Marc la lopette

Mardi 3 novembre 2 03 /11 /Nov 23:32
      


Je corsetais souvent Léa et elle savait alors que ce que cela voulait dire......ainsi préparée, un serre taille de cuir équipé de 10 jarretelles tendait ses bas couture à la perfection...son string fendu laissait sa chatte anale toujours accessible à ma grosse bite...sa croupe rebondie mise en valeur par la tenue était excitante à souhait et je manquais pas de lui tripoter le cul chaque fois qu'elle était à porter de mains...Je lui faisais porter au dessus d'une jupe moulante qui montrait juste ses mollets un autre corset victorien qui lui faisait gonfler et ressortir sa petite poitrine naissante...Elle mettais aussi ses piercings et enfilait d'elle même un de ses petits colliers de chienne a gros anneaux sur le devant qui marquait plus encore sa soumission et son appartenance au mâle....Ses talons aiguilles était si vertigineux qu'il lui était impossible de ne pas être bandante pour tout fétichiste qui pouvait l'apercevoir...     C'est dans un état d'excitation sans pareil que je la prenais alors en main afin de parfaire son dressage à la bite...



Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Dimanche 11 octobre 7 11 /10 /Oct 23:00

Bernard avait fait de Léa une véritable petite chienne à bite si parfaite que quiconque,mâle ou femelle la voyait, en avait aussitôt envie..Elle savait allumer en vraie salope et si Bernard lui en donnait l'ordre, elle était la parfaite petite pute soumise..
       

Comment faire pour résister à ce petit cul, tout les mâle, hétéro ou non, voulait lui mettre dans l'anus leur grosse tige gonflée..





Les coup de bite la faisait jouir comme une folle et après chaque pétée au cul, elle n'avait de cesse de s'en prendre une autre. Seul Bernard y mettait bon ordre et savait quand et pourquoi elle devait etre montée et par qui. Quand à lui, sa grosse bite de vicieux disposait a tout instant des trous de la petite pute.
 
Léa devait s'attendre à être prise à tout instant et son anus était une véritable petite chatte annale...

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Samedi 26 septembre 6 26 /09 /Sep 12:48

Léa avait maintenant acceptée véritablement son statut de petite tapette dressée à la bite. Bernard était son mâle et son maître...il se comportait envers elle en propriétaire et ses ordres devaient être exécutés sans attendre, quel que soit la situation. Si Bernard exigeait une chose, elle se devait d'obéir, d'une simple tâche de la vie quotidienne à la soumission sexuelle la plus absolue, elle s'exécutait sans attendre et avec entrain...Le plaisir qu'elle y prenait était immense et en retour Bernard savait la faire jouir comme jamais elle n'eut pensée que cela était possible...il la traitait comme elle aimait être traitée et il savait instinctivement, chaque fois, ce qu'elle avait envie d'entendre...
Bernard ne travaillait plus, car bien qu'encore assez  jeune, il avait profité adroitement d'une offre de départ anticipé proposé par la grand groupe international pour lequel il travaillait. Une trés confortable indemnité lui permettait d'attendre sans difficulté financière une retraite anticipé qui serait ensuite plus que confortable. Sa vie n'était qu'une suite de soirées plus ou moins orgiaques parmi des amis au statut sensiblement identique à savoir, une bourgeoisie désoeuvrée et vicieuse qui entendait satisfaire ses perversités chaque fois que cela était possible.
Dans ce petit groupe de libertin qui se laissait aller à ses penchants les plus inavouables, Bernard s'affichait avec Léa ou avec d'autres maîtresses dans la plus parfaite quiétude...Il tirait une grande fierté du dressage de sa petite salope et la partageait avec hommes ou femmes de ses amis comme bon lui semblait. Léa avait finit par prendre un grand plaisir à ses savants échanges et être la poupée sexuelle du vieux mâle l'excitait au plus haut point. Lorsque Bernard la sortait en pute, ce pouvait être juste pour le plaisir de l'exhiber en public aux yeux de tous, ce pouvait être pour l'emmener se faire queuter par un de ses amis qui voulait essayer Léa. Bernard pouvait aussi la prêter à un couple échangiste curieux pour une petite partie carré ou la faire monter par quelques un de ses amis après une partie de carte, cela finissait alors en mini gang-bang ou Léa était la reine de la soirée...
Parfois, sans que rien ne soit prévu, il arrivait à Bernard de faire sucer à Léa dans des circonstances toujours assez insolite, un inconnu qui avait montré, par exemple par une grosse érection bien voyante, qu'il appréciait fort ce genre de petite lopette. Bernard, qui remarquait vite ce genre de vicelard, si le type l'inspirait, exigeait de Léa qu'elle l'allume encore plus, et allait directement voir le type pour lui proposer de goûter à sa salope...

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Lundi 17 août 1 17 /08 /Août 02:39


Bien ramonée, c'est ce qui arrivé au petit cul de salope de Léa.
La chiennasse avait passée sa journée à faire des essayages, de lingeries, de chaussures et autres maquillages.

              
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Dans le principe,  j'étais plutôt pour. Mais la petite pute à oubliée un peu vite qui était le maître. Un peu vicieuse, elle voulue me tester et me fis savoir en fin d'après midi qu'elle était un peu fatiguée et voulait prendre un bain...
" - Un bain ok, mais avant je te tire, tu m'as trop chauffée la queue..." 
elle fit un peu la mou.....ce qui eut le dont de me foutre en rogne, chauffer la bite du mâle et déclarer forfais, ...non..
pas à moi... j'ai passé l'âge.... 

Mon gourdin était bandé bien raide....et se dressais fièrement.......on se regardait dans les yeux et elle se demandait ce que j'allais faire...

                                                            .              

Je l'ai prise virilement par le cou et je lui ai brutalement forcée la bouche....Je la tenais par les cheveux et elle sentie tout de suite que ce n'était pas un jeu..
               .                                 

Elle dut s'exécuter et s'enfonça sur le gros dard avec conviction, consciente qu'elle avait peut être été un peu trop loin. Elle suçait avec application  et ses succions de gourmande lui procurait un plaisir qu'elle n'avait pas méritée.
Elle pouvait allumer les autres mâles mais moi, il fallait qu'elle sache à quoi s'en tenir.
Je lui limait alors la gueule sévèrement et je je lui mettais mon gros pieux en fonds de gorge, ce qui l'étouffait et je ressortais pour lui mettre des coups de bite sur les joues, de petites claques sèches aussi,  je lui tirait les cheveux fermement pour la diriger et l'entendre gémir de douleur m'excita et banda plus encore ma bite de vicelard. La tête bien prise dans mes mains, je lui imposais mon rythme et la tringlais en bouche.
Au bord de la jouissance, je m'immobilisais dans sa bouche baveuse et laissait mon gros gland battre contre son palais....la salope frémissais et se régalait de la grosse verge qui la fouillait si vicieusement, mon attitude de soudard l'avait excitée et elle était devenue chaude comme la braise, je dus la corriger encore pour mieux la baiser et je la retourna pour lui fesser le cul. Elle me tendit sa croupe et écarta ses deux fesses pour se faire travailler l'anus...



Après avoir tiré sur le coté son string de salope, je lui empoignais les deux petits globes de son cul rebondi et je les malaxais comme un malade. Je lui écartais l'anus pour la doigter et je crachais sur son petit trou pour la lubrifier à la salive....son petit cul frémissait et semblait vouloir s'échapper de mon étreinte ou parfois au contraire, elle s'empalait sur le doigt qui la travaillait du cul..
Elle m'avait tant excité par son comportement de parfaite salope, que n'y tenant plus, je me redressais brusquement et posais le gros gland violacé de mon gourdin enflé par le désir sur sa petite pastille rose encore à peine rodée  à la grosse bite. Une volée de claques sur ses fesses la firent sursauter et crier de douleur et de plaisir mélangés. Je l'empoignait sauvagement par les hanches et elle ressentit ma puissance de mâle désireux de la saillir. La pression du gland sur sa rosette augmentât et un léger coup de rein la fit céder sans effort. Le petit trou c'était ouvert, aidé par le travail de doigtage préalable qui avait assoupli le muscle et permit la pénétration du gros membre, la colonne de chair pénétrait lentement le conduit anale de la jeune lopette qui ne bougeait plus, se faisant remplir doucement et
fermement par la queue du vieux vicieux. Léa gémissait de plaisir et sa jouissance était comme une longue plainte, un râle sourd et infini qui sortait d'elle, rythmé par les va et vient du gros chibre qui la possédait.
    

Bernard avait l'expérience nécessaire et une fois sa grosse pine bien insérée dans les entrailles de la petite chienne qui couinait, il changea de cadence et accéléra ses coups de queue. La tapette se mis à gueuler aussitôt et sous les insultes de Bernard qui la fouillait sauvagement, elle tendit sa croupe et s'empalait sur  l'énorme dard. La sensation d'être remplie du cul et le fait de sentir la grosse verge du mâle qui coulisse en elle pour y prendre son plaisir l'excita au plus haut point. Bernard lui pilonnait le cul et la défonçait sans pitié pour sa petite chatte anale. La tapette en prenait plein son cul et jouissait comme une folle. Le vieux mâle, sur de sa puissance et de sa virilité, sortit brusquement de l'anus, et lui fourra le gros sexe en bouche, juste pour bien marquer qu'il prenait son plaisir ou bon lui semble...il s'enfonça en fond de gorge, à faire vomir Léa et lui pinça le nez pour l'empêcher de respirer. Elle suffoquait et la poigne de l'homme la soumettait brutalement à son caprice. Bernard sortit de la bouche de sa chienne et ré-entra dans le cul sans la moindre manière. Il la ramona sans trêve en enfonçant bien son pieu jusqu'à la garde dans le fion de la lopette, elle était si bonne à baiser avec son petit conduit anal qui enserrait son énorme bite que sa semence menaçait de jaillir de ses grosses couilles à chaque pilonnage. Léa gueulait sa jouissance comme une vraie salope et tortillait son cul pour échapper au gros pieux. Bernard était décidé à la dresser à la bite et il continua à astiquer sa petite chienne sans répit, il lui triturait ses petits tétons qui étaient durcis et bandés par l'excitation. 
Léa était fier de se sentir la femelle d'un tel mâle et le gros engin qui la  comblait sexuellement lui donnait tant de plaisir que la soumission qui en découlait était un plaisir encore aussi fort. Elle n'avait plus aucune force et le vicelard la limait encore gaillardement, la grosse bite toujours aussi raide et la poigne toujours aussi féroce. La jouissance de la petite garce était continue et s'échappait de sa bouche en un long feulement rauque, et lorsque qu'elle sentie Bernard lui attraper les hanches violemment, son chibre devint démesuré, gonflé par l'orgasme qui arrivait, le dard grossit encore violacé par l'afflux de sang dans les grosses veines qui l'irriguaient, la chatte de la tapette se dilata aussi et dans un grand cri de plaisir qui la submergea, elle remua du cul pour essayer de se dégager du gros membre qui la remplissait mais le vicieux la tenait fermement et se plaqua contre les petites fesses du travelo. Léa sentie le puissant mâle qui déchargea par jets saccadés sa crème épaisse et poisseuse en lui inondant le cul. Bernard explosa dans la chatte du petit vide couille et resta enfoncé dans le cul en s'écroulant sur le coté...
"Je n'en peut plus....."lui dit doucement Léa...
Bernard la tenait par les cheveux et lui dit plein de vice en sortant du cul de la salope sa grosse bite encore dur et toute dégoulinante de sperme...."Pour l'instant, tu me nettoie la pine et tu t'appliques.....il enfonça deux doigts dans la chatte et ressortit du sperme qu'il tartina sur sa bite, elle le lécha consciencieusement à grands coups de langue en le regardant dans les yeux...."
Elle était la femelle et elle savait maintenant que dans l'avenir, assouvir les désirs du mâle serait sa seule règle...


Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Mardi 11 août 2 11 /08 /Août 08:50

Je décidais de sortir Léa ce soir pour une petite soirée cool, l'exhiber un peu et pourquoi pas un peu plus si l'opportunité se présente...



je lui fIs enfiller un collant voile en nylon noir ouvert sur l'anus son magnifique petit cul de lope était a peine dissumulé  par une micro jupe plissée qui mettais ses petites fesses en valeur et je lui imposais un petit haut noir avec le devant en tulle noir transparent.
La fine étoffe laisse découvrir un petit soutien gorge de jeune fille qui indique une poitrine à peine naissante, souvent une taille de bonnet A . L'effet push up tentait de gonfler une paire de seins inexistante et ce petit soutien gorge en dentelle féminisait Léa de façons convaincante, les bretelles froufroutantes et un petit noeud de ruban rose entre les seins achevait de la rendre craquante. Son maquillage soigné, ses sourcils bien épilés et ses ongles vernis ne faisaient qu'inviter les mâles motivés par se genre de salope à mater son cul ainsi présenté.
 Ses fesses étaient une véritable invitation à la sodomie et le petit string de vinyl noir que je lui faisait porter sous son fin collant fendu se détachait parfaitement des deux lobes et marquait, comme un fléchage vicieux, la direction de son petit anus.
Je me promenais a son bras et lui malaxait copieusement le cul. Elle tortillait outrageusement sa croupe conscient du feu qu'elle allumait chez tout les mâles, les gros paquets faisaient des grosses bosses dans les pantalons des hommes qui nous suivaient, chacun esperant secretement pouvoir se soulager et vider ses couilles dans l'anus de la jeune salope.

 Ce sont ses bottines et sa jupe à ras de la chatte qui la faisait le plus ressembler à une petite tapineuse. Les femmes, jeunes ou vieilles, mariées ou non, ne s'y trompent pas et lorsqu'elle veulent de la bite commence par mettre des talons plus haut que ceux qu'elles portent d'ordinaire, c'est toujours le cas pour les sorties, les soirées, le shopping, les mariages et autres fêtes.... bref, le message est clair, je veux être bandante, je cherche du mâle...je veux de la bite.....

Lorsque je la faisait  tapiner pour l'exiber en pute, je lui faisait mettre ses chaussures dorées.





Ces chaussures avaient des talons aiguilles de 17 cm, qui lui cambrait les reins, faisait ressortir sa croupe, affinait sa ligne et ses jambes....elle se déplaçait élégamment et semblait aussi à l'aise qu'un top model sur un podium de défilé de mode...elle roulait du cul de façons éhonté et attirait le regard des hommes et des femmes, qui la mataient sans se gêner tellement ont pouvait voir qu'elle était demandeuse de bites.
Je la promenais en la tenant par le cul, une main plaquée sur ses fesses, et nous entrâmes dans un restaurant italien pour un petit dîner rapide. Tous les regards se tournèrent vers nous et un gros homme qui se révéla être le patron, fonça sur nous. Il n'arrivait pas à détacher ses yeux du cul de Léa et nous installa à une table tranquille, pour les amoureux disait -il....je fis asseoir Léa de façons à ce que le gros cochon la matte facilement, son petit string de vinyl noir brillant, qui dépassait était bien visible et lorsqu'il revint prendre la commande, sa bite avait enflée démesurement sous son pantalon et faisait une grosse bosse. Il se plaçât devant elle, la queue à hauteur de sa bouche, le sexe était gros et fort et je vis Léa le regarder fixement, sa langue passait sur ses lèvres avec envie... je l'embrassais goulûment et lui dis doucement
" t'as envie de pomper ma salope? .... tu veux ton dessert tout de suite..? "   je demandais alors au patron...
" Une grosse sucette avec la petite ...ça vous dirait ?    elle est chaude...c'est une débutante mais elle est super bonne en bouche....."
Le gros homme me répondit   " C'est combien ?...
Je m'entendis lui répondre  " 150 euros....." 
Il me dit sans hésiter "  ok ... bon ben.. passez derrière..." il désignait une petite arrière salle du menton.. 
Il attrapa Léa par le bras et la poussa devant lui, le gros homme lui mis la main au cul et la pelota sans gène.... Il sortis un gros portefeuille et en retiras trois billet de cinquante qu'il me tendit...
Il dégrafa sa braguette et sorti sa pine, j'ai pourtant été me faire éponger au bois de boulogne hier soir mais la l'occasion est trop belle" ...aller ma pute, au boulot..." Léa se jetasur le gros braquemard et aspira le gland sans même prendre le temps de respirer, le gros homme au ventre proéminent fut impressionné par la fougue de la jeune garce, elle tenait le gros sexe fermement par la base et son autre main griffait les couilles poilus de ses ongles pointus et vernis de petite chienne en chaleur, sa bouche déformée par l'engin pompait le pieux avec entrain et elle semblait n'avoir jamais rien fait d'autre que du suçage de bite...j'étais derrière elle à lui malaxer le cul et le vicieux lui tirait les cheveux et lui appuyait sur la tête, il grognait de plaisir et l'insultait en bavant...son dard grossissait encore et paraissait écarteler la bouche de ma petite salope à bite. Léa bavait et crachait sur le noeud pour lubrifier la turlute, elle était si excitée par le gros gland rose qu'elle le fixait et se jetait soudainement en s'empalant de la bouche sur le manche en une gorge profonde désespérée....d'un coup de rein furieux, le vieux vicieux bedonnant lâcha un étonnant flot de jute blanche visqueuse, Léa tentait d'attraper les giclées de foutre, la bouche grande ouverte, et essuya avec ses doigts les coulées qui ruisselaient sur son visage pour les mettre en bouche, elle le finit doucement à la main et nettoya la gosse bite flasque à grands coups de langue gourmande... 


 




 

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