marc-la-lopette

Le lendemain matin, je fut réveillé très tôt par des râles de jouissance et des bruits de claques venant de la chambre de ma mère...Ils étaient en train de baiser comme des bêtes et mon beau-père la faisait gueuler tellement il la pinait furieusement, elle couinait comme une chienne et son plaisir la submergeais sans qu'elle ne contrôle plus rien...Il lui fessait le cul bien fort sans prendre aucune précaution et je compris qu'en fait il voulait que j'entende touts les bruits, la jouissance qu'il pouvait lui donner et le contrôle total qu'il pouvait avoir sur elle...elle gigotait au bout de sa bite, comme un pantin désarticulé et chaque coup de boutoir la faisait crier de plaisir, enfoncée sur le gros sexe d'homme, elle jouissait sans aucune retenue et n'était plus qu'une femelle lubrique soumise à la grosse colonne de chair qui la pilonnait. Je fis du bruit exprès pour qu'ils remarque ma présence, et je mattais par la porte que Gérard avait laisser entre-ouverte, il la besognait en levrette et lui travaillait le cul à grands coups de reins...elle était de dos et ne pouvait pas me voir, il lui maintenait la tête solidement enfoui dans l'oreiller en lui appuyant sur la nuque, elle grognait et bavait, de plaisir, de rage de me savoir derrière eux et elle tentait sans succès de se libérer de l'étreinte puissante qui la maintenait soumise au gros pieux du mâle et offerte à mon regard... cette exhibition incestueuse la contrariait mais aussi la libérait car en fait, elle était une vrai salope du cul, une chaudasse toujours prête a baiser et ma présence dans la maison ne leur permettait pas de laisser libre cours à leur sexualité débridée, c'est clair .... jusqu'à présent, je les gênait.... en devenant voyeur, en participant, même de loin,je devenait acteur et la perversité du jeu les excitaient l'un et l'autre...
Il accéléra la cadence et la ramonait maintenant avec une vigueur nouvelle, le dard s'enfonçait jusqu'aux couilles et venait s'écraser sur ses superbes fesses de chienne, il ressortait presque entièrement de la chatte et replongeait dedans dans une sarabande effrénée, ayant complètement perdu le contrôle, elle beuglait de jouissance...sans plus se soucier de ma présence, le plaisir la submergeât et un je vis pour la première fois  un orgasme de femme....il l'insultait copieusement, la traitant de salope, de pute et de chienne, comme lorsqu'il me faisait sucer sa grosse queue... ma mère était entièrement en son pouvoir, il me le faisait constater et sous son emprise, elle ne pouvait rien lui refuser... Elle explosa en cris furieux et il sortis sa bite du fourreau pour lui juter dessus et répandre sur son cul, ses cuisses et son dos ses grosses giclées de semences, signe de sa puissance et de sa virilité...Il l'attrapa par les cheveux et lui donna rudement sa bite en bouche, ...suce salope et nettoie moi bien la queue...elle lui lécha le manche et son gros paquet de couille à grands coups de langue en évitant de me regarder....Elle était sa chose et savait maintenant que je le savait...je refermais la porte et j'allai prendre ma douche, j'en était sur, je voulais moi aussi appartenir à Gérard et être sa chose...
En sortant de la douche, il m'appela de la cuisine, ou ils prenaient un petit déjeuner...Il me dit devant ma mère qui n'y comprenais rien,... alors tu as réfléchis ? ...C'est oui ou c'est non?....Si c'est oui... tu vas t'habiller et tu reviens avec les photos...
Je m'entendis lui dire, c'est oui Gérard, je reviens...
Je filait m'habiller, j'enfilai mon string, la nuisette transparente de la veille et je revins tremblant vers la cuisine, les photos à la main...ma mère sursauta et se leva d'un bond, mais enfin, que fais tu dans cette tenue, que se passe t-il  Marc? Gérard la pris par le bras et la fit rasseoir fermement...mais lui dit-il...c'est simple, c'est une petite loppe ton fils, une tapette...il suce de la bite quand on est au boulot...pas vrai Marc? donne l'enveloppe à ta salope de mère... je la lui tendit et elle l'ouvrit nerveusement, Gérard avait fait des tirages papier ou l'on me voyait sous toute les coutures bouffer la bite de Bruno avec le string au cul...
Elle était stupéfaite et interloqué... mais enfin, tu est trop jeune Marc, tu n'a que quinze ans, tu est vraiment gay ? tu n'aimes pas les filles ?
Elle était perdue et complètement larguée...mais enfin Gérard que se passe t-il?
Il y a qu'il à envie de baiser la petite fiotte, c'est le trou du cul qui le démange, ça le tenaille, il nous matte quand on baise, c'est un vrai petit vicieux...tu payais Bruno pour des cours de math et en fait, il se faisait pomper la bite par ton petit vicelard devant des films de cul..quand je les ai surpris, j'ai viré l'autre petit pédé et ta lopette de fils, je lui ai fait sucer ma grosse
bite....voila et je peut te dire qu'il l'adore et qu'il en veux encore le petit gourmand...il adore la crème, pas vrai Marc?
Il est trop jeune pour qu'on le laisse baiser dehors, moi, je vais le dresser et il prendra de la bite à la maison, c'est tout...
Ma mère voulu tenter de marquer sa désapprobation mais il la fit taire aussitôt...tu la fermes, ça fait six mois qu'il suce de la bite et tu voyait rien, maintenant il est à moi, il sucera ma bite, ça le regarde et il est d'accord...Il m'attira contre lui, et plongea sa main dans le petit string,le baissa et dévoila à ma mère mon petit sexe minuscule, il le tenait entre ses gros doigts, regarde, tu vois bien qu'il n'a quand même rien d'un mâle et en plus il bande pas...pas un poil, rien, des petites fesses de fille, regarde ses lèvres...il me mis son doigt dans ma bouche...c'est une tapette, faudra te faire à cette idée..
J'ai toujours eu des maîtresses, maintenant j'aurai deux femmes à la maison...comme ça j'irai moins courir dehors...
Il a l'air doué pour le cul, tout le portrait de sa mère, je vais le dresser à la bite, en faire un bon vide couille...
Plutôt jalouse, ma mère sortie de la cuisine furieuse en claquant la porte, il se leva derrière elle, rentra dans leur chambre et j'entendis Gérard lui parler un certain temps, puis des gémissements, il la reprenait en main et lui remettais un coup de bite, bien la faire jouir et lui faire comprendre qu'il la tenait et qu'elle devra céder, il la savait assez vicieuse et perverse pour ne pas risquer de déplaire à son mâle qui la régalait si bien de son gros sexe... il la fit couiner pendant une heure et elle partie en retard à l'hôpital, mais souriante et cool, habillée peut être encore plus putasse que d'habitude...Gérard faisait vraiment ce qu'il voulait de ma mère et je voulais moi aussi appartenir à mon beau-père, à son gros sexe et son désir brutal, toujours inassouvi...
Amusez vous bien me dit ma mère avec un clin d'oeil, il est infatigable me dit-elle...mais laisse moi en pour ce soir...et elle referma la porte.
A peine ma mère partie, Gérard m'appela de sa chambre, t'est a moi maintenant...! dit-il...sa queue flasque encore gonflée et spermée était posée sur sa cuisse, semi-molle, elle était encore d'un fort calibre et me faisait tant envie que je la regardais fixement...il me dis fermement ...allonge toi en travers de mes jambes! je me couchais le ventre sur son gros sexe et il se mis aussitôt à me fesser, de grandes claques sur le cul, je hurlais et me débattait mais la force de l'homme ne me laissais guerre de chance, il ralentissait la cadence et me tripotait les fesses, un de ses pouces me malaxait l'anus et j'étais dans un état d'excitation sans précèdent, je sentis la barre de fer de son sexe sous mon ventre et sa trique m'excita encore plus, le fait de faire envie à ce vrai mâle et de le mettre dans un tel état me procurait une excitation plus grande encore..
tu mouilles du cul ma petite fiotte hein ? ...une vrai petite chienne pour homme, ça fait plus d'un an que tu te tortilles du cul devant moi...il me saisit brutalement par les cheveux, me maintenant à un centimètre du gros gland violet décalotté, il me faisait baver d'envie, réclame de la bite...! demande moi de la queue, salope!
- je lui dis ... j'en veux ...
- mieux que ça dit-il..tu veux quoi?
- de la bite... je gémis ...
- de la bite comment? à qui? fais un effort ou tu n'auras rien..!
Il me tenait par les cheveux et me faisais mal, mais sa bite durcissait par saccade chaque fois que je gémissais de douleur...
Il me faisait mal et cela m'excitait, la grosse bite si prêt de ma bouche avec son odeur de sperme me faisait tant envie, et il le savait si bien qu'il lui était facile de me soumettre, je compris que ma docilité l'exitait je lui dis en baissant les yeux..
- Je veux ta grosse bite dans la bouche mon Gérard...
- C'est mieux dit-il....beaucoup mieux, il faudra m'être obéissant maintenant  mais c'est moi qui distribue de la bite, quand je veux et si je veux...tu n'est qu'un petit vide couille, quand je t'appelle ou je te siffle comme une bonne petite chienne, tu viens à la bite sans discuter....quand je te corrige, c'est que tu le mérite et que j'en ai envie...parfois je t'attacherais mais surtout il te faudra être toujours prêt à prendre de la queue, tu verra comment fait ta mère, c'est une des plus belles salopes que j'ai baisée, toujours trempée du cul en trente seconde,bonne jouisseuse, très vicieuse, gourmande de grosse bite, perverse et soumise aux mâles... un vrai bonheur... et toi aussi tu as l'air prometteur, t'est bien le fils de ta mère... 

Je n'en pouvais plus, il me fouetta le visage de sa belle bite durci et les coups de sexe, sur les joues, la bouche, les lèvres, m'indiquaient le degrés d'humiliation qu'il comptait me faire subir...tout le pouvoir venait de sa bite, et pour avoir de la queue, il fallait que je soit prêt à lui obéir en tout....il me regardais dans les yeux et m'enfonça son pieux dans la gorge..
- Allez ma petite pompe à foutre, astique moi le chibre que je te graisse la gueule.....
Je me précipitais des deux mains sur la grosse biroute, absorbé par la sucette qui me procurait tant de plaisir....après ses deux grosses baise du matin, il fut long à venir et après avoir giclé son épaisse semence, il laissa son pieux dans ma bouche et s'endormit en me tenant la tête....
Je savais que je n'était que dans le tout début de ma soumission, je ne voulais que ce gros sexe et il m'en faudrait payer le prix.