Vendredi 10 juillet
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01:55
J'avais ma clés dans le serrure quand Marc sortie à son tour de chez lui, je n'avais encore pas vraiment fait attention à lui, c'était un blondinet d'une vingtaine d'année, plutôt mince et petit,
peu bavard voir assez timide, le regard fuyant, avec quelque chose de particulier que je ne saisissait pas...un détail qui m'échappait...mais quoi...son look genre "gothique" ne me disait rien qui
vaille, sa voix plutôt aïgue ne le rendait pas plus viril que ça et ses piercings lui donnait un genre pas très recommandable.
J'attendis Sylvie bien décidé à voir ce qu'il y avait à en tirer. A l'heure dite, elle sonna à ma porte exactement à l'heure.
J'ouvris la porte, je la laissai passer.....et à peine entrée, je la poussai dans une grande piéce qui donnait sur la rue, elle m'avait fais bander direct, et mon gros gourdin tambourinnait contre
ma cuisse..." ne dis rien...ne parle pas" lui ordonnais-je fermement...j'ouvris le tiroir d'une petite commode et j'en retirais deux paires de bracelet de cuir avec de gros mousqueton et un
baillon boule. Je posais les accessoires devant elle et lui dit : - " tu peux partir si tu le souhaite, si tu reste je te ferai obéir quoi qu'il arrive et tu seras à moi...."
Sans hésiter, elle s'emparat des solides bracelets de cuir et les fixat à ses poignets et à ses chevilles....Je la mis face au mur et lui enfoncai la boule du baillon, je réglais celui-ci bien
serré. Une fois baillonnée je la fis se déshabiller, elle conserva ses bas résilles et ses escarpins rouge de salope. Je fixai alors les mousquetons des bracelets sur des anneaux scellés
dans un des murs et prévus à cet effet.
Je l'entrepris par le cul en lui caressant les fesses et en lui malaxant la croupe, des petits grognements s'échapèrent, j'ecartais suffisement ses jambes, un peu comme pour une fouille au corp de
policer, et les première claques lui rougirent le cul...."Tu es punie lui dis-je car hier soir, je t'avais dit en sortant de ta douche de te faire les seins, tu a, en plus, fais
ton clito, une grosse branlette de chienne..., tu aimes jouir..., tu m'a désobéis, il te faut apprendre à obéir aux ordres, du sera fessée et punie jusqu'a ce que ton dressage soit
parfais! "
Je lui fessa le cul jusqu'a ce qu'il devienne écarlate, elle se tortillait à chaque coup pour tenter de se soustraire à la correction, ce qui ne faisait que redoubler mon ardeur à la frapper....Je
m'arreta un instant et retira cette fois du tiroir de la comode une petite paire de pince à seins et une cagoule à pipe. Face au mur, elle ne pouvait tourner la tête, l'inquiétude la
faisait grogner, gémir et couinner à travers son baillon boule. Je lui mis la cagoule de cuir rouge avec des lacets qui permettait de l'ajuster par derrière. La cagoule la rendait aveugle et
laissait la bouche accessible. Elle avait peur et cela m'exitait à fond. Son cul rougit par la violente fessée était ultra sensible, je l'efleurai à peine pour la faire tressaillir, je la pelotait
partout et mon index lui pénetra la chatte, son exitation était tel qu'elle dégoulinait de mouille, je détacha l'un des mousquetons pour lui faire faire volte face, cette fois dos au mur,
je lui fis les tétons en les roulant doucement sur eux mêmes et tout de suite bandés, je leur fixait les petites pinces à seins...ma mains c'était plaquée sur sa motte et son clito était gonflé de
désir, je la débaillonna et lui ordonnai de se taire....mon doigt sortie de sa chatte et vint lui tater l'intérieur de la bouche, je lui mettais de petites claques sur le visage, plus
humiliante que douloureuse, aveuglée, la bouche doigtée, les pinces à seins sur les tétons, elle était trempées et heureuse.
Je détachai les bracelets des anneaux du murs, la mis à genou, et je me me vidait les couilles en me branlant dans sa bouche comme dans un jouet pour célibataire vendu en sexshop. Je lui balancait
mon foutre sur le visage, sans un mots, elle lècha chaque goutte et m'astiqua la queue.
Maintenant, il faudra obéir.......