Marc la lopette

Lundi 3 août 1 03 /08 /Août 19:16

Léa ce révélait être une grosse gourmande de bite. Je l'enfonçais en bouche deux à trois fois par jours sans jamais la lasser et je la sentais même parfois, demandeuse de plus de sexe encore.
Son petit anus c'était transformé en une très jolie petite chatte anale rose, à peine froncée et encore très serrée.
Je lui avait interdis les gods et vibros de grosses dimensions, seuls les diamètres inférieurs à ma grosse pine lui était autorisés. De cette façons, je la motivais à s'amuser avec sa chatte mais sans l'habituer à prendre de gros diamètres. La grosse bite de son mâle était pour elle toujours une sensation recherchée et jouissive.
 Sa jeunesse éclatait et elle ressentais un telle besoin de rattraper ses années perdues sans le moindre coup de bite, que je sentis que pour la garder, il me faudrait la partager sexuellement. Je devais devenir celui par lequel, elle obtient le sexe nécessaire à son bon équilibre. Instinctivement je sus que passées quelques semaines, Léa irait chercher ailleurs ce que je ne pourrait lui offrir...Je continuais à la pervertir avec toutes sortes de petits délices qui la ravissais et qui la faisait grimpée aux rideaux en couinant comme une folle.

 

      

       

Je la faisait mettre régulièrement à quatre pattes comme une chienne et je la tringlais en levrette, assez sèchement en écartant son petit slip du moment et en enfournant ma grosse bite d'abord en bouche, puis lorsqu'elle l'avait bander à fond, je la limait tranquillement devant un film de cul. Elle s'excitait au plus haut point en étant baiser comme une salope, et être la femelle d'un tel mâle lui trempait le cul chaque fois....sa docilité me faisait bander comme un âne et elle commencait à bien savoir comment rendre ma bite aussi dur et aussi raide. Elle appréciait ma domination, morale et sexuelle, plus je lui faisait comprendre que son cul m'appartenait et plus elle était excitée et ouverte...elle avait pris goût à mon jus de couille et n'en perdait plus une goutte...
Léa était maintenant superbe, elle fréquentait assidûment le salon de coiffure de Michelle et la petite esthéticienne s'occupait d'elle très excitée de la situation...Michelle draguait Léa avec toujours autant de conviction, espérant la mettre dans son lit avec l'accord de Bernard, elle la pelotait sans vergogne et voulait à toute force s'emparer du petit sexe de Léa qu'elle assimilait à un gros clitoris. La coiffeuse était une véritable vicieuse et ne prenait que des apprenties qu'elle pouvait pervertir et dévergonder. Elle avait déjà eut beaucoup de petits coiffeurs, qui étaient arrivés jeunes hommes et partis transformés en jeunes filles. Il faut bien reconnaître que la profession s'y prête à merveille et que pour ces jeunes, la plupart étant homosexuels passifs, l'entrée dans la vie d'un salon de coiffure, c'est la découverte du monde des femelles, des soins du corps, des parfums, de la couleur et de la coupe des cheveux, de la lingeries, des vêtements et des fantasmes sur tel ou tel étalon....Michelle c'était excitée sur Léa qu'elle avait vu se transformer de petite lopette homo en un jolie travesti féminin et plus femme que beaucoup de femme...elle ne pensait qu'a lui limer l'anus au god ceinture, c'était une dominatrice, une prédatrice de chaire fraîche, une mangeuse d'apprentis, elle dévorait les culs, les petites chattes et les petites verges de touts ces petits vicieux et vicieuses qui trouvaient en elle une initiatrice expérimentée et intraitable...son adresse circulait sous le manteau et il fallait pour être accepté avoir la chance de lui plaire....sexuellement... 
Elle téléphona à Bernard et lui proposa de façons très direct de monter prendre un verre en venant chercher Léa à l'heure de la fermeture..." nous échangerons nos montures...."  lui dit elle en s'esclaffant...
Clarisse, l'apprentie de Michelle, qui avait environ 16 ans était mignonne, une très jolie bouche, de long cheveux un peu roux, une peau très clair, peu ou pas de poitrine, grande avec de belles jambes et un petit cul rebondi qui avait séduit Michelle des leur première rencontre...
Bernard, n'hésita pas une seconde et lui répondit :
" tu prends bien encore un peu de bite de temps en temps, ma salope...on fera sucer les petites putes et après je te prendrai le cul, ça te rappellera des souvenirs...aller, à ce soir..."


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Dimanche 2 août 7 02 /08 /Août 02:25

Bernard se mis en tête de faire de Léa une bonne suceuse de bite, et il décida pour se faire de la mettre à la pompe..il la fit sucer sa grosse bite non stop, et sans jamais décharger en bouche, il lui limait la gueule, elle n'eut pour se reposer que les rares moment ou il lui faisait changer de perruque ou de lingeries...


 




 



Ma queue lui rentrait en bouche et la défonçait, ses petites mains aux doigts de pute vicieuse me branlait le pieux et entourait ma grosse bite...elle salivait et faisait des bruits de bouche, de succion, d'aspiration....elle s'appliquait à devenir la bouffeuse de bite que j'attendais.....
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Vendredi 31 juillet 5 31 /07 /Juil 20:43








Après sa première sodomie,Léa c'était assoupie dans les bras de Bernard. Sa petite chatte avait été soumise à rude épreuve et alors qu'elle avait sombrée dans un demi-sommeil, il lui passa sur l'anus une pommade réparatrice qui faisait des miracles aux dire de ceux et celles qui l'avaient essayer. Le massage la réveilla un peu et elle tendit sa croupe endolorie aux soins du bon docteur.





Des le lendemain, Bernard lui fit essayer une partie de leurs achats, et au premier essayage, une nuisette noir transparente et le petit string de pute qui allait avec......





le gourdin de Bernard déformais son caleçon.....la petite salope s'y entendait pour chauffer un mâle...




elle passa un petit ensemble en faux serpent rose et noir et comme lui avait recommandée Irène, elle osa sortir son petit sexe qui ne bandait pas d'un minuscule string fait pour le troisième sexe... inquiète de la réaction de Bernard, elle fut rassurée lorsqu'elle le vis sourire...il la pris dans ses bras et lui roula une pelle en lui plaquant les mains sur le cul...
" Continue tes essayages, tu m'excite ma salope...




Léa essaya ensuite une petite robe rouge très simple avec des bas noir et des escarpins blanc...elle essaya des petites culottes, noir, rouge...mais Bernard mis fin au essai brutalement, n'y tenant plus il la culbuta dans le canapé de cuir, la retourna et en soulevant la petite robe rouge, il écarta le string pour lui vérifier l'état de son petit trou...La petite chatte encore rosie, il la graissa au silicone et lui remis sa queue après avoir doigté et écarté l'anus devenu plus souple...
Elle ne bronchait pas attendais son coup de bite, impatiente et déterminée...




Bernard approcha le pieux et s'enfonça dans la rondelle sans trop d'efforts, Léa gémit à l'introduction car le ramonage de la veille lui avait bien éclaté le cul et il restait sensible et un peu douloureux, mais répondre au désir de son mâle était pour elle si important qu'elle aurait subit plus encore si il le lui avait demandé...Il la queuta en lui parlant et en l'insultant doucement, en la pelotant de partout...puis il sorti sa bite, et sans rien dire il la releva et lui remplie la bouche de sa bite gluante, surprise et excitée elle le pompa par grosse succion bruyante et efficace.
Changeant à nouveau d'idée, il lui fit mettre une petite culotte noire transparente qui couvrait à peine son clito de lope et il la pris dans un fauteuil en lui demandant de laisser sa bouche entre ouverte comme si elle voulait encore sucer...Il était à sa main pour enfoncer le gros dard dans son petit cul  et elle gémissait comme une bonne chienne sous l'homme qui la prenait.




Léa compris des la deuxième sodomie que désormais, elle ne vivrait que pour la bite....

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Jeudi 30 juillet 4 30 /07 /Juil 20:37

Bernard bien calé contre des oreillers, la fit se positionner à quatre pattes, tête bêche, son petit cul de chienne en chaleur bien à la hauteur de sa bouche, il avait les deux mains disponibles pour la tripoter,... il lui travaillait les hanches, bien prises à pleine mains, les tétons gonflés et durcis par l'excitation étaient roulés et pincés sous ses doigts....Elle le maintenait en bouche en respirant par le nez, la gorge remplie à en pleurer du chibre du gros vicieux. Ses ongles de petite pute gourmande, très long et blanc nacrés griffait les grosses bourses pleines de jus, comme pour faire en sorte qu'elles en produisent plus encore....depuis qu'elle avait goûtée au sperme de Bernard, la liqueur de son homme avait pour elle le goût de la jouissance. Ses mains astiquait le gros sexe avec application et le pelotage en règles du vicelard la maintenait trempée depuis déjà un bon moment... 
Bernard se décida à écarter délicatement la fine barrière de résille qui s'ouvrit pour découvrir son rosebud qui lui remplissait le cul. Il titilla le bijoux et le tourna sur lui-même, pour tester les réactions de Léa qui n'en pouvait plus...l'attente était devenue pour elle insupportable tant son envie d'être prise était forte. Lorsqu'il retira le petit plug de métal de son anus, elle en ressentie une vive frustration de n'être plus remplie..il commença alors un travail du cul nécessaire à la première sodomie de sa petite chienne à bite. Ses mains écartaient puissement les deux petites fesses de Léa. Les deux pouces de Bernard, placés de part et d'autre de la petite rondelle vierge, l'écartaient en appuyant fortement, comme un masseur part de la colonne vertébral et étire les muscles vers les épaules...ce mouvement répété, changeais de rythme en étant lent et très ferme ou plus rapide et très doux..l'anus s'ouvrait et se dilatait....La jeune garce tendais sa croupe au travail du vieux cochon et mouillais abondamment....Bernard ne manquait pas de lui décrire toute l'opération par des mots grossiers, crus et orduriers, son langage de gros cochon excitait la petite lope autant que l'exhibition.
Gérard toujours derrière la cam ne perdait pas une miette du spectacle en live et se branlait sans fin...

Bernard se décida à introduire un doigt dans la chatte anale de la petite salope, et lorsqu'elle se sentie de nouveau prise du cul, elle soupirât de plaisir et s'enfonça sur le doigt..Il la travailla et le petit anus élastique se détendis d'autant, il put rajouter un autre doigt et écarter le muscle doucement mais sûrement. Le travail du cul faisait partie du rôle du vieux mâle qui y prenait un grand plaisir. Le vice et la perversité était nécessaire pour contenter l'envie de dépravation de la jeune lopette. Les allés et venus des doigts commençaient à lui ecarter le cul et la souplesse du petit oeillet rose avait atteint le seuil nécessaire à un enculage en règle.



Bernard la fit mettre à quatre patte, la tête dans les draps, il demanda à Léa qu'elle mette ses mains sur ses tétons et qu'elle se travaille ses petits mamelons..la salope se caressait ses petites pointes en gémissant.....
A genou devant le cul de la petite garce en chaleur, il lui tapotait les fesses pour la chauffer et il la fessa soudain si fortement qu'elle fut surprise et choquée par les grandes claque qu'elle prenait sur son cul. Il alternait malaxage et fessage si bien qu'après un la douleur, c'est une sensation de chaleur qui l'envahie et qui lui brûlait le bas ventre.... Pincée, doigtée, fessée, elle ne savait plus ce qu'il faisait de son cul..... d'un geste rapide, son gros pieux excité et gonflé de désire fut lubrifié au silicone, une véritable bite téfal qui glissait dans sa main....il l'appuya sur la rondelle flexible et détendu de la jeune lope qui, sa leçon bien apprise, poussai sur son sphincter anal, le gros gland écarta difficilement le petit cercle froncé et Léa gémissait de douleur, mordait un oreiller, la tête bien enfoui dans les draps...Une volées de claques sur les fesses lui rosi le cul, et Bernard écarta bien de ses deux pouces le petit cul pour ouvrir plus encore l'anus qui se laissait difficilement conquérir. Le gros noeud était en plus, à son plus haut point d'excitation et il semblait devoir exploser à tout moment...La colonne de chair finit par forcer le petite pastille et Léa ne put s'empêcher de hurler au passage du gros membre... Bernard lui caressait maintenant doucement les fesses, le bas du dos, les hanches, la taille....l'homme qui c'était introduit en elle, prenait possession de son corps et tout en continuant à la malaxer et la peloter, sans faiblir, il enfonçait lentement son sexe dans le tréfonds de son ventre, le lubrifiant qu'il avait appliqué abondamment dégoulinait entre ses cuisses et rendait sa bite toute brillante, elle disparaissait dans le petit trou qui semblait pouvoir dévorer entièrement de la grosse bite de mâle comme si ce n'était que son unique fonction. Se petit cul de tapette qui l'excitait à bloc depuis deux jour, il pouvait enfin en prendre possession
D'un imperceptible coup de rein qui marquait la fin de la pénétration, Bernard vint s'appuyer sur les fesses de la petite chienne...Enfoncé jusqu'à la garde, il remuait à peine et laissait son conduit anal s'habituer à la dilatation, il la caressait doucement en lui faisant la croupe de ses mains puissantes et vicieuses....Il la pelotait sur son petit serre-taille de vinyl afin qu'elle garde conscience de sa tenue de pute et de ce qu'elle lui devait, de douleur et de plaisir. Les grosses jarretelles et ses bas noire semblaient n'exister que pour mieux offrir son cul et grossir le membre qui allait la prendre.
Léa ne pleurait plus et la douleur laissait doucement la place à une sorte de brûlure inconnue qui la traversais et qui se répandait en elle de façons sourde et diffuse. L'étrange chaleur était relative aux déplacement de la grosse bite de Bernard qui c'était remise à la fouiller, lentement mais si fermement qu'elle était persuadée que le dard ne sortirait plus d'elle. Tenant fermement la lopette par la croupe, il accéléra l'allure et faisait maintenant coulisser le gros piston qui c'était fait sa place dans son fondement. L'étroit conduit, bien graissé par le lubrifiant, chauffait le ventre de la petite chienne. C'était elle maintenant, qui était demandeuse et qui venait s'empaler sur le dard, le gros sexe gorgé de sève lui ramonait les entrailles sans faillir et les feulements qui s'échappait de la bouche de Léa, entre deux gémissements sauvages, réclamait à son mâle plus de queue encore. Sans se préoccuper le moins du monde de ses attentes, Bernard astiquait sa bite et venait faire claquer ses grosses couilles pleines de jus contre le cul de sa salope. A grand coup de goumi, il lui prenait le cul en la traitant de tous les noms, elle couinait comme une garce et commença à ameuter tout l'immeuble en jouissant comme une grosse salope en manque de bite des coups de gourdin qui la ramonaient. C'était une demande de tout son être, elle ne semblait être née que pour atteindre ce but, se faire remplir par un mâle vicieux et jouir en femelle de la pénétration. Sentir en elle, que le désir du mâle allait exploser. Bernard se déchaina sur la petite pute qui geulait, le fait de prendre un anus vierge et serré augmentais démesurément son érection et sa maîtrise de la sodomie faisait de Léa un petit pantin qui gesticulait au bout de sa grosse queue..Elle était en transes et jouissait sans interruptiondu gros dard, limée, tringlée, remplie, le cul défoncé ....la bite de Bernard enfla soudain, et plus dur que du bois, le gland démesuré qui la fouillait explosa brutalement...Léa pris son pied de nouveau et lança des cris aiguës qui résonnèrent dans toute la cour de l'immeuble. Des jets de foutre se répandirent dans son trou du cul, et en jouissant d'un orgasme puissant, Bernard se retira d'un coup, laissant le cul de Léa béant et endolorie, des coulures de spermes s'en échappaient, la faisant femme....elle en prendrait dorénavant régulièrement plein la chatte.....et elle en était sur, elle adorerait ça.... 

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Mercredi 29 juillet 3 29 /07 /Juil 20:59

Léa rentra dans la chambre, elle vit aussitôt la cam branchée et Gérard sur l'écran de l'ordi... Bernard lui dit :  "Je me suis permis d'inviter ton ami...ça va le changer du virtuel...il va te voir en prendre plein la chatte..."
Léa acquiesça du menton et se positionnant devant la petite caméra, elle fit lentement un tour  sur elle même en tortillant un peu son petit cul et en passant sa langue sur ses lèvres.... Elle s'était changer après son lavement et sa douche....un serre-taille de vinyl noir avec des petits volants de dentelle rose lui corsettais un peu sa taille qui ainsi comprimée, faisait ressortir ses hanches et lui faisait une superbe croupe de salope. Ses petites fesses rebondies étaient mise en valeur par une très fine petite culotte de résille noir bordée de vinyl. Le petit slip de pute s'ouvrait délicatement et largement sur son petit trou pour peu que l'on écartât les deux pans de tissus coquin pour y accéder. Elle avait replacée son rosebud enduit de lubrifiant tant elle redoutait sa première fois avec le gros sexe de Bernard.
Six grosses jarretelles retenaient sans faillir ses bas noir avec un large revers de dentelle et une couture rose qui se coordonnais à merveilles avec ses escarpins rose. Les talons aiguilles approchaient les 15 cm et un petits noeud était fixé sur l'arrière de la chaussure. Sa cambrure de reins en était augmentée et lui donnait une allure majestueuse et salope. Un déshabillé vaporeux en mousseline transparente la dévoilait aux regards des mâles. Elle se savait si désirable et désirée qu'elle en avait l'entre-cuisse trempée, elle mouillait comme une salope...
Sa coiffure et son maquillage étaient si réussis que, ajoutés à son naturel androgyne, Léa était vraiment d'une féminité redoutable. Pour une petite lopette de 20ans, qui la semaine passé n'était qu'un jeune homme efféminé qui aimait se travestir avec les sous vêtement de sa belle mère, une telle mutation avait quelque chose d'incroyable.
Le potentiel était là, et Bernard, grand amateur de ce genre de garçons, avait détecté Léa sous les trait de Marc, son jeune voisin : il n'y avait plus eu par la suite, qu'a la faire éclore. Ce soir, Bernard pouvait prendre ce qui lui revenait et Léa était si heureuse de s'offrir à lui, que le plaisir allait être partagé et décuplé.
Dans la chambre, on entendait la bande son du film de cul ou les ladyboy's Thaïlandaises prenaient du gros chibres plein la gorge en râlant de douleur et de plaisir. Gérard grognait devant sa cam en mattant comme un malade.

Il ne reconnaissait plus le petit vicieux qui se travestissait devant lui et qui suçait des bananes en mattant sa bite de cochon ...La chienne en chaleur qui se tortillais devant lui et qui allait se faire grimper lui semblait être irréelle, tellement il en avait fantasmé sur le net.
Bernard, sur le lit, sa grosse queue semi gonflé mais encore un peu flasque, se délectais de la situation et laissait monter la pression...il la fit approcher et lui pelota le cul...il malaxait les fesses rebondies en alternant les caresses douces et les moments il la travaillait plus fermement, il savait lui faire sentir qu'elle lui appartenait, que la femelle, toujours, est soumise au mâle, et que, c'est en donnant du plaisir à ce gros membre viril qu'elle trouvera sa jouissance de femelle. Elle tendait les fesses en arrière pour mieux s'offrir.



 La grosse verge de Bernard avait pris forme et semblait devoir ne jamais s'arrêter de grossir. Le sang qui affluait paraissait en mesure de la faire exploser tellement les veinages bleus qui la parcourais étaient dilatés par l'envie. Léa se sentais si fière de provoquer chez cet homme d'expérience un tel effetque cela multipliait encore sa sensualité et son excitation. Il lui appuya sur la nuque pour qu'elle le pris de nouveau en bouche, sa bouche si tendre et si soyeuse, si baveuse et si vorace. Elle le goba et s'amusa du gland si dure et si lisse...sa petite main entourait à peine le gros sceptrede chair gorgé de sang...un tel sexe était le rêve de bien des femmes et elle, qui n'en était pas tout à fait une, le tenait en bouche et pourrais bientot en jouir comme une folle..

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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