Marc la lopette

Mercredi 29 juillet 3 29 /07 /Juil 16:42

Après la pipe, Bernard était un peu calmé et la tension accumulée dans l'après-midi était un peu redescendu...Léa leur servie un verre et se fit très chatte en se lovant contre son mâle et en lui caressant son gros membre à peine dégonflé de son étreinte buccale. Bernard lui mordillait l'épaule et lui caressait alternativement ses deux petits tétons qui étaient tout bandés. Elle avait les seins d'une extrême sensibilité et au salon de coiffure déjà les caresses de Michelle sur ses petites pointes dardées à travers le tulle de son petit haut l'avait excité au plus haut point et lui avait confirmée la jouissance qu'elle pouvait tirer de ses tétons. Systématiquement, chaque fois qu'elle se caressait de façon solitaire une de ses mains s'occupait de son petit sexe et l'autre triturait les petits mamelons. Une de ses envies les plus fortes était de se faire prescrire les hormones nécessaire à la naissance d'une petite poitrine...à la formation de hanches féminines.. devenir une femme avec un corps de femme....Pour l'instant, elle allait devenir la femme de Bernard et cela lui suffisait à son bonheur.
Bernard se leva et parmi leur achats de l'après midi, sorti du sac de sextoy's, un accessoire que lui avait recommandé Irène. C'était un god de plastique rose perçé comme une pomme de douche, qui se fixait sur le tuyau de le mélangeur de la baignoire et qui permettrait à Léa de faire une toilette intime toute indiquée pour les relations sexuelles qu'elle pouvait prévoir.



 Il s'agissait d'un embout en plastique rose vif en forme de petite verge, avec un petit gland percé a son extrémité et qui permettait de s'administrer un lavement d'eau tiède. Il fallait se l'introduire dans délicatement dans l'anus, et y injecter doucement de l'eau jusqu'à ne plus pouvoir la conserver. Expulser l'eau violemment par une contraction abdominale et répéter l'opération, deux à trois fois, on en sortait impeccable et c'était un bonheur de pouvoir tendre sa croupe et l'offrir à son mâle en sachant que de très désagréables inconvénient ne feraient pas partie du jeux. Bernard initia Léa à ces petits préparatifs et elle s'empressa d'expérimenter son premier lavement tant le soucis d'une hygiène irréprochable lui tenait à coeur.

Bernard  se resservi un verre et alluma le lecteur de dvd pour mater un nouveau film de cul, il alluma aussi la cam de Léa pour contacter Gérard, il voulait faire tourner la cam pour Gérard le voyeur lorque Léa se ferrait dépuceler son petit cul.
Bernard était exhibitionniste et vicieux, et tringler sa lopette ne pouvait se faire à ses yeux que d'une façons perverse et dépravée. Gérard derrière sa cam matait Léa depuis des mois et il lui semblait normal qu'il fut invité à la cérémonie.
A peine contacté Gérard était déjà devant son ordi et sa bite était dans sa main...Installé sur le lit Bernard bandochait devant le film de cul ou deux ladyboy's se faisaient partouzer par un groupe de touristes américains venu baiser de beaux morceaux de petites chienne thaïlandaises. Le film était très vicieux, à la fois hard mais pas gore. Les américains étaient grands, gros et gras avec des bites de cheval et les petits travs thaïlandais très fin et très petits mais terriblement bandantes et vicieuses. Elles prenaient de la bite avec une facilité déconcertante et la brutalité des mâles semblaient les exciter encore plus. Elle les reçurent en bouche pour des gorges profondes, sur le dos, la tête en arrière, penché dans le vide pour que les gros pieux les remplissent et les bourres jusqu'à ce qu'elles s'étouffent dans la bave, la bouche et la gorge déformées par les gros membres qui trouvent leur plaisir dans la soumission et l'humiliation de la pompeuse. Le spectacle des filles s'empalant d'un seul élan, d'elles mêmes jusqu'au amygdale et cracher, et vomir et reprendre de la queue ne laisse pas indifférent et fais bander bien des bites...toutes ses salopes ne mirent pas longtemps à lui remettre son énorme gourdin en état d'astiquer une chatte de lopette...

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Lundi 27 juillet 1 27 /07 /Juil 21:04

La métamorphose qui c'était opérée en moins de 48 heures avait transformé Marc en Léa de façons éclatante.
Lorsqu'elles sortirent du salon de coiffure, Irène et Léa étaient toutes les deux ravies de leurs coupes de cheveux.

Léa avait mué en une superbe jeune fille, sexy à souhait et à l'allure très salope. Il n'était pas anormal qu'elle soit draguée par tous les hommes et les femmes qui l'approchaient tant elle était appétissante et faite pour l'amour. Sa sensualité exacerbée réveillait les sens de tous et son cul de petite allumeuse qu'elle remuait si joliment était un appel permanent aux relations les plus torrides. Son coté androgyne faisait resurgir chez tous,une bisexualité latente qui tenaillait les hommes les plus viril et les femmes les plus féminines. Ils en étaient d'ailleurs fort surpris et très excités. Quand à ceux qui savaient très bien ou ils en étaient sexuellement, la vue d'une telle petite salope aussi chaude du cul les faisaient démarrer au quart de tour, ils voulaient sans attendre la baiser, l'enculer, la sodomiser, la lécher, la sucer, la tringler, la limer, la défoncer...et la baiser encore...
Quand à Léa, elle ne pensait qu'au gros sexe de Bernard. Il allait la saillir comme une chienne en chaleur, et le fait est que rien qu'en y pensant, elle mouillait. Son rosebud lui travaillait gentiment son petite anus vierge et une sensation délicieuse l'envahissait en lui faisant connaître délicatement les prémices de la sodomie. Elle avait envie d'un homme depuis si longtemps. Elle avait passé tant et tant d'heure, à se caresser dans la lingeries sexy de sa belle mère, cette lingeries qui déjà, dans ses fantasmes les plus débridés, faisait d'elle, une prostituée, une chienne à bite, une dépravée, la véritable salope suceuse de bite qu'elle rêvait de devenir en se caressant dans le fin nylon de ses tenues de petite pute. 

Elles revinrent aux magasins et trouvèrent leurs hommes en train de peloter et draguer deux jeunes petites étudiantes japonaises en jupette au ras de la moule, qui n'avaient semble t'il pas froid aux yeux.. et qui avaient l'air d'être habituées à se brouter leur petits minous respectif. Elles voulaient acheter un énorme vibromasseur, reproduction fidèle d'une très grosse bite de black. Leurs petites mains en faisaient à peine le tour et leurs petites bouches avalaient à peine le gros gland mais elles paraissaient si motivées pour se l'enfourner dans la chatte que l'on ressentait toute la perversion qui émanait des deux fausses écolières. 
En se retournant, Bernard fut saisi par Léa ainsi transformée... elle lui mis la grosse gaule direct, le coup de sang avait gonflé sa verge en un instant et le gros chibre battait sa cuisse et déformait son pantalon de façons très visible..Iréne lui lança :
  - " J'ai bien travaillée, hein Bernard ? ...Je ne te demande même pas si tu la trouve bandante, ta petite salope....
pour l'instant d'ailleurs, elle ne manque pas de proposition, Michelle veut absolument la travailler au god ceinture et la petite cochonne n'a pas refusée....quand à nous, il faudra absolument que vous passiez un soir, qu'on l'essaye aussi...."
Léa s'excitait d'entendre qu'elle était désirée par tous et comme une bonne petite allumeuse, elle en profitais pour remuer du cul plus que nécessaire, passant ses doigts aux ongles nacrés sur ses lèvres peintes en rouge..

Eric qui était derrière sa femme, lui passa les bras autour du corps et pris en main sa grosse poitrine gonflée à l'hélium..Il lui faisait les seins comme un gros salaud et se pris une grosse trique aussi. Iréne flatta la pine à travers le pantalon, et il lui plaqua une main au chat, elle avait la chatte ruisselante... elle minauda, " j'ai un gros besoin de bite, prends moi debout dans la réserve..... " 
Ils fermèrent le magasin et la chaudasse s'en pris pris plein la chatte, culbutée dans les cartons de la réserve..elle jouissait comme une chienne, astiquée par le gros membre de son mâle et on l'entendait bramer depuis la rue..

Bernard et Léa rentrèrent, la bite de Bernard resta grosse jusqu'au retour à l'appartement ou à peine rentré, il dégrafa la braguette de son pantalon et sorti son chibre violacé par la puissante érection, il pris Léa par la nuque et la mis à genou devant son gros engin...

 

- " Tu vas pomper ma bite et essorer mes grosses couilles, sinon je ne pourrait jamais te déflorer l'anus proprement,
tu m'a tant excite, ma petite lopette que dans cet état, je  vais saccager ton petit trou....je préfère te limer ta petite gueule de pute ma salope, tu vas prendre du jus et je te queuterai après. Il l'enfourna en bouche et la gava jusqu'en fond de gorge...
Léa fut autant surprise par la violence de l'assaut que par le plaisir d'être la femelle d'un tel mâle aussi chaud et viril...Le membre était nerveux et tendus à l'extrême...Bernard cherchait son plaisir en essayant d'enfoncer le pieu au plus profond  et elle s'en étranglait et s'en étouffait mais en s'enfonçant d'elle même un peu plus, sur le gourdin qui la rendait folle. Sentir cette grosse colonne de chair qui vibrait dans sa bouche, soupeser les lourdes couilles à la peau si douce et pouvoir les griffer avec ses nouveaux ongles de salope lui trempait le cul et elle en profitait pour contracter son petit anus sur le rosebud qui l'avait dilatée toute l'après midi. La fellation de Léa était celle d'une petite débutante mais si douée et si motivée que Bernard n'y tenant plus se vida par gros jets de son épaisse liqueur, la petite vicieuse avalait la semence du corps de son homme avec un plaisir non dissimulé et pompa le gros dard avidement jusqu'à la dernière goutte....
"Je suce bien ? ..."  lui demanda t 'elle  innocemment ...la bouche encore crémeuse de foutre...
" Tu suces de mieux en mieux, je vais faire de toi une véritable petite chienne à partouze.... tu as vu  comme tu plaît aux hommes et aux femmes..il veulent tous te tringler, les vicelards, c 'est ton petit cul qui les rends fou...ce soir, je te dépucelle l'anus.."
Léa embrassa le gland qui c'était amolli et se releva, elle embrassa son homme avec le goût du sperme encore en bouche...

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 23:04

Les hommes se firent nettoyer la queue par les deux pipeuses et les deux salopes se roulèrent une grosse pelle. Irène était séduite et Eric aussi, le couple de "chaud" se promit d'explorer plus avant le petit cul de chienne de Léa.
Irène dit à Léa, - " Laissons les hommes entre eux , j'avais rendez vous chez le coiffeur, je t'emmène "...Léa passa une mini jupe en cuir et suivi sa nouvelle copine sans tergiverser, décidément elle adorait sa nouvelle vie..elles partirent à pied et Irène demanda à Léa si son rosebud lui était agréable à porter, elle lui pelota le cul au travers de sa petite jupe de cuir et sa main baladeuse de vicieuse vint effleurer doucement le bijou anal...

- " tu sais Léa, je peut me permettre un conseil, mon expérience de toute sortes de sexualités et mon attirance pour toi
m'autorise à te parler sincèrement... il faudrait que tu accepte ton petit sexe et ne plus le faire disparaître sous un sparadrap, ce petit sexe existe et il est nécessaire à ton épanouissement, même si tu n'est pas active et que tu n'a pas d'érection, vit le comme un beau clitoris qui plairait à beaucoup de femme .....et il plaira à beaucoup de tes partenaires, crois moi...et, plus important encore, il finira par te plaire..."

Léa réfléchissais, mais elle n'était pas prête, sa nouvelle vie venait de commencer et en 48 h, ... elle avait plus évoluée qu'en 4 ans... tout cela allait beaucoup trop vite, pour l'instant, même si les rapports lesbiens avec Irène lui était très agréable et l'excitait terriblement, c'est Bernard qui la faisait fondre et les rapports ambiguës qu'ils entretenaient, ou elle était une véritable femme, l'excitait tellement plus. Lorsqu'il la regardait ou lorsqu'il la touchait, elle était littéralement mouillée de désir et depuis qu'il lui avait donné sa grosse queue à sucer, Léa ne pensait plus qu'au moment ou le gros dard s'insinuerait au plus profond d'elle pour la remplir, la faire jouir et la faire femme. Elle contractais son petit anus en marchant pour sentir son bijou intimes et se souvenant des caresses anales d'Irène dans le petit salon d'essayage, elle se retourna vers son amie et l'embrassa fougueusement.

Irène rentra dans un salon de coiffure pour femme, tenue par une de ses amies...
" - Tu pourrais prendre ma copine Léa, et lui faire une petite coupe, quelque chose de mignon...je passe la première, fais lui poser des ongles en attendant, cela me semble plus que nécessaire..."
La patronne qui s'amusait déjà de la situation appela son apprentie et lui donna les ordres qui convenait, Léa fut emmener au sous sol du salon de coiffure ou se trouvais un petit institut de beauté et la jeune apprentie qui devait avoir dans les 16 ans s'occupait de la pose d'ongles artificiels, en plus de faire les shampoings.



Léa choisis des modèles longs qu'elle fit  tailler assez carrer à leurs extrémités et papota sans aucune gène avec la jeune fille qui s'appelait Clarisse. Elles entendaient au dessus la patronne du salon qui gloussait avec Irène et Léa devinait qu'elles devaient parler d'elle...Lorsque se fut posé, Léa avait de superbes mains ornées d'ongles longs très sexy vernis d'un blanc nacré avec des paillettes. Elle regardait ses mains et n'en revenait pas. De l'étage, Irène l'appela pour sa coupe de cheveux. La patronne vint la chercher en haut de l'escalier et la mena vers les bacs de shampoing et, la tenant par les fesses, elle la pelotait carrément. C'était une grande brune très sexy, avec une belle poitrine, elle était habillée tout en cuir, un spencer et une jupe au dessus du genoux, très fendu sur le devant qui laissait voir le revers de ses bas. Elle portait des bottes de cuir noir, qui lui moulait les mollets, avec des talons très haut et très pointu. Une maîtresse femme qui savait exactement comment s'y prendre pour combler ses désirs.

Une fois assise sur la fauteuil, la tête renversée en arrière, la patronne se plaça au dessus d'elle et lui caressa ses petits tétons à travers le chemisier...
Elle regarda Léa dans les yeux et lui dit " tu es mignonne comme tout toi...il faudra passer me voir à la maison "
et elle commença le shampoing en lui massant la tête très doucement.... elle lui chuchotât à l'oreille..
  " j'ai un superbe gode ceinture...je serai ravis que tu en profite..."
Léa était surprise de l'effet qu'elle produisait sur les femmes, elle lui sourit et lui répondit d'un air ingénu....
" pourquoi pas.."
Michelle, c'était le prénom de la coiffeuse, dit à Clarisse,  " Un soir, Léa passera nous voir...." et Léa pensa que ce n'était peut être pas que son apprentie...
" Tu as de jolie cheveux " lui dit-elle, " pourquoi avoir une coupe aussi vilaine, tachons d'arranger ça"....
les cheveux mi-long de Léa était encore il y a deux jours, ceux de Marc qui n'y prêtait, il faut bien le dire, pas une grande attention...ce que Michelle réussie à faire, en terme de coiffure, lui allait à merveille et rendait son visage plus fin, plus en harmonie avec ses traits, et faisait éclater sa féminité..." il te faudra un nettoyage de peau, un gommage et quantités d'autres soins...j'appellerai moi-même Bernard...et après nous irons au club ou vous passerez dîner à la maison...." Léa compris à ce moment que toutes ses personnes se connaissaient et se fréquentaient régulièrement, leur point commun était encore et toujours ce fameux " club " ou Léa n'avait jamais mis les pieds...
Michelle se mis face à elle et lui refit son mascara et son rouge à lèvre.....
"Il faudra aussi que l'on revoit ça, ton maquillage laisse à désirer ma chérie..."

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 16:57





Le rosebud. Ce bijou remplit l'anus et permet d'assouplir le muscle sans le déformer. Il est important qu'un petit anus de débutante soit travaillé en finesse sans être ni maltraité ni déformé et il est important aussi que la première sodomie soit faite dans la douceur et le plaisir. 
Léa faisait instinctivement confiance à Bernard qu'elle savait être un expert et la façon dont il la dirigeais depuis le début de leur relation lui allait à merveille...elle se sentait libre et protégée et bien que, à 50 ans passé, Bernard n'ai plus un physique de jeune premier, sa petite bedaine et ses cheveux grisonnant la rassurait et était pour elle le gage d'une certaine expérience. Il était réellement vicieux et pervers et le fait qu'il ai soumis sa belle-mère était pour Léa, la marque de la puissance et de la virilité de Bernard. Le fait de partager avec Sylvie son amant excitait Léa et la valorisait. Elle était toute surprise qu'une petite tapette puisse séduire un tel mâle.
En outre, la fellation qu'elle avait pu lui prodigué pour la premiere fois, lui avait confirmé le goût qu'elle avait à se soumettre à la bite et à en tirer le jus. Celle de Bernard était grosse, dur et vigoureuse à souhait et elle ne pouvait déjà plus s'en passer. Le fétichisme qui l'animait avait été le déclencheur de cette relation et pour une lopette comme elle, c'était essentiel...depuis l'âge de 16 ans, Marc mettait de la lingeries de fille et regardait les hommes murs, aujourd'hui Bernard l'avait baptisée Léa et ce soir, avec son gros membre de chair, il allait la dépuceler et elle serait femme...

La petite salope qui portait un rosebud en tirait un plaisir certain et Irène choisi un bijou d'inox poli, la longueur total était de 6 cm mais la partie pénétrante ne faisait que 3 cm, le diamètre était de 2.5 cm...c'était le bijou même pour débutante....
Irène souffla quelques mots à l'oreille de Bernard et après quelques secondes celui acquiesça d'un hochement de tête..




  
Pour remercier le couple qui leur avait offert une bonne partie de leurs achats, il fut décidé qu' Eric allait introduire le rosebud entre les fesses de Léa, ensuite une fois remplie du cul, il se placerait devant et l'essayerai en bouche afin de donner son avis sur ses prédispositions...
Il n'y avait plus grand monde dans le magasin et ils se retirèrent tous quatre dans un petit salon d'essayage, ce fut Irène qui mit Léa à genoux sur un tabouret de velours rouge, elle enfilât un petit gants de latex médical, et son autre main appuya sur la nuque de la jeune lopette pour la pencher en avant. Léa s'accrocha aux rebords du petit siège et sa tête se pencha en avant, Irène la fessa d'abords légèrement pour la mettre en conditions, puis lui malaxa la croupe de ses mains expertes.
Sous le regard de Bernard qui n'en perdait pas une miette, elle écarta la fente de la petite culotte et  Eric insinua un doigt dans la raie des fesses de la petite chienne, il trouva aussitôt l'anus qui était très petit, bien rond et d'un rose très pâle. il massa le muscle avec le plat de son pouce et le petit cercle à peine fripé se détendit doucement. Une noisette de lubrifiant lui permit de la doigter sans le moindre frémissement. Eric faisait aller et venir son doigts dans le petit trou avec une grande dextérité et Léa gémissait doucement de plaisir. De sa main libre, Irène lui caressa les tétons par dessus le fin nylon, elle passa alors sa main sous le tulle et attrapa un sein qu'elle fit rouler sous ses doigts puis le titilla, le tirailla, et enfin le pinça un peu pour juger de la réaction de Léa. Celle-ci gigotait et râlait de plaisir, exhibée et caressée, l'autre main d'Irène accéléra le branlage de l'anus au gants latex. Léa, les tétons travaillés et le cul branlé, connaissais une nouvelle jouisssance. Bernard approcha sa grosse bite bandé à la hauteur de la bouche de Léa, il l'attrapa par les cheveux et enfourna son sexe entre ses lèvres..elle le reçu en bouche, toujours branlée par Irène et lécha le gros tout rond avec gourmandise. Elle bavait de plaisir et pompait le gros noeud avec application en faisant grogner Bernard de plaisir, il sorti de sa bouche d'un mouvement lent et elle fut surprise de voir une deuxième grosse queue, celle de Eric, venir chercher la chaleur de sa bouche, elle trouva le regard de Bernard qui l'invita d'un petit signe de tête à continuer son ouvrage sur la bite de son ami. Léa pris le deuxième gros sexe en main et le porta à ses lèvres, elle recommença à pomper et branler les superbes queues, les deux mâles venant ensembles chercher des coups de langue sur leur gros sexe turgescent.

    
Deux bites de se calibre à sucer pour une débutante, il y avait du travail et elle ne rechignait pas à la pompe. Les bruits de bouches et les grognements des mâles étaient parfois interrompu par des petits cris de jouissance de Léa qui avait toujour  le cul travaillé par Irène. Elle s'interrompit et enfonça sans aucune résistance le bijou d'inox qui vint remplir Léa.
Irène se mit à genoux à son tour devant les hommes qui alternère les deux pompeuses pour que finalement chacun décharge dans la femelle de l'autre. Eric balança son foutre sur le visage et dans la bouche ouverte de la jeune tapette et Irène pour qui ce n'était pas une première, aspira et avala jusqu'à la dernière goutte du foutre crémeux de Bernard.

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Samedi 25 juillet 6 25 /07 /Juil 11:55

Irène décida qu'il fallait commencer par lui trouver une paire d'escarpin qui permette d'essayer les vêtements...et elle fis mettre à Léa un petit déshabiller de mousseline afin qu'elle puisse faire les rayons du magasins dans une tenue décente. Dans ce type de magasins, les choses n'ont pas besoin d'être dites clairement, les articles sont suffisamment explicites pour que chacun sache que le but recherché est la jouissance sexuelle.
 La décence de Léa était donc toute relative, le déshabillé en nylon transparent dévoilait un magnifique serre taille à lacet en vinyle noir avec de petits volants de dentelle rouge ourlés de noir, six grosses jarretelles agrémentées de petits frou-frou de même motif le rendait moins austère et plus canaille...sa paire de bas couture en nylon noir sophistiquait l'ensemble et le petit soutien gorge demi-seins autorisait le travail des tétons et les laissaient frotter sur le nylons du déshabillé, ce qui ne manquait pas de de les garder tout bandés et tout sensibles. L'excitation provoquée par cette exhibition dans la boutique avait mise Léa dans un état second. Un petite culotte de dentelle arachnéenne semblait proposer une sodomie à qui posait ses yeux sur son cul. Elle en ondulait du cul avec volupté, semblant s'apercevoir qu'elle avait enfin trouvé sa place.
Au rayon des chaussures, il n'y avait là que des talons aiguilles de 10 à 12 cm minimum, et jusqu'à des hauteur vertigineuse pour les spécialistes amateurs de cette petite perversion bien sympathique, qui pouvait trouver des modèles de plus de 18 cm de hauteur...Irene s'agenouilla au pied de Léa et la chaussa d'une paire d'escarpin d'environ 15 cm qui correspondait plus ou moins à la hauteur des mûles  de sa belle-mère avec lequel est était arrivée. - " Cela te permettra d'être plus à l'aise pour essayer tes vêtements, après tu pourra si tu le désire en prendre deux autres paires de grandes hauteurs pour t'y habituer doucement. Portes les la journée lorsque tu restes à la maison et bien sur pour les parties fines..." lui dit Iréne avec un petit clin d'oeil, " Tu verra l'effet que cela peut faire sur certain...

Ainsi chaussée, Léa fut poussée par une petite main au cul  vicieuse d'Irène vers les tenues sexy...
Alors... par quoi commence t'ont..?  Il n'y avais que des tenues de soirées hyper sexy ou des vêtements très érotique quand se n'était pas simplement pornographique...tout cela n'était pas fait pour se vêtir mais pour baiser, baiser et encore baiser...hommes et femmes qui entraient dans ce magasin n'étaient que des mâle ou des femelles qui avaient envie de baiser. La plupart des vêtements étaient dessinés pour la baise ou pour la préparer, ils laissaient voir les sexes, ou les deviner, les laissaient entrer ou sortir, tout était ouvert ou fendu.... La pénétration devait être possible, il fallait pouvoir prendre de la bite quelle que soit la tenue...
Léa essaya une petite jupe de latex rouge brillante à ras des fesses qui laissait voir le revers de ses bas et un petit haut de tulle noir avec un large décolleté..elle était vraiment bandante, sa féminité éclatait au grand jour...et aux yeux de tous...
Le choix de Bernard était maintenant beaucoup plus compréhensif, le plus souvent hétéro, Bernard tringlait toute sorte de salope et le dressage de Sylvie qu'il préparait pour son entrée au Club ne l'avait pas empêché de détecter la perle qui était en Marc.
Aujourd'hui Marc était devenu Léa et le petit puceau qui portait la lingeries de sa belle mère, apprenais à sucer de la bite d'homme mur, et était en passe de devenir une véritable femelle, une petite salope chaude du cul qui allait raffoler de queue juteuse. Cela était en partie le résultat de la prise en main par Bernard. Léa lui était toute dévouée et attendais, patiente et confiante que son mentor lui dépucelle son petit anus de jeune homme androgyne pour le transformer en vagin de petite jeune fille, en une petite chatte étroite, souple et sensible pour satisfaire les mâles bisexuels ou hétéros, les plus pervers et les plus vicieux.
Irène lui essaya des tenues de toutes sortes dans lesquelle nous fîmes un choix et mis le tout dans de grands sacs.
Nous passâmes aux rayons des sextoys et des accessoires.
Irène lui passa un petit tour de cour, en cuir noir avec juste un gros anneau symbolique devant.

                      


Une collection de plug et de god vibrant de différents diamètres pour le travail du cul, du lubrifiant silicone en quantité et un magnifique rosebudd avec une pierre synthétique rouge vif.....

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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