Jeudi 2 juillet 4 02 /07 /Juil 20:55
Mr Gilbert, le concierge, m'avait prévenu. C'était une femme seule, divorcée, avec un gamin....et il s'était permis de rajouter d'un air entendu, "avec des heures de vol...mais très classe...." j'avais une idée assez précise de ce qu'il pouvait trouver "classe"....et sa façons d'essayer de faire croire, par ses remarques déplacées et plutôt graveleuse, que nous partagions une éventuelle complicité érotique ou que, tout du moins nous avions les même goûts, me faisait à peine sourire tellement il était pathétique et dérisoire.
Sa liberté de ton venait du fait que j'étais toujours respectueux, polis et gentil à son égard. Habitué à être considéré comme une quantité négligeable par les propriétaires de l'immeuble, il prenait ces petites marques d'attention de ma part, en fait assez  intéressé, pour une amitié complice. Il lui arrivait fréquemment de voir monter chez moi, au dernier étage, à des heures tardives, des femmes à l'air peu fréquentables. Il prenait alors un malin plaisir à fermer la porte du hall ou à couper le disjoncteur de la gâche électrique....il fallait alors ses bons offices pour qu'il solutionne le problème qu'il avait créer de toute pièce. Il ne cherchait pas un petit billet, il voulait juste en être, faire partie de la soirée en quelque sorte, participer à sa façons, compter les convives, reluquer ces dames, mater, soupeser du regard les poitrines généreuses, les profondeurs de décolletés, les croupes rebondis, les mollets gainés de bas couture. Son coup d'oeil libidineux en effrayait certaine et en excitait d'autres, plus lubriques et plus vicieuses. Cette mise en condition par le cerbère de service était plutôt à mon goût et permettait en outre plus de discrétion, il faisait la circulation en prenant soin que la voie vers l'ascenseur soit libre de tout voisin. Les quelques mètres qui menait à la cabine lui laissait le temps de quelques sous entendus vulgaires,malsains et déplacés. Juste assez pour finir de culpabiliser mes maîtresses, qui bien souvent, bourgeoises et mariées, n'était déjà pas très fier de leurs débuts dans la trahison et la licence. J'exigeais toujours d'elles des tenues très provocantes et mon fétichismes à toujours été intraitables à ce sujet...pas de passe droit, pour aucune...jamais! Elles se soumettait alors à mes caprices vestimentaire conscientent que je ne transigerait pas et que déjà la soumission était là. Le plaisir aussi. 
Ma capacité à séduire ces femmes et à leurs imposer mes désirs était perçus par mon concierge comme une sorte de don, un étrange pouvoir qui le tenait en respect et qui le fascinait. Il imaginait une puissance et toute sortes de choses qui n'existait en fait que dans son imagination. Son air convenus et ses hochements de tête discret semblait en dire long. Il avait tout compris, il voyait tout et il ne dirait rien ! nous étions complices que je le veuille ou non...ma passivité semblait lui faire penser que je lui devait une fier chandelle..et dans son esprit cela autorisais son rôle accompagnateur libidineux. Sans toutefois aller jusqu'a les peloter de ses mains de vicieux, en accompagnant ses dames, il se tenait derrière, matait copieusement sans la moindre gènes, se frottait, frôlait, se faisait mielleux, obséquieux, sournois, détestables en fait. J'avais finis par lui donner à son insu le rôle d'une épreuves supplémentaire pour tester la motivation de mes future salopes. Il était alors arrivé parfois par le passé qu'il tienne un petit rôle de comparse vicieux pour des humiliations de soumise en phase de dressage. Faire participer cet obsédé sexuel à mes jeux tenait du raffinement pervers et en fin de compte plaisait beaucoup à ces dames pour peu qu'elles soit misent en condition pour accepter l'impensable....Il était lui aussi dressé car sans une obéissance absolu, il ne récoltait par la moindre miette de jouissance. Comme il ne pensait qu'au cul, il me mangeait dans la main, mais comme un animal toujours un peu sauvage qui peut mordre la main qui le nourrit. Je le tenais fermement et je savais qu'il ne lui fallait pas la moindre parcelle pouvoir. Je tolérais juste son petit jeu d'ouverture et de blocage de portes tant qu'il n'allait pas trop loin. Nous avions trouvé notre point d'équilibre et toute sa vie dans la carrière militaire lui avait appris à obéir au chef sans réfléchir. Je le malmenait, mais il y était habitué.


Par BERNARD - Publié dans : Sylvie, slave sexe
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