Samedi 24 juillet 6 24 /07 /Juil 10:49

- " Tu ne pourras pas faire autrement que lui donner sa part...."  C'était ce que venait de dire Hubert, et je compris qu'il ferait tout pour que cela soit ainsi... le molosse était d'ailleurs de taille à obtenir ce qu'il voulait et une partie de son dressage avait consisté à lui apprendre des le plus jeune âge à saillir les femelles qui lui était données en pâture. Casa ressentait la crainte qu'il inspirait à ses victimes et son attitude n'en était que plus féroce... Hubert m'attrapât soudain par les cheveux et me fit mettre à quatre patte la tête et les bras en appuis sur le canapé. Le chien grognait sourdement et me tétanisait... son gros sexe était décalotté et bandait dur, je ne pouvais détacher mon regard du gros engin, Hubert s'en aperçu et me dit alors :

 -  " Ça t'excite ma petite salope hein? ... Il va aussi faire de toi sa femelle, tu sera une vraie chienne et tu va adorer, tu peux mecroire... c'est un très bon baiseur, un queutard de première...tu vas couiner grave...tu connais pas encore..."

 

Il me fourra un doigt dans le cul et me travailla la pastille adroitement mais sans ménagement...il fit mettre Casa de coté et m'ordonna de lui attraper la bite et de le masturber...ma réticence craintive le fit se fâcher et je pris de nouveau une bonne paire de gifle qui m'étala sur le canapé... je m'enhardi àprendre le gros sexe du chien dans ma main et à le branler doucement...la bête excitée depuis déjà un moment grognait de plaisir et me bouscula pour me grimper dessus, Hubert retira son doigt de mon cul et aida casa à se caler les pattes sur les cales de cuir dont était équipé mon corset de soumis. Le bustier de cuir avait été dessiné et pourvu de ces accessoires que je ne connaissais pas pour que la bête puisse y caler ses pattes avants confortablement sans que ces griffes ne labourent le dos de la femelle humaine...Les amateurs de zoophilie canine qui l'avait conçu avaient à coeur de rendre l'exercice plus pratique et moins fatigant pour le chien et plus sécurisant pour la femelle. Lorsqu'un  tel molosse dressé par son maître, était mis en présence d'une femelle portant le corset de saillie, la bête s'excitait déjà à la vue de celui-ci et sachant parfaitement la finalité de la tenue, l'excitation du chien grandissait...  il était alors bien difficile de pouvoir arrêter la séance..

Sans attendre, Casa me sauta adroitement sur le dos, ses deux pattes vinrent se loger directement sur les sortes de supports latéraux... il était à son aise et son instinct de mâle ne cherchait uniquement qu'a se satisfaire... son poids considérable me surpris lorsqu'il fut sur moi et sa puissance musculaire se devinait sans peine, la force qu'il dégageait, dressé sur ses pattes arrières était impressionnante, je le sentit aussitôt se plaquer contre moi et déjà tenter de me pénétrer, sa grosse queue humide et chaude se frottait entre mes cuisses et cherchait un passage que le chien connaissait bien...la vigueur de ses essais de pénétration me surpris...Hubert m'incitât à écarter les jambes et à mieux tendre la croupe en me tirant de nouveau brutalement les cheveux.....

- " Tu vas t'ouvrir salope, écarte tes cuisses, il va savoir te dresser lui aussi, tu pourrait être surprise ma lope.... si il te choppe par la nuque....aller, fais toi défoncer le cul...il va te faire jouir grave...."

A peine écartais-je les jambes que Casa, comprenant l'invitation, rédoubla de coup de rein pour me saillir comme il se doit...il ralentit un peu, riche d'expériences de son passé de chien de vicieux, sa bite traînant dans la raie de mes

fesses trouva mon trou et s'y engouffra brutalement.....il grogna de plaisir et m'arracha un cri de douleur et de surprise, le dogue m'avait embroché sauvagement et sans le moindre égard, puissamment la bête enfonçais son vit dans mon conduit anale, se frayait un passage pour son gros zob qui mouillait sans cesse, il répandait en moi un liquide chaud et visqueux qui lubrifiait ma chatte, sa puissance et sa cadence de pilonnage était inconnue pour moi et déjà, impuissante sous le poids du gros chien, maintenu collé au canapé par sa force musculaire phénoménale et ses coups de bite de folie, je couinais déjà comme une chienne, sa chienne...Casa ralentit un peu sa cadence et Hubert le flatta d'une petite tape sur l'encolure.... 

 -  " Je te l'avais dit qu'elle aimait la bite la salope...on vas te régaler mon chien..."

Hubert sortit sa bite de nouveau bien dure de son pantalon de cuir, il la palucha un instant et me pinça le nez......            il enfonçât sa bite d'un coup dans ma bouche quand je l'ouvrit pour respirer....Casa qui semblait connaître la suite, accéléra le rythme et me pilonnait l'anus comme jamais, je jouissais maintenant comme une folle et la grosse bite qui me fouillait jusqu'au tréfonds de mon cul me donnait un plaisir que j'ignorais, sans faiblir, le chien me limait et je jouissais, j'étais devenue sa femelle, sa chienne, il me bavait dans le coup....et j'aimais ça.

Hubert me limait la bouche comme un gros salaud, et lorsqu'il ressortait sa bite, il me giflait fermement avant de replonger sa grosse colonne de chair dans le fond de ma gorge. Je jouissais sans m'arrêter en beuglant mon plaisir... Les deux bites allaient de concert et semblaient ne faire plus qu'une, j'étais transpercée de l'anus jusque dans la bouche par une seule et même grosse queue qui me fouillait tout le corps. La vigueur animale du dogue et la perversion de l'homme ne faisait qu'un pour faire de moi le trou à bite docile dont ils avaient besoin.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par BERNARD - Publié dans : Le maître chien
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Vendredi 16 juillet 5 16 /07 /Juil 12:12

Interdit et prostré, je compris la menace et ma situation me parut absolument désespéré...

Hubert c'était changé après sa douche, il portait maintenant un pantalon de cuir noir munis de gros bouton pression qui maintenait une sorte d'empiècement de cuir clouté très fin à la hauteur de son sexe. Il ne tentait pas de dissimuler son gros ventre, mais semblait même plutôt en être fier...il m'attrapa par les cheveux et me fit relever,

- " aller ...! "  me dit il, " ... pas de simagrées avec moi..... je sais que tu prends de la bite et que t'adore ça, alors avec moi tu va en avoir ....et tu va être bien servi....aller, à poil ma salope....

 

Il me retourna de nouveau une gifle puissante qui m'envoya dans le canapé...Il s'adressât à son chien avec le sourire aux lèvres...

- "Elle à l'air trop bonne la fiotte, on va se régaler..." Le chien me fixait et grogna méchamment...Hubert attrapa mon sac et il en sortie ma lingeries du week end...aller plus vite, il leva de nouveau sa main dans ma direction....

 

- " t'en veut une autre? ...."

 

Je me dévêtit rapidement, et me retrouvais devant lui en petit string de pute, ma micro verge dans le nylon transparent, rasé avec juste un petit ticket de métro de poil sur le pubis.... les dentelles vaporeuses présentaient agréablement mon fessier et une grosse bosse déformait maintenant l'empiecement de cuir du pantalon d'Hubert....

 

- " T'est bien une vraie petite salope, .... écarte les jambes et mets les mains sur ta tête..!"

 

l'ordre claquât sèchement et je m'empressais de l'exécuter..il s'approcha de moi et ses deux grosses mains puissantes me caressèrent les fesses, les petits globes de ma croupe tenant dans chacune de ses pognes, il me les malaxait délicatement...  sa bouche trouva la mienne et sa langue me pénétrât...une main remontât sur mes tétons et il me travaillât les pointes en même temps....je gémissais les yeux fermés sous ses caresses et je me retrouvais trempée et toute molle dans ses bras, il me tenait déjà, j'étais sous son emprise et sa sévère domination m'excitait terriblement...sa main qui était restée sur mon cul m'écartait les fesses et me travaillait l'anus, je sentis mon anus qui s'ouvrait et au même moment, une langue longue et humide me léchait le cul, c'était Casa qui s'était approché sans bruit et qui avait l'air d'être tout a fait au courant du programme, sa langue puissante et râpeuse, bien baveuse, se faufilait entre mes fesses et essayait de me fouiller l'anus, excité par les restes de spermes et les odeurs le chien grognait d'une façons que je ne lui connaissait pas... je me raidissais de nouveau, Hubert me pinça fort un tétons, il le vrillat et l'étirât, me disant à l'oreille, 

 

- " Reste calme et obéis...j'ai toujours dressé mes fiottes avec Casa, et je les ai toujours partagées avec lui...il va falloir t'y faire...tu verras c'est un mâle qui plaît beaucoup aux chiennes...."

 

Il me repoussa et me lançât mes affaires du week end, un mini short de vinyle rouge qui s'ouvrait largement par un long zip noir, huit grosses jarretelles de vinyle noir, très élastiquées et froncées, ourlées de fine dentelle rouge était retenus par un ceinturon de vinyle clouté.....le vinyle était encore parsemé de trace de sperme, de gel et autres lubrifiant...ce mini short avait été réalisé sur commande par un de mes amants qui allait souvent à Londres et qui m'en ramenait des vêtements fétichiste que l'on ne faisait que la-bas, mélange de perversion, de fétichisme, de BDSM et de porno chic....

J'enfilais le mini short et une paire de bas en latex noir brillant, Hubert fouillait mes placards de chambre et revint avec mes plus haut talons aiguille, je les portais très peu car ils étaient trop haut et très inconfortables, les talons mesuraient environ 15 cm de hauteur avec une bride de cuir qui enserrait la cheville...

- "Il sont trop haut et ils me font mal aux pieds..." répliqais-je imprudemment ...

Hubert se crispa immédiatement et me balançât une nouvelle gifle en travers du visage qui me rougit la joue et me jetât en arrière...

- " Tu obéis... et tu la ferme et désormais tu ne porteras plus que des talons au moins égale à la hauteur de celle-ci...c'est compris...? "

Je baissais les yeux et enfilais mes chaussures..."

Hubert lança un ordre bref à Casa qui se posta devant moi en grognant sourdement...il sortit de chez moi en me laissant à la garde de l'animal qui ne me quittait pas des yeux....Il revint aussitôt avec une sorte de harnais-corset de cuir...et il me harnachât d'un geste sur et plein d'assurance, il réglait les courroies de cuir et les sangles, c'était un mélange de corset de maintient, relier à un large collier de cuir qui me tenait le cou, mes petits seins étaient pressés et mis en avant, les tétons accessibles et offerts...des sangles et des pressions permettaient de fixer des accessoires que je ne connaissais pas...

une sorte d'épaisse plaque de cuir avec des contreforts sur les cotés me maintenait corseté et soumise...En me préparant, Hubert me pelotait le cul ou les seins à sa convenance, son pantalon de cuir retenait la grosse verge du mâle excité par la situation, la déformation indiquait sans erreur possible la belle taille de son sexe...

Il me fit tourner sur moi même, et me claqua soudainement le cul fortement...

- " t'as un beau petit cul de salope ma pute, tu vas en prendre plein ton fion..." il me fit m'appuyer contre le canapé et libéra brusquement sa pine de son pantalon de cuir, dézippa mon short de vinyle,  ses grosses pognes m'attrapèrent les hanches, et je sentis le gros gland s'appuyer contre ma rosette, d'une brusque poussée, il me perfora l'anus et enfonça son gros membre jusqu'au couille dans ma chatte de jeune pute, je hurlai sous le choc...

La douleur et l'excitation se disputaient en moi et bien plus rapidement que prévus le plaisir vint s'y mêler, je gémissais sous l'étreinte du vieux vicieux, sa puissance sexuelle et sa force physique contrastait avec son physique insignifiant de petit bedonnant, son membre hors normes, raidi par l'excitation me labourait le conduit anale, il me ramonait la chatte comme je ne l'avait jamais été et je sentis que dorénavant je serais toute à lui, des grandes claques puissantes sur le vinyle de mon mini-short venaient ponctuer ses coups de bites.... l'une de ses mains, puissante et sure d'elle, m'attrapât durement les cheveux, non pour me maîtriser, car j'étais déjà sous le joug de ce mâle dominateur et sûr de lui, mais pour me signifier qu'il me tenait bien en main et que désormais j'étais à lui, son jouet, sa chose, j'allais devenir sa chienne...

Me limant toujours sans faiblir, il me traitait de petite pute et de salope, je couinais comme jamais, emboîtée par le gros pieux du vicieux qui me démontait le cul, il m'avait maintenant attrapé la nuque et il m'écrasais la face sur le dossier du canapé contre lequel il m'avait basculée, je bavais sur le cuir, les râles qui sortaient de ma gorge l'excitait plus encore et sa grosse verge semblait devoir grossir jusqu'à m'exploser dans le cul.....

Je me faisais baiser par des hommes depuis l'adolescence et j'avais déjà pris pas mal de bite dans le cul mais c'était la première fois qu'un tel mâle me possédait aussi sauvagement et d'une façon aussi violente....il se rendait compte de ma jouissance, le plaisir me submergeait, les orgasmes se suivaient,  je n'était plus qu'une femelle jouissante, après une énième série de coup de pine ravageur, il se cabra et me souleva littéralement de terre, mes jambes  gigotaient dans le vide, sa pine enfla encore et il hurla de rage et de plaisir, sans se retenir ni atténuer le bruit de sa jouissance, comme pour signifier à tout l'immeuble, sa puissance et sa prise de possession de la petite lopette du R-d-c. Les convulsions de sa gosse pine, les puissants jets de sperme chaud, les ultimes claques que je recevais sur le cul, tout ce qu'il m'infligeait me faisait jouir et me surprenait, jamais je n'avais été baisée comme ça, aussi complètement, aussi intensément et aussi bien...

Il sorti de mon cul d'un coup sec, le foutre se répandit sur le vinyle rouge et sur le latex noir de mes bas.... solidement maintenue par les cheveux, il me fit nettoyer sa grosse bite à coup de langue, il appela Casa qui semblait connaître parfaitement son rôle, dans un petit grognement sourd, le chien me poussa un peu de sa truffe humide pour me faire écarter les jambes, sa longue langue se faufilait entre mes fesses et me léchait l'anus, le sperme abondant dégoulinait, Hubert m'ordonna de bien m'écarter les fesses de mes deux mains pour m'ouvrir l'anus afin de laisser le chien faire sa besogne.....la langue s'introduisait dans mon trou encore déformé et élargie par l'énorme queue de son maître, il lapait le jus le couille abondant qui suintait de mon anus et les traînées de semences sur le vinyle et sur le latex des bas...

 Hubert me traitait sans la moindre considération, la peur qu'il m'inspirait, ses coups et ses gifles, la présence permanente à ses cotés de Casa qui me foutait la trouille au moindre grognement, tout cela faisait qu'en moins de deux heures, cet homme que je n'avais jamais vu me tenait sous sa coupe et me faisait obéir à ses moindre désirs..Il m'avait fait jouir comme jamais, brutalement mais efficacement....j'en avais le cul tout défoncé.....je me relevais péniblement, chancelante sur mes talons aiguilles vertigineux...le chien me déséquilibrait à me fourrer sa langue dans le cul...j'essayais de le repousser mais le molosse était lourd, trapus et costaud, ses muscles étaient saillants sous son pelage ras et il me résistait sans aucune peine...il me fit face et montra ses crocs....Hubert se retourna et me dit doucement...

 

- " Tu ne pourras pas faire autrement que lui donner sa part...."

 

 

 

 

 

Par BERNARD - Publié dans : Le maître chien
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Mercredi 23 juin 3 23 /06 /Juin 20:21

Je me débarrassais de mon blouson et me jetais sur mon lit à plat ventre, les bras en croix, encore sous le choc de la frayeur provoquée par le molosse et la sensation bizarre que Hubert m'inspirait, un duel sourd entre attirance et dégoût, comme un éternel scénario qui se répétait sans cesse...mon attirance pour les types de la cinquantaine, bedonnant et vicieux n'était que la continuité sans cesse recommencé de mon initiation sexuelle à l'adolescence par l'un de mes oncles qui m'avait défloré et éduqué aux pratiques les plus perverses...

Dans le silence de cette partie de l'immeuble, quasi déserte en cette période de vacance, j'entendis distinctement la clef faire tourner le gros verrou de la porte de l'appartement d'Hubert, il revenait déjà de sa ballade et rentrait chez lui. A la différence de bien des chiens, on ne percevait pas le présence de Casa qui était d'une discrétion absolu et l'on sentait bien que c'était là le fruit d'une éducation très particulière que lui donnait son maître...

J'entendis le bruit de la douche derrière le mur de ma chambre et aussitôt j'imaginais Hubert nu, assez petit et plutôt gros, l'homme n'était pas beau, mais sa force et la virilité qu'il dégageait, la dureté de son regard bleu et son pouvoir de domination était pour moi des sources d'excitation qui me faisait fantasmer...

Je me décidais enfin à me doucher aussi, quand à peine debout, j'entendis frapper fermement à ma porte...

Surpris et à demi-inquiet, je constatais que la douche ne coulais plus à coté.... ce pouvait être je ne sais quel visiteur, mais mon instinct me disait que ce pouvait être aussi Hubert... mais pourquoi frapperait il chez moi maintenant, que voulait 'il encore....j'en étais à m'interroger lorsque les coups redoublèrent sèchement, comme un ordre qui ne souffrirait pas d'attendre... je ne m'imaginais pas comment j'allais faire pour ne pas ouvrir quandj'entendis alors la voix du nouveau voisin me dire..

- " C'est moi, Hubert, ouvre s'il te plaît.... j'ai à te parler....une minute, pas plus..."

 

Je ne voyais pas d'autres solutions que d'ouvrir ma porte, ne tenant pas à ce que nos relations se détériorent avec un type qui possédait un tel chien, je n'en mènerais pas large des le lendemain matin... et sans avoir le temps d'y réfléchir plus, j'entrebâillais un peu ma porte...

Hubert qui se tenait juste derrière, passa aussitôt son pied dans l'entrebâillement ce qui m'empêchais des lors de  la refermer...tout se passa alors très vite et d'une poussée sur ma porte, il me déséquilibra en me repoussant en arrière, il s'engouffra chez moi suivi par Casa....avant que je n'ai pus dire la moindre phrase, il me retourna une gifle magistrale qui me projeta dans le canapé, Hubert referma la porte doucement et me dit ...

 

- " Plus jamais tu ne me refais ça, quand je frappe à ta porte tu m'ouvres..compris...? "

 

 Le chien grognait en sourdine et montrait des dents....

 

- " A partir de maintenant, tu est à moi...."

 

 

 

 

 

Par BERNARD - Publié dans : Le maître chien
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Mardi 22 juin 2 22 /06 /Juin 20:50

En revenant de week-end, je croisais dans le hall de mon immeuble un homme d'une cinquantaine d'année qui tenait en laisse une sorte de dogue, un molosse à l'air féroce qui tirât sur sa laisse pour tenter de me renifler les fesses... Je fit brusquement un bond de coté avec un geste de frayeur et m'appuyais le dos au mur, figé et muet...

L'homme fit un petit geste du poignet qui fit instantanément reculer le chien qui grogna bizarrement....

 

- "N'ayez pas peur me dit-il en montrant l'animal, Casa, c'est son nom, est parfaitement dressé et plutôt équilibré, il est juste assez curieux ...Je suis nouveau dans l'immeuble, j'ai vu la gardienne qui m'a présentée un peu les différents locataires, je suppose que vous êtes celui du rdc, elle m'a un peu parlée de vous, nous sommes voisin de palier...je m'appelle Hubert et je suis maître chien...."

 

Je bredouillait un vague bonjour, avec le désir de fuir dans l'instant mais mon nouveau voisin n'avait pas l'air prêt à me lâcher comme ça.....

Casa me regardait fixement et semblait me renifler à distance, le maître et l'animal me détaillaient lentement, la bête n'avait pas bougé d'un centimètre depuis que son maître lui avait ordonné de se tenir en arrière, ma peur des chiens datait de ma plus tendre enfance et ne m'avait jamais vraiment quitté...

 

-" Vous avez peur des chiens je vois..." me dit il ... les bêtes le sentent et Casa prendra l'ascendant sur vous, moi il me craint et son obéissance est total ..."

 

Il resta sans finir sa phrase  ...

Je hochais la tête toujours muet....incapable de faire quoi que ce soit...

 

-" Bon, me dit-il enfin, ...bonne soirée, je vais le promener un peu, à bientôt sans doute..."

 

 Je m'empressais de prendre la main qu'il me tendait pour en finir avec ce moment de cauchemar, mon voisin c'était avancé d'un demi pas et Casa en profita pour tenter de me renifler le sexe a nouveau..

 

- " Il est incorrigible me re-dit Hubert qui le repoussa aussitôt en arrière, la plupart des chiens ont un odorat très développé et lui en particulier.... Il ne se trompe pas souvent et il sait exactement ce qu'il cherche, je l'ai formé à pas mal de chose....et renifler, c'est un peu sont métier en fait..."

 

Il me détaillait de la tête au pieds et je rougis aussitôt comme une tomate, j'avais passé mon dimanche à baiser avec l'un de mes amants qui m'avait copieusement sodomisé tout l'après midi et en me ramenant en voiture, il m'avait fait sucer son sexe et juter copieusement sur le visage...je venais de comprendre que le molosse reconnaissait l'odeur du sperme et qu'il avait  indiqué à son maître la teneur de la substance qu'il avait détecté...

J'étais en présence de cet homme depuis 10 minutes et il me semblait qu'il m'avait déjà percé à jour des le premier instant...la gardienne, s'il l'avait habilement interrogée, avait du lui faire part de mes visiteurs et de mes tenues souvent à la limite du bon goût... je me rendais compte qu'une fois de plus, j'étais déjà, et en très peu de temps, au contact d'un homme qui allait chercher à m'avoir sous son emprise et une fois de plus la situation m'échapperait totalement...

Il s'écarta alors sur le coté, retenant légèrement le chien qui voulait me suivre et je m'éclipsais vers mon appartement...

Il me rappela sèchement...

- " Votre sac !...vous oubliez votre sac.."

Dans ma précipitation, j'avais oublié mon sac de voyage, le chien le reniflais à présent en jappant et fit comprendre instantanement à son maître que le contenu du sac avait aussi le même parfum, et en effet, il contenait sextoy's et autres lingeries souillées de semence....Il me le tendit du bout du bras sans la moindre effort, son teeshirt moulait une bedaine certaine ...

Il me mattait maintenant effrontément et je ne savais comment cacher mes fesses à travers mon pantalon blanc qui moulait mon cul et laissait deviner un string de petite salope.

Ma porte refermée, je tournais mon verrou et me mis à trembler comme une feuille, qu'allait-il encore m'arriver.....

 

 

 

 

 

 

Par BERNARD - Publié dans : Le maître chien
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Dimanche 9 mai 7 09 /05 /Mai 08:33

Gérard te dépucelle aujourd'hui Justine, tu vas être prise pour la première fois par un homme et même si nous avons préparés ton petit anus et qu'il a été déjà bien  travaillé aux plug et au rosebud, la taille du sexe de Gérard reste exceptionnelle, ce ne sera pas si évident et l'expérience prouve que seule, ta motivation et ton envie profonde de le recevoir au plus profond de toi ferons la différence entre la douleur et le plaisir. Par la suite, il n'y aura plus que du plaisir ... et la jouissance qu'il te procurera te rendra dépendante de son sexe, tu lui appartiendra et il fera ce qu'il veut de toi.

Parce que Gérard en à décidé ainsi, ton initiation se fera en public, dans l'après-midi au Club.

C'est un endroit très privés ou se retrouve des personnes qui partageant le même goût pour des fantaisies sexuelles un peu spéciales...tous ces gens sont triés sur le volet et sont de la plus parfaite discrétion, le spectacle les enchanteras, j'en suis absolument certaine, ce sont tous de grands connaisseurs de ce genre de chose et tu n'est vraiment pas la première petite salope dans ton gene qu'ils verront se faire dépuceler ...

- " Vas te faire ton lavement et revient après ta douche, c'est moi qui te préparerait...."

Ma mère m'avait poussée vers la salle de bains et repartait vers sa chambre...

 

Par BERNARD - Publié dans : Gérard, mon beau-pére...
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