Samedi 8 août
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Un aprés midi que Léase faisait sa gourmande et réclamait de la bite à sucer, Bernard décida de la sortir, elle mit un petit jean's et un petit pull à rayures rouges et noires qui moulait sa
mini poitrine et laissait son ventre nu...
La jeune lope aimait sortir au bras de son vieux cochon et faisait en sorte que rien ne soit équivoque et que chacun dans la rue sache bien qu'elle était la femelle du vieux
vicelard...une des mains de Bernard faisait le tour de sa taille et lui prenait le cul, le string de Léa apparaissait des qu'elle se penchait un peu, et lorsqu'ils croisaient une autre femelle
qui les matait, Léa passait sa petite main sur la grosse queue de Bernard, pelotant le membre viril par dessus le cuir du pantalon, la bite était toujours semi gonflée par les attouchements
répétés de la lope en chaleur et la forme qui se dessinait faisait rêver bien des passantes envieuses...
Bernard portait un pantalon de cuir qui moulait exagérément son gros paquets de couilles et sa bite de belle taille. Il avait décidé d'aller faire pomper sa petite pute dans un glory hole d'un
quartier d'affaire ou des cadres pressés venaient se faire éponger les couilles...
Léa pompa ainsi une partie de l'après midi des queues de toute tailles sans voir le corps des mâles en rut. Elle prenait plaisir à les faire gicler et à n'être qu'une pompe à foutre... ce fut
Bernard qui l'arracha à toutes ses bites qui sortaient des trous de plus en plus nombreuses depuis qu'elle tétait...Il fit pomper la sienne devenue énorme par l'excitation et l'aspirateur à jus de
couilles se remis en route, elle lui gloutonnais le dard avec entrain, voulant satisfaire aux mieux son homme qui était difficile et qui ne manquerait pas de la corriger du cul si elle ne donnait
pas satisfaction.
Bernard avait un gros succès auprès des femmes, de touts âges et des jeunes garçons passif qui voyaient en lui le mâle idéal, la grosse bites les faisaient rêver et la perversion du vieux
cochon était devenu une légende que beaucoup de femelles voulaient tester. Il les baisait assez égoïstement en pensant d'abord à sa grosse queue, il avait un besoin permanent de limer une chatte ou
un cul, surtout un cul, qui plus étroit lui donnait de bonne sensation, le conduit anal très souvent moins sollicité sexuellement,lui enserrait son gros dard et donnait de profond orgasme qui le
faisait exploser violemment dans l'anus des femelles consentantes. Pour les petites chiennes qui avaient un jour droit à sa grosse queue, la bête sexuelle qui les pilonnait sans fin les
ammenait à un plaisir nouveaux, brut et bestial, puissant et irrépressible qui faisait d'elles, de véritables femelles lubriques avides du gros membre de Bernard qui leur offrait tant de
jouissance. Leur empressement à sucer le gros sexe toujours raide leur permettaient de voir l'engin de près, le gros gland tendu, si lisse et si arrogant, lui faire mille papouilles
baveuses et le sentir frémir, se tendre, se raidir, comme une promesse de jouissance puissante à venir, de le carresser et de prouver au mâle sa qualitée de pompeuse qui donnera droit à étre prise,
à être remplie, à se faire couvrir, vaincu par la puissance sexuel du mâle dominant.
Par BERNARD
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Publié dans : Marc la lopette
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