Marc la lopette

Vendredi 24 juillet 5 24 /07 /Juil 01:01

Dans un petit salon d'essayage, Irène lui descendit son leggin's sur ses chevilles et tourna autour de Marc en hochant la tête.. elle lui pelota les fesses.....



c'est un très beau petit cul, elle a de belles jambes, et de fines chevilles, les mains sont mignonnes...on vas en faire quelque chose de bien....
-  " Tu sait Bernard, il faudrait vraiment que tu lui trouve un autre prénom...qui reflète mieux sa nouvelle personnalité....non ?
-  " Oui, en effet, j'y avait déjà songé, Dorénavant dis-je à Marc, tu t'appelleras Léa...."
  il sourit et m'embrassa.....
-  " Allez ma mignonne, passons au choses sérieuse ..."
  dit Irène
Que possedes t'elle déjà ....demanda Irène...? 
Rien, en fait, partons de zéro....Irène emmena Léa aux rayon des dessous, et lui proposa de choisir d'abord des classiques avant de céder à quelques extravagances plus personnel. Elles farfouillèrent sur les portants et Irène proposait à Léa des modèles qui, pensait 'elle pourrait le mieux aller avec sa morphologie, et feraient le plus gros effet sur les mâles qui ne manqueraient pas de se retourner sur son passage, voir ceux qui choperaient une grosse trique bien visible.

    

Des strings microscopiques ou plus classiques, des petites culottes ravissantes de toutes formes, des shorty moulants prêts à exploser,  et bien sur les inévitables modèles fendus sur le cul, qui permettait à la petite salope de prendre sa ration de grosse bite en restant bandante à souhait pour conserver à l'érection toute la vigueur du mâle fétichiste tringlant une tapette en lingerie de pute. Seuls, les modèles assez  souple permettait d'écarter l'entrejambe pour laisser passer le gros pieux, les autres petits slips devaient être fendu !
Elles avaient aussi à choisir différentes couleurs, toujours très sexy, du noir, du rouge vif, du rose "barbie" qui fait très bimbo, du violet et toutes ces mêmes couleurs mélangées sous forme de petit laçage, de guipures, de petits volants en dentelle, des petits empiècements en vinyle....des transparences, totales ou partielles, des satins, des dentelles extensibles et moulantes en lycra, de fines résilles ou de larges filets, des petits rubans de soie....en bref ce qui fait le bonheur de l'amateur de salope, ce à quoi on voit tout de suite le genre de petite pute qui aime allumer et faire bander le mâle....
J'avais demandé à Irène, qui s'en souvenait fort bien d'ail leur, que les portes jarretelles, coordonnées ou non, soit, très étroits et légers, modernes pour un look de jeune salope, étudiante et hardeuse à mi-temps. Les autres versions, au contraire, étaient des modèles assez enveloppants, façons "année 50 ", presque des serre-tailles, qui moulaient bien les hanches et lui faisaient une silhouette à faire bander comme un âne. De nombreuses jarretelles, parfois jusqu'à huit, retenaient bien attachés des bas nylons crissant à souhait, à couture et talons renforcés, parfois en dentelle et selon les humeurs du moment, à résille pour un look plus putasse, avec des mailles fines ou au contraire des filets larges... la couleur était souvent le noir mais du rouge ou du rose était aussi très bien. J'aimais le plaisir non feint que Léa prenait à enfiler ses bas et à les porter. Elle savait de façons intuitive, comme toute les femelles, le pouvoir qu'ils lui dispensaient et toute la jouissance qu'elle pourrait en tirer.
Après avoir choisi plusieurs modèles, Iréne entraîna Léa dans un petit salon d'essayage et la déshabilla en un tournemain, Iréne lui agrafait son porte jarretelles en lui caressant les fesses et en la complimentant sur leur fermetés et leur douceurs...Léa était surprise et envahie par un désir nouveau, cette femme qui la draguais comme un homme lui faisait envie aussi et la douceur de sa bouche et de ses caresses lui promettait des plaisirs nouveaux et excitant.
 Elle en était toute troublée, émue et fébrile. Irène s'en appercu, la pris dans ses bras et l'embrassa langoureusement :
- ' Je suis sur que tu aimes aussi les femmes...je possède un très jolie god ceinture....murmura Irène à l'oreille de Léa...
  " Je suis sur que tu vas adorer...."  dit-elle en lui griffant légèrement ses petits tétons devenus tout dur...
Allons te choisir des vêtement maintenant...

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Mercredi 22 juillet 3 22 /07 /Juil 23:37

J'avais conservé la carte de visite du Taxi qui m'avait emmené faire percer Sylvie, c'était un gros vicelard et je lui avait téléphoné quelque minutes avant, il nous attendais devant la porte de l'immeuble...
Il sorti nous ouvrir la porte arrière de sa voiture, et se rincer l'oeil sur le petit cul de Marc. Son visage très androgyne, son maquillage et sa tenue le trompère. Il l'appela mademoiselle.. et continuant dans cette veine, je décidais de dire " elle " à Marc en m'adressant à lui.
 " Métro Pigalle ", indiquais-je au chauffeur...Il cru être plus complice en me demandant :
- " Mademoiselle part au travail" ....."Non.. nous allons acheter ses vêtements de travail..."  Il matais sérieusement en se caressant la bosse que faisait sa queue sur son pantalon, il me dit sans se gêner, " celle-ci est bonne aussi mais je préfère celle de l'autre fois...ça d'vai être une meilleure baiseuse..."  

Je lui répondit : " Mais enfin, ça n'a rien a voir, Marc, c'est une petite tapette, il est bien meilleur du cul.." Et je lui roulais une grosse pelle ma langue bien dans sa bouche, en lui pelotant les tétons..
Le taxi était stupéfait, il dévisageais Marc pour essayer de comprendre sa méprise...  " Et en plus me dit -il,  y parait que se genre de salope, ça suce mieux que les femmes..." 
- " Mais...c'est ...une femme ! "
Notre arrivé mis fin à la conversation, et il nous regarda partir médusé...nous descendions le boulevard Rochechouart, Marc était superbe et sexy, je le tenais par la hanche, pour bien marquer qu'il était à moi, ma main lui faisant le cul de temps en temps, je pelotais le petit relief laisser par le string pour bien souligner, s'il en était besoin, l'impudeur de sa tenue...le petit leggin's de lycra blanc exposait encore plus qu'il ne cachait, ses bas et son string de fin tulle noire. J'eus l'idée de lui faire poser un de ces jour, un piercing au nombril et un autre sur la langue..très à l'aise sur ses talons aiguilles qui lui cambrait bien la croupe, Marc trouva naturellement une allure et un petit déhanchement qui faisait légèrement rouler son petit cul. 

Les trottoirs de Pigalle fourmillaient de curieux un peu cochon, de touriste en goguette plutôt chaud, d'occasionnelles qui draguait le chaland, d'employés ou de désoeuvrés qui maraudait à la recherche de je ne sais quel occasion...Marc se faisait siffler par des ouvriers du bâtiment sur un chantier qui l'appelais à venir subir tous les outrages que leur imagination s'autorisait...Il rougit comme une tomate et je lui pelotais le cul ouvertement en passant un doigt dans la raie de ses fesses en passant devant eux...

Nous entrâmes dans un magasin de lingeries sexy et sextoy's tenus par un couple d'amis, qui fréquentait aussi le club.



           

               

C'était un couple d'une quarantaine d'année, Eric un beau mec sportif, baraqué, brun, poilu comme un gorille et très bien monté. Sa femme, Irène, une grande brune, jolie, avec une grosse paire de seins, très salope, super sexy voir assez putasse, elle était bisexuelle et bouffait aussi bien de la bite que de la chatte. Ce couple libertin avait expérimenté tout ce qui pouvait se faire comme partie de cul diverses et variées. Leur commerce était plus que prospère et leur permettait de faire une multitude de rencontre.
Eric me demanda discrètement,  - " tu l'a depuis combien de temps...? "  
- " Depuis hier...je viens l'équipée...
-  " Je vous laisse avec Irène...il parti s'occuper d'un groupe de touriste japonnais
..."
Irène s'approcha de nous et dis à Marc, - " Bonjour ma chérie " et elle lui roula une pelle lentement.  " Détends toi, ma chérie...tu est toute crispée, on vas t'habiller comme une reine..." ......et elle nous entraîna dans les rayons...

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Mercredi 22 juillet 3 22 /07 /Juil 16:06



J'avais pris une petite douche rapide et en m'essuyant, je dis à Marc
"Je te sort en lopette, si tu oses..."
- " Ou allons nous, Bernard...? "
-  " Qu'importe, tu le saura bien assez vite...je me charge de t'habiller...."

J'ouvris le dressing et après un rapide coup d'oeil, rien ne me convenait vraiment, j'eus une petite idée en trouvant un leggins en lycra blanc,  je sortis du tiroir à petites culottes, un mini string en fin tulle noir et bordé d'une ceinture de dentelle froncées, une paire de DIM UP noir avec revers en dentelle. Ses adorables petites fesses rebondies était une invitation permanente pour tout les mâles vicieux qui croisaient sa route à lui défoncer l'anus sauvagement.
Je donnais les vêtement à Marc qui fut ravis de ma trouvaille, il enfila les bas avec une dextérité qui prouvait une certaine expérience, la petite culotte de salope lui allait superbement et son minuscule sexe était invisible. Je lui appris à placer sa petite verge entre ses cuisses, fixée par un petit sparadrap de couleur chair, et je lui fis la remarque que des que possible, il taille les petits poils blonds de son pubis en ticket de métro...Je le sentis surpris car il commençait à comprendre à quel point j'étais fétichiste et amateur éclairé de lingeries fines et chaudes...mon soucis du détail l'impressionna et l'excitait comme une puce....
Il  entreprit ensuite de se glisser dans le leggins de lycra blanc qui épousa parfaitement ses formes, ainsi étirée la fine épaisseur de matière blanche était très peu opaque et laissait voir, la forme, l'empreinte, le relief et la couleur noir de la petite culotte, de ces bordures de dentelles, de l'élastique des Dim up. Sa petite croupe de lopette ainsi présentée dans un tel écrin le rendait irrésistible. Je trouvais un gros ceinturon de cuir noir clouté avec une boucle de métal qui finissait la tenue. Il pris de lui même dans une pile de chemisier, un petit haut blanc sans manche qui laissait voir son nombril  et qui laissait apparaître au travers ses petits tétons.
Un spencer noir très ajusté, un peu comme un torrero, avec des manches en voile noir transparent terminait ses préparatifs. Il passa au maquillage qui se résumait à un rose glossy très vif qui mettais sa bouche en valeur. Une ombre à paupières et un trait d' eye-liner suffire pour les yeux.
- "As tu des chaussures à ta taille...? "  en fouillant le bas de la penderie....." Non ! ... me répondit il tout penaud...
Quel est ta pointure ? 
" Taille 41..me dit il, je met souvent les mules, le bout de mes talons débordes un peu et le devant est ouvert... "
- " Vas pour les mules, dis-je, nous n'avons pas le choix..."





Il se percha sur des mules à plateforme de 15 cm avec la même habitude que celle d'enfiler des bas...ses bas coutures étaient bien visible et l'oeil suivait le fil conducteur de la couture pour arriver sur ses fesses si parfaites, si prometteuses de délices sodomites, le regard s'accrochait dans le petit string noir comme dans un filet et restais prisonnier du petit cul de la lopette.
Ma bite avait repris sa grosseur de tout à l'heure, je m'éloignait pour prendre un peu de recul, il ou elle, je ne savais plus vraiment, était réellement bandante. Je le fit tourner sur lui même et marcher un peu.....Je l'attirait dans mes bras et l'embrassait goulûment, je lui pelotait son petit cul en prenant chaque globe de ses fesses dans mes mains, il se frottait sur ma bite et je lui donnais ma langue à sucer.....

Je lui déballais ma queue et l'acroupie devant moi pour lui mettre en bouche, juste pour le chauffer avant de sortir...il me pompa un peu et je lui enlevais le gros sucre d'orge....
- " Allez, on y vas ma salope, je te sors... tu as vraiment un look de petite pute... qui m'excite à fond " 
Il s'empara d'un petit sac à mains et de boucles d'oreilles, je le poussais sur le palier d'une claque sur les fesses...allons faire nos courses....

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Mercredi 22 juillet 3 22 /07 /Juil 09:06

Nous étions sur le lit, et je lui déballais mon gros sexe épilé déjà très gonflé par l'excitation de la situation et les caresses maladroites de Marc.
 Bon, si tu as une petite trousse de maquillage, tu vas d'abords te faire une beauté...il s'assit devant une coiffeuse sur la quel était rangé des dizaines de pots, de boites et autres tubes....et il entrepris avec une certaine expérience, de se maquiller, je réglais la cam sur un angle plus large, et revint m'étendre sur le dos, la bite toujours aussi triomphante, Marc se mit en tailleur près de moi et repris ma queue dans ses mains.....
Il la branlait et la découvrait les yeux extasiés comme devant un paysage magnifique...Il la voyait frémir et se gonfler sous l'action de ses doigts et sentais inconsciemment le pouvoir qu'il pouvait détenir en donnant ou en ne donnant pas de plaisir à cette colonne vibrante de désir. Il sut aussi par instinct, qu'il serait dépendant du gros pieux de chair rigide qui le remplirait comme une femme et qui lui apporterait la jouissance. Il ne pensait qu'au sexe, il en avait envie depuis si longtemps que notre rencontre était pour lui un signe du destin. Son visage aux traits fins et gracieux était à peine maquillé, il me sembla qu'il faisait des séance d'UVA car son teint de peau plutôt clair était un peu halé. Seules, ses lèvres étaient brillante et d'un rouge en harmonie avec son déshabillée, une petite touche discrète d'un parfum fleuri invitait à le peloter de partout.
C'était une véritable femelle et le fait de savoir qu'il appartiendrait à un homme sonnait pour lui comme une véritable libération. Son coté androgyne semblait s'accentuer au fur et à mesure qu'il prenait conscience de sa vrai nature et qu'il acceptais enfin de libérer sa sexualité.
" Tu as déjà sucer de la bite...? "  lui dis-je d'un ton direct en le regardant dans les yeux...je le brusquait sciemment pour qu'il comprenne que notre relation serait basée sur du sexe, et je lui lançait:
- " Je veux te tringler du cul comme une véritable garce, tu vas être ma chienne à bite, je suis pervers, vicieux et cochon...je vais te dresser à soulager un mâle..." il me regardait en baissant les yeux...
- " Alors, tu as pomper de la queue ou pas...? "
- " Non, jamais, me dit il doucement de sa voix fluette, mais Gérard me fais sucer des bananes ou des courgettes devant la cam..." 
- " C'est tout, tu ne t'ai jamais travaillé le cul...?   tu te doigte...?  jamais caressé un homme... ? tu aimes avoir la bouche pleine...?
Je lui posais trente questions en rafale, il avait à peine le temps de réfléchir et par ces réponses, je m'aperçus qu'il s'excitait surtout à se travestir et à s'exhiber à Gérard qui lui faisait faire à distance quelques cochonneries très banal..
Ces doigts fin m'enserrait la bite et il chatouillait mon gros gland par le plat de son pouce...Il semblait ne plus pouvoir la lâcher...." Tu vas me faire voir ce que tu à appris sur tes bananes ma salope..."mon bras s'enroula sur son cou et ma main le pris par la nuque, je le forçait à peine à s'approcher de mon dard, la bouche ouverte, il gobat mon gros gland et ses petites lèvres délicieuses se refermèrent sur mon gourdin. Je le calait de coté par rapport à la cam pour que le vicelard nous matte sans problème...." Gérard te regarde en branlant sa bite, ma petite chienne....ça t 'exite hein..."
il absorbait mon manche comme s'il avait sucer depuis toujours, sa bouche se faisait toute ronde et épousait mon dard comme une gaine étroite, chaude et baveuse. Il grognait doucement et se régalait de la grosse queue qu'il tétait par grosses succions comme un jeune veau avide et gourmand.., des petits gloussements de plaisir s'échappaient, ses petites mains s'activait sur la hampe turgescente, dans une savante branlette, il prenait aussi les couilles délicatement, pour les faire jouer dans sa main et sentir le paquet se gonfler et durcir avant de faire gicler le foutre épais et chaud du mâle en rut.
Je l'avait agenouillé devant moi,mon ventre imposant le surplombait, et dans la positon du soumis à genou devant le mâle dominant, mon gros sexe triomphant lui remplissait sa bouche vicieuse de lopette. Marc accéléra la cadence et je sus qu'il voulait mon jus de couille, il m'aspira la queue une dernière fois, les joues creusées de la petite pompeuse se détendirent et j'explosai dans sa bouche en grosses giclées de sperme, nerveuses et abondantes, lui remplissant la gueule à le faire s'étrangler, il se releva d'un coup et essuya le foutre qui ourlait ses lèvres, en reprenant sa respiration, il essuya ses doigts graissés dans sa bouche.....



- " tu suces aussi bien qu'une femme, tu est très doué pour la sucette...il faudra un peu te perfectionner, apprendre quelques variantes et moins te précipiter... je t'y aiderai.."
Il me sourit et repris ma bite ramollie en bouche pour lui refaire une beauté.
- " Hummm, humm elle est trop bonne et vraiment meilleur qu'une banane....Je t'adore Bernard ..."
- " Tu adores la bite oui...tu est une véritable petite chienne..."
Je lui mis une main dans son shorty, son petit sexe était resté tout mou et en remontant ma main de lui glissa un doigt entre les fesses je vis qu'il était trempé du cul, mouillé comme comme une chienne en chaleur, moite et chaud, prêt a prendre un homme entre ses petites fesses de tapette.

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Mardi 21 juillet 2 21 /07 /Juil 19:02

J'avais gardé le double de la clé de Sylvie qui venait parfois chercher quelques affaires. Je pris un petit sac de voyage et refermais doucement ma porte de pallier. J'hésitais une seconde quand à la tactique à suivre, puis je me décidais.
J'introduis la clé dans la serrure sans faire de bruit et, simultanément je sonnais fermement en tournant le clé.
La porte s'ouvrit, je la claquait fort derrière moi et en trois enjambées j'étais déjà sur le seuil de la chambre, mon sac de voyage à la main...
Marc était livide et décomposé.....encore surpris par la rapidité de mon arrivé..il tentait de rabattre sur lui son peignoir transparent, décontenancé par la situation...il était hébété et sans voix.
Il bredouilla des mots inintelligibles...et je lui coupai la parole....
Je suis désolé dis-je, " Je venais chercher des chaussures appartenant à ta belle mère et je pensais vraiment que tu étais absent...tu n'as pas de cours ?..."
Mortifié, il bégaya une absence d'un professeur....
Je m'approchai et lui dis doucement... ne t'inquiète pas mon petit Marc, je suis très discret et en ce qui me concerne, je te préfère largement comme ça. Je le pris dans mes bras et l'embrassais en lui entrant ma langue dans la bouche. Il était sous le choc, inerte, je lui passais une main sur ses petites fesses et le pelotais tendrement à travers son mini shorty en soie noire. Détends toi, lui dis je doucement, je suis bisexuel depuis toujours et j'adore les filles de ton genre.
Il pleurait sur mon épaule, et de gros sanglots s'échappaient nerveusement. Je n'en continuais pas moins à le caresser et je lui soufflais à l'oreille..."Tu vas être ma petite femme maintenant, tu as besoin d'un homme..." je le pelotai toujours de partout gentiment en l'embrassant...Il se calma et je l'envoyai prendre une douche...il fila sans demander son reste, et pendant que j'entendais le jet de la douche dans la salle de bain, je m'assis devant l'ordinateur ou le gros homme vicieux n'avait rien perdu de toute la scène, mais sans avoir le son....
Bonsoir, je m'appelle Bernard et toi ?
Le type dit s'appeler Gérard, il me raconta leur relation virtuel depuis 2 ans déjà, pas très régulière car dépendant de leurs emplois du temps respectifs, le môme s'habillait avec les fringues et la lingeries de sa mère, ils étaient aussi vicieux l'un que l'autre et Gérard se branlait devant l'écran....Tu peux laisser ta cam branchée et tu lui dira les mêmes trucs cochons que d'habitude ...ok ? ...il approuva trop heureux du dénouement...
Marc sortis de la salle de bains, ragaillardi par la douche et sans doute aussi par la nouvelle tournure qu'avait pris les choses. J'ai discuté un peu avec ton ami Gérard, pour l'instant il reste avec nous !
Je le pris par la taille et l'embrassais...habille toi, s'il te plaît..Il voulu aller dans sa chambre prendre ses vêtements de garçons...
Non, non, non....à partir de maintenant ton dressing, c'est vraiment celui là...il me regarda avec un grand sourire, 
- " C'est vrai Bernard....je pourrai encore..."
 non, le coupais je... ce sera indispensable.. Marc me sauta au cou et je lui dévorait la bouche. Il se recula et me dit un peu inquiet... "Je suis encore puceau, je n'ai jamais eu de relation sexuelle avec un homme ou une fille..."
Allez, habille-toi, ...il enfila son shorty et son déshabillée transparent, je le repris dans mes bras, mes deux mains lui tenant fermement ses petites fesse, je le malaxais doucement et lui dit à l'oreille:
 - "Dorénavant, tu vas être à moi, je suis très vicieux et sexuellement très actif,.... tout en prononçant ces mots, mes deux mains écartaient bien ses fesses pour poser mes doigts autour de son petit anus, à travers la soie du shorty, je sentis sa rondelle se contracter...il se lova contre moi..."
Ce que je veux, dis je d'une voix plus ferme, c'est que tu soit aussi salope que tu l'est avec ton amis Gérard...Il ne répondit pas, mais il se frotta à moi et sa main vint se poser sur la grosse bosse qui déformait mon jean's....Je lui susurrait à l'oreille,
Tu vas apprendre à aimer ma grosse queue et tu ne pourras bientôt plus t'en passer.... 

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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