Jeudi 30 juillet
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20:37
Bernard bien calé contre des oreillers, la fit se positionner à quatre pattes, tête bêche, son petit cul de chienne en chaleur bien à la hauteur de sa bouche, il avait les deux mains
disponibles pour la tripoter,... il lui travaillait les hanches, bien prises à pleine mains, les tétons gonflés et durcis par l'excitation étaient roulés et pincés sous ses doigts....Elle le
maintenait en bouche en respirant par le nez, la gorge remplie à en pleurer du chibre du gros vicieux. Ses ongles de petite pute gourmande, très long et blanc nacrés griffait les grosses
bourses pleines de jus, comme pour faire en sorte qu'elles en produisent plus encore....depuis qu'elle avait goûtée au sperme de Bernard, la liqueur de son homme avait pour elle le goût de
la jouissance. Ses mains astiquait le gros sexe avec application et le pelotage en règles du vicelard la maintenait trempée depuis déjà un bon moment...
Bernard se décida à écarter délicatement la fine barrière de résille qui s'ouvrit pour découvrir son rosebud qui lui remplissait le cul. Il titilla le bijoux et le tourna sur lui-même, pour
tester les réactions de Léa qui n'en pouvait plus...l'attente était devenue pour elle insupportable tant son envie d'être prise était forte. Lorsqu'il retira le petit plug de métal de son
anus, elle en ressentie une vive frustration de n'être plus remplie..il commença alors un travail du cul nécessaire à la première sodomie de sa petite chienne à bite. Ses mains écartaient
puissement les deux petites fesses de Léa. Les deux pouces de Bernard, placés de part et d'autre de la petite rondelle vierge, l'écartaient en appuyant fortement, comme un masseur part de la
colonne vertébral et étire les muscles vers les épaules...ce mouvement répété, changeais de rythme en étant lent et très ferme ou plus rapide et très doux..l'anus s'ouvrait et se dilatait....La
jeune garce tendais sa croupe au travail du vieux cochon et mouillais abondamment....Bernard ne manquait pas de lui décrire toute l'opération par des mots grossiers, crus et orduriers, son
langage de gros cochon excitait la petite lope autant que l'exhibition.
Gérard toujours derrière la cam ne perdait pas une miette du spectacle en live et se branlait sans fin...
Bernard se décida à introduire un doigt dans la chatte anale de la petite salope, et lorsqu'elle se sentie de nouveau prise du cul, elle soupirât de plaisir et s'enfonça sur le doigt..Il la
travailla et le petit anus élastique se détendis d'autant, il put rajouter un autre doigt et écarter le muscle doucement mais sûrement. Le travail du cul faisait partie du rôle du vieux mâle qui
y prenait un grand plaisir. Le vice et la perversité était nécessaire pour contenter l'envie de dépravation de la jeune lopette. Les allés et venus des doigts commençaient à lui
ecarter le cul et la souplesse du petit oeillet rose avait atteint le seuil nécessaire à un enculage en règle.
Bernard la fit mettre à quatre patte, la tête dans les draps, il demanda à Léa qu'elle mette ses mains sur ses tétons et qu'elle se travaille ses petits mamelons..la salope se caressait ses
petites pointes en gémissant.....
A genou devant le cul de la petite garce en chaleur, il lui tapotait les fesses pour la chauffer et il la fessa soudain si fortement qu'elle fut surprise et choquée par les grandes claque qu'elle
prenait sur son cul. Il alternait malaxage et fessage si bien qu'après un la douleur, c'est une sensation de chaleur qui l'envahie et qui lui brûlait le bas ventre.... Pincée, doigtée,
fessée, elle ne savait plus ce qu'il faisait de son cul..... d'un geste rapide, son gros pieux excité et gonflé de désire fut lubrifié au silicone, une véritable bite téfal qui glissait dans sa
main....il l'appuya sur la rondelle flexible et détendu de la jeune lope qui, sa leçon bien apprise, poussai sur son sphincter anal, le gros gland écarta difficilement le petit cercle froncé
et Léa gémissait de douleur, mordait un oreiller, la tête bien enfoui dans les draps...Une volées de claques sur les fesses lui rosi le cul, et Bernard écarta bien de ses deux pouces le
petit cul pour ouvrir plus encore l'anus qui se laissait difficilement conquérir. Le gros noeud était en plus, à son plus haut point d'excitation et il semblait devoir exploser à tout moment...La
colonne de chair finit par forcer le petite pastille et Léa ne put s'empêcher de hurler au passage du gros membre... Bernard lui caressait maintenant doucement les fesses, le bas du
dos, les hanches, la taille....l'homme qui c'était introduit en elle, prenait possession de son corps et tout en continuant à la malaxer et la peloter, sans faiblir, il enfonçait lentement
son sexe dans le tréfonds de son ventre, le lubrifiant qu'il avait appliqué abondamment dégoulinait entre ses cuisses et rendait sa bite toute brillante, elle disparaissait dans le petit trou qui
semblait pouvoir dévorer entièrement de la grosse bite de mâle comme si ce n'était que son unique fonction. Se petit cul de tapette qui l'excitait à bloc depuis deux jour, il pouvait enfin en
prendre possession
D'un imperceptible coup de rein qui marquait la fin de la pénétration, Bernard vint s'appuyer sur les fesses de la petite chienne...Enfoncé jusqu'à la garde, il remuait à peine et laissait son
conduit anal s'habituer à la dilatation, il la caressait doucement en lui faisant la croupe de ses mains puissantes et vicieuses....Il la pelotait sur son petit serre-taille de vinyl afin qu'elle
garde conscience de sa tenue de pute et de ce qu'elle lui devait, de douleur et de plaisir. Les grosses jarretelles et ses bas noire semblaient n'exister que pour mieux offrir son cul et grossir
le membre qui allait la prendre.
Léa ne pleurait plus et la douleur laissait doucement la place à une sorte de brûlure inconnue qui la traversais et qui se répandait en elle de façons sourde et diffuse. L'étrange chaleur était
relative aux déplacement de la grosse bite de Bernard qui c'était remise à la fouiller, lentement mais si fermement qu'elle était persuadée que le dard ne sortirait plus d'elle. Tenant fermement
la lopette par la croupe, il accéléra l'allure et faisait maintenant coulisser le gros piston qui c'était fait sa place dans son fondement. L'étroit conduit, bien graissé par le lubrifiant,
chauffait le ventre de la petite chienne. C'était elle maintenant, qui était demandeuse et qui venait s'empaler sur le dard, le gros sexe gorgé de sève lui ramonait les entrailles sans faillir et
les feulements qui s'échappait de la bouche de Léa, entre deux gémissements sauvages, réclamait à son mâle plus de queue encore. Sans se préoccuper le moins du monde de ses attentes, Bernard
astiquait sa bite et venait faire claquer ses grosses couilles pleines de jus contre le cul de sa salope. A grand coup de goumi, il lui prenait le cul en la traitant de tous les noms,
elle couinait comme une garce et commença à ameuter tout l'immeuble en jouissant comme une grosse salope en manque de bite des coups de gourdin qui la ramonaient. C'était une demande de tout son
être, elle ne semblait être née que pour atteindre ce but, se faire remplir par un mâle vicieux et jouir en femelle de la pénétration. Sentir en elle, que le désir du mâle allait exploser.
Bernard se déchaina sur la petite pute qui geulait, le fait de prendre un anus vierge et serré augmentais démesurément son érection et sa maîtrise de la sodomie faisait de Léa un petit pantin qui
gesticulait au bout de sa grosse queue..Elle était en transes et jouissait sans interruptiondu gros dard, limée, tringlée, remplie, le cul défoncé ....la bite de Bernard enfla
soudain, et plus dur que du bois, le gland démesuré qui la fouillait explosa brutalement...Léa pris son pied de nouveau et lança des cris aiguës qui résonnèrent dans toute la cour de
l'immeuble. Des jets de foutre se répandirent dans son trou du cul, et en jouissant d'un orgasme puissant, Bernard se retira d'un coup, laissant le cul de Léa béant et endolorie, des
coulures de spermes s'en échappaient, la faisant femme....elle en prendrait dorénavant régulièrement plein la chatte.....et elle en était sur, elle adorerait ça....