la jouissance
Je n'étais pas son fils, il n'avait pas la dessus, la plus petite parcelle de scrupule.. et mes quatorze ans l'excitais à fond depuis qu'il m'avait pris en flagrant délit de suçage de bite. Si j'avais pu avoir cette relation pendant plusieurs semaines et pomper Bruno avec tant d'entrain, qui plus est, avec le petit string de salope de ma mère sur le cul et la bouche bien maquillée, dans son esprit, il n'était pas concevable qu'il ne puisse pas lui aussi, en profiter. Éloigner Bruno avait été si facile, maintenant, j'étais à lui, sa chose, son jouet... et il ne semblait pas non plus, par rapport à ma mère avoir le moindre état d'âme...Gérard était un gros vicieux, bien cochon, avec de gros besoins sexuels, il ne s'en cachait pas et même en présence de ma mère, il le revendiquait haut et fort...leurs amis étaient assez semblables à eux et ma propre mère était à n'en pas douter, une véritable salope... pour vivre avec un tel type, il fallait vraiment qu'elle aime le cul. Gérard avait de nombreuses maîtresses et ne s'en cachait nullement. Grisée des prouesses sexuelles de Gérard, ma mère se sentait fière de partager la vie d'un tel étalon...et son vice était aussi de se sentir lui appartenir totalement, elle aurait tout donnée pour satisfaire le moindre de ses caprices sexuels... 

A genoux devant Gérard, j'avais perdu toute notion de retenue tant ma position et mon attitude me semblaient naturelles.
Ce mâle en rut me semblait si fort, debout  devant moi, bien camper sur ses cuisses puissantes, son gros sexe qui tendait son slip de cuir à le faire craquer...juste à la hauteur de ma bouche... je réalisais à peine ce que j'étais en train de devenir..
Devinant mes pensées, il me dit sans aucune hésitation.... alors ma fiotte, t'es trempée du cul hein ? ça t'excite ma grosse bite... je suis sur que tu sens que les petites tapettes dans ton genre ça me trique la bite...ça fait longtemps hein, que tu me mattes la queue, ...  petite pédale... je vais faire de toi un véritable petit vide couille, une petite pompe à foutre, une chienne à bite pour vieux cochon...on vois dans tes yeux que tu cherches du mâle, t'es en chaleur comme une véritable petite femelle..  tout le portrait de ta mère... à partir de maintenant tu seras habillée en pute le plus possible et des ce soir, tu vas devoir apprendre à m'obéir....
Avant même que je n'ai pu ouvrir la bouche, il me lança une bonne gifle sur la joue...tu la ferme et tu obéis, je ne te le répéterais pas, je sais exactement ce que tu veux... tu vas l'avoir...je vais te dresser à la bite salope ! 
Il dégrafa d'un geste brusque le rabat clouté de son slip de cuir, en sortit son gros membre violacé et de son autre main il m'ouvrit grand la bouche en y introduisant deux doigts, il enfonçât sans la moindre précaution son gros gland dans ma gorge et m'empêchât de pomper ou de sucer en me bloquant la tête de ses deux mains... je suffoquais et me débattais, impuissant devant la force d'un tel colosse et la peur de braver une telle volonté,  je sentis que son désir était de me soumettre par sa force physique, mais surtout par son sexe, par la dureté et la taille de l'engin, par sa rigidité et son diamètre...
Sa bite bloquée au fond de ma bouche, je m'étouffais et commençais à défaillir, il desserra aussitôt l'étreinte et laissa passer un peu d'air dans mes poumons, le gros chibre servait de bouchon dans ma gorge et pouvait m'étouffer à la moindre pression du mâle sur sa queue. Le poids du dominant était un avantage certain, et ma frêle constitution ne pesait guerre dans le rapport de force. La 1ère leçons était que je n'avais aucun pouvoir, pas même celui de respirer, il était le maître et il décidais de tout, lui obéir était déjà une récompense...sa queue était son pouvoir...je serais sous son emprise...
Il me délivra de ce gros bâillon de chair et me fit reprendre mes esprits... j'étais toujours à genoux, il astiquait calmement sa pine devant mes lèvres et me dis enfin doucement ....aller ma salope, tu vas me faire voir ce que tu sais faire et tu auras du bon jus... de peur qu'il me regave la bouche, je le pris délicatement entre mes lèvres et entrepris de le pomper du mieux que je le pouvait...Il grognait en me tenant les cheveux et excité par cette première leçon, il me fit ouvrir bien grand la bouche et il lâcha sa semence épaisse par grosses giclées sur ma langue tendue.....je m'empressais d'avaler la liqueur et il me dit sans s'énerver, faudra vraiment que tu apprennes à sucer, tu sais rien foutre avec une bite dans la bouche...il me releva et me fit pencher en avant, appuyé contre le lit, il souleva mon déshabiller et écarta la petite culotte, la croupe ainsi tendue, il me pelota l'anus sans jamais y entrer...t'est toute trempée du cul, mais tu n'aura rien pour l'instant, tu n'es pas prète, je ne ferais que te déchirer, et ta petite chatte anale n'y résisterait pas...
mon cul offert à son regard et le malaxage de la zone anale portait ses fruits, j'avais tant envie d'être prise et de me sentir femme sous les coups de pilons du mâle que je gémissais, un feulement qu'il compris de suite, il crachat sur mon cul et introduit son index dans le conduit vierge de toute intromission...le bout du doigt seulement pénétra et tourna sur lui-même, le muscle circulaire céda sous la pression et son doigt me fouillat le cul, son autre main s'enfoui dans le déshabillé transparent et cherchait mes petits tétons, bandés par le frottement du nylon, il trouva mes petites pointes de seins et passait de l'une à l'autre, les tirants, les roulants du bout de ses doigts, les pinçant fermement ou au contraire les effleurant doucement...j'étais si sensible des seins qu'il en demeurât surpris et en fut d'autant plus persuadé que j'étais bien une véritable femelle...
Il travailla l'élasticité de l'anus, le muscle souple et encore contracté se détendait, le travail des tétons se cumulait avec le travail du cul, et la souplesse de mon petit trou rose, cela finit par le convaincre qu'un petit god au cul ne me ferait que du bien....Je le vis faire le tour du lit et une petite clef qu'il portait autour du cou lui servit à ouvrir un grand placard qui était dans leur chambre...Les deux portes ouvertes firent apparaître un véritable sexe shop personnel....d'une rangée de tiroirs, il en tira un qui contenait une collection complète de plug annale de toute taille... d'une main expérimentée, il pris le plus petit, de forme conique avec un rétrain qui permettait de bien le garder au cul lorsque la partie du conela plus large avait passée la rondelle...d'un diamètre à peine supérieur à son doigt, il l'enduisit de lubrifiant silicone et l'introduit sans frémir d'une seule fois jusqu'à la garde... il poussa la partie enflée du cône de latex en tournant au passage du muscle de l'anus, il m'arrachât un cri, de douleur, de surprise et de plaisir mélangés, le petit plug enfoncé dans mon cul le transformait en chatte, mon vagin était annal, il me procurait du plaisir et ce plaisir, c'est le sexe du mâle qui me le donnerait....
Après m'avoir retravaillé les tétons, il repris les va et viens en pistonnant le petit plug dans mon cul, je fus soudain pris de tremblement, je râlais de plaisir, mes gémissements se faisaient plus bruyant, Gérard me pris sur ses genoux, en me mettant sur le ventre, je lui offrait mon cul, en continuant à me plugger, sa main s'abattit sur mes fesses, il me fessa fortement au travers du déshabillé de nylon, sa main en s'abattant venait écraser le plug qui s'enfonçait au tréfonds de moi, la douleur de la fessée et le cône qui m'écartais l'anus me faisaient crier de jouissance, je pleurais aussi, je sentis son gros sexe revivre et se tendre sur mon ventre chaque fois qu'il me frappait le cul violemment, cela m'excita tellement que je jouis d'un orgasme absolu, du plaisir et des larmes, je ne voulais plus rien d'autre que jouir de l'anus, prendre un jour sa grosse queue dans ma toute nouvelle petite chatte, encore, encore et encore....
Gérard me passa une main dans ma petite culotte, et vint caresser mon petit sexe, il ramena ses doigts sous mon nez et me dit, t'as déchargée ma salope, suce ton foutre...et il me mis ses doigts visqueux de ma semence en bouche, je dus lui nettoyer la main....
Tu vois que tu peux jouir avec ton petit clito, faut juste te corriger du cul comme une chienne ....tu verras, bien dressée, je ferais de toi une bonne petite pute, aller, c'est pas finis, tu vas te remettre à la pompe, et cette fois ci...applique toi....
je replongeais sur sa queue, heureuse de pouvoir être le vide couille d'un mâle si puissant et si plein de vices....
La grosse bite turgescente me replongeât dans les délices de la sucette...et du foutre... je prenais la hampe à pleine main, et la branlais à peine, mon autre main soupesait le gros paquet de couille et jouait avec les grosses boules rasés de prés, le gros gland rose et lisse, bien décalotté, frémissait sous ma langue et recherchait la chaleur de ma bouche, je creusais mes joues pour pomper ce dard majestueux et j'absorbais le plus possible de longueur de bite, comme il me l'avait imposé tout à l'heure, des hauts-le-coeur et de la bave me faisaient m'étoufer presque jusqu'à vomir, je reprenais alors haleine rapidement et je me rejetais de nouveau sans attendre sur le gros sexe impatient...c'était une lutte contre moi même pour pouvoir avaler le plus possible la colonne de chair, lui offrir un fourreau de plaisir qui le retienne dans ma bouche le plus possible, être le réceptacle de sa semence de mâle, je voulais que mes trous lui appartiennent et qu'il puisse y trouver de quoi satisfaire le plus possible ses gros besoin sexuel, je serais moi aussi une de ses femelles, et j'entendais bien défendre ma part de plaisir jusqu'au bout. 
Je pompais son chibre épais comme une grosse chienne et les images des films pornos que me montrait Bruno me revenait en exemple...je me démenais sur sa bite, enragée de ne pouvoir faire plus et mieux....son gros manche raidi par le plaisir, mon beau-père, me tripotais les tétons pour m'encourager et me glissait à l'oreille, une sarabande de cochonnerie plus vicieuse les unes que les autres.....Il contrôlait parfaitement son érection, sortait parfois de ma bouche pour me gifler avec sa bite, de grand coup de queue sur mon visage, il me signifiait sa domination et mon état de soumission, je le reprenais en bouche et parfois bien enfoncé sur sa queue, il me pinçait le nez pour m'empêcher de respirer, me faire suffoquer, m'étouffer et par la, me montrer l'étendu de son pouvoir....les mâchoires fatiguées, épuisées par le traitement du vieux vicieux, il me fit grâce, et avec un parfais contrôle, il me lima sauvagement en bouche pour faire cracher à son gros gourdin, un foutre aussi épais et visqueux que celui que j'avais avalé précédemment....en si peu de temps, j'étais devenu une petite salope qui ne pensait déjà plus qu'a de la grosse bite d'homme...et j'avais, chez moi, un vrai bon gros vieux vicieux qui allait m'éduquer, me féminiser et faire de moi sa fiotte, son vide couille...sa poupée gonflable....

  

       

     

Par BERNARD - Publié dans : Gérard, mon beau-pére...
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