Jeudi 26 novembre 4 26 /11 /Nov 22:56

Le cul trempé par l'excitation, j'étais dans un état second, ma première petite expérience avec Bruno ne m'avait pas provoqué le dixième des sensations que Gérard me faisait ressentir. Par le simple fait de me traiter comme il le faisait, de parler de moi au féminin, de m'habiller, de m'insulter, sa façons aussi qu'il avait de décrire très cruement les situations ou bien encore de se montrer ferme et dominateur, sans tendresse, cet avilissement de n'être qu'un objet sexuel et le désir qu'il avait de me faire subir un dressage qui n'avait d'autre but que de m'apprendre à le satisfaire sexuellement.. tout cela réunis me mettais dans un tel état et était pour lui si visible que j'en avait perdu sur le champ toute notion d'une quelconque résistance, j'avais perdu la partie avant qu'elle ne commence, il le savait trop bien et n'avait pas l'intention de perdre du temps avec mes éventuelles petites réticences, qui lui apparaissait comme des petits des détails sans importance...
Il savait depuis longtemps le plaisir intense qu'il donnait à ses partenaires et le pouvoir que cela lui conférait.
Toujours, ses proies devenaient consentante et le suppliaient à ses pieds pour que son gros sexe leur donne encore de la jouissance
Je n'étais pas son fils, il n'avait pas la dessus, la plus petite parcelle de scrupule.. et mes quatorze ans l'excitais à fond depuis qu'il m'avait pris en flagrant délit de suçage de bite. Si j'avais pu avoir cette relation pendant plusieurs semaines et pomper Bruno avec tant d'entrain, qui plus est, avec le petit string de salope de ma mère sur le cul et la bouche bien maquillée, dans son esprit, il n'était pas concevable qu'il ne puisse pas lui aussi, en profiter. Éloigner Bruno avait été si facile, maintenant, j'étais à lui, sa chose, son jouet... et il ne semblait pas non plus, par rapport à ma mère avoir le moindre état d'âme...Gérard était un gros vicieux, bien cochon, avec de gros besoins sexuels, il ne s'en cachait pas et même en présence de ma mère, il le revendiquait haut et fort...leurs amis étaient assez semblables à eux et ma propre mère était à n'en pas douter, une véritable salope... pour vivre avec un tel type, il fallait vraiment qu'elle aime le cul. Gérard avait de nombreuses maîtresses et ne s'en cachait nullement. Grisée des prouesses sexuelles de Gérard, ma mère se sentait fière de partager la vie d'un tel étalon...et son vice était aussi de se sentir lui appartenir totalement, elle aurait tout donnée pour satisfaire le moindre de ses caprices sexuels... 

A genoux devant Gérard, j'avais perdu toute notion de retenue tant ma position et mon attitude me semblaient naturelles.
Ce mâle en rut me semblait si fort, debout  devant moi, bien camper sur ses cuisses puissantes, son gros sexe qui tendait son slip de cuir à le faire craquer...juste à la hauteur de ma bouche... je réalisais à peine ce que j'étais en train de devenir..
Devinant mes pensées, il me dit sans aucune hésitation.... alors ma fiotte, t'es trempée du cul hein ? ça t'excite ma grosse bite... je suis sur que tu sens que les petites tapettes dans ton genre ça me trique la bite...ça fait longtemps hein, que tu me mattes la queue, ...  petite pédale... je vais faire de toi un véritable petit vide couille, une petite pompe à foutre, une chienne à bite pour vieux cochon...on vois dans tes yeux que tu cherches du mâle, t'es en chaleur comme une véritable petite femelle..  tout le portrait de ta mère... à partir de maintenant tu seras habillée en pute le plus possible et des ce soir, tu vas devoir apprendre à m'obéir....
Avant même que je n'ai pu ouvrir la bouche, il me lança une bonne gifle sur la joue...tu la ferme et tu obéis, je ne te le répéterais pas, je sais exactement ce que tu veux... tu vas l'avoir...je vais te dresser à la bite salope ! 
Il dégrafa d'un geste brusque le rabat clouté de son slip de cuir, en sortit son gros membre violacé et de son autre main il m'ouvrit grand la bouche en y introduisant deux doigts, il enfonçât sans la moindre précaution son gros gland dans ma gorge et m'empêchât de pomper ou de sucer en me bloquant la tête de ses deux mains... je suffoquais et me débattais, impuissant devant la force d'un tel colosse et la peur de braver une telle volonté,  je sentis que son désir était de me soumettre par sa force physique, mais surtout par son sexe, par la dureté et la taille de l'engin, par sa rigidité et son diamètre...
Sa bite bloquée au fond de ma bouche, je m'étouffais et commençais à défaillir, il desserra aussitôt l'étreinte et laissa passer un peu d'air dans mes poumons, le gros chibre servait de bouchon dans ma gorge et pouvait m'étouffer à la moindre pression du mâle sur sa queue. Le poids du dominant était un avantage certain, et ma frêle constitution ne pesait guerre dans le rapport de force. La 1ère leçons était que je n'avais aucun pouvoir, pas même celui de respirer, il était le maître et il décidais de tout, lui obéir était déjà une récompense...sa queue était son pouvoir...je serais sous son emprise...
Il me délivra de ce gros bâillon de chair et me fit reprendre mes esprits... j'étais toujours à genoux, il astiquait calmement sa pine devant mes lèvres et me dis enfin doucement ....aller ma salope, tu vas me faire voir ce que tu sais faire et tu auras du bon jus... de peur qu'il me regave la bouche, je le pris délicatement entre mes lèvres et entrepris de le pomper du mieux que je le pouvait...Il grognait en me tenant les cheveux et excité par cette première leçon, il me fit ouvrir bien grand la bouche et il lâcha sa semence épaisse par grosses giclées sur ma langue tendue.....je m'empressais d'avaler la liqueur et il me dit sans s'énerver, faudra vraiment que tu apprennes à sucer, tu sais rien foutre avec une bite dans la bouche...il me releva et me fit pencher en avant, appuyé contre le lit, il souleva mon déshabiller et écarta la petite culotte, la croupe ainsi tendue, il me pelota l'anus sans jamais y entrer...t'est toute trempée du cul, mais tu n'aura rien pour l'instant, tu n'es pas prète, je ne ferais que te déchirer, et ta petite chatte anale n'y résisterait pas...
mon cul offert à son regard et le malaxage de la zone anale portait ses fruits, j'avais tant envie d'être prise et de me sentir femme sous les coups de pilons du mâle que je gémissais, un feulement qu'il compris de suite, il crachat sur mon cul et introduit son index dans le conduit vierge de toute intromission...le bout du doigt seulement pénétra et tourna sur lui-même, le muscle circulaire céda sous la pression et son doigt me fouillat le cul, son autre main s'enfoui dans le déshabillé transparent et cherchait mes petits tétons, bandés par le frottement du nylon, il trouva mes petites pointes de seins et passait de l'une à l'autre, les tirants, les roulants du bout de ses doigts, les pinçant fermement ou au contraire les effleurant doucement...j'étais si sensible des seins qu'il en demeurât surpris et en fut d'autant plus persuadé que j'étais bien une véritable femelle...
Il travailla l'élasticité de l'anus, le muscle souple et encore contracté se détendait, le travail des tétons se cumulait avec le travail du cul, et la souplesse de mon petit trou rose, cela finit par le convaincre qu'un petit god au cul ne me ferait que du bien....Je le vis faire le tour du lit et une petite clef qu'il portait autour du cou lui servit à ouvrir un grand placard qui était dans leur chambre...Les deux portes ouvertes firent apparaître un véritable sexe shop personnel....d'une rangée de tiroirs, il en tira un qui contenait une collection complète de plug annale de toute taille... d'une main expérimentée, il pris le plus petit, de forme conique avec un rétrain qui permettait de bien le garder au cul lorsque la partie du conela plus large avait passée la rondelle...d'un diamètre à peine supérieur à son doigt, il l'enduisit de lubrifiant silicone et l'introduit sans frémir d'une seule fois jusqu'à la garde... il poussa la partie enflée du cône de latex en tournant au passage du muscle de l'anus, il m'arrachât un cri, de douleur, de surprise et de plaisir mélangés, le petit plug enfoncé dans mon cul le transformait en chatte, mon vagin était annal, il me procurait du plaisir et ce plaisir, c'est le sexe du mâle qui me le donnerait....
Après m'avoir retravaillé les tétons, il repris les va et viens en pistonnant le petit plug dans mon cul, je fus soudain pris de tremblement, je râlais de plaisir, mes gémissements se faisaient plus bruyant, Gérard me pris sur ses genoux, en me mettant sur le ventre, je lui offrait mon cul, en continuant à me plugger, sa main s'abattit sur mes fesses, il me fessa fortement au travers du déshabillé de nylon, sa main en s'abattant venait écraser le plug qui s'enfonçait au tréfonds de moi, la douleur de la fessée et le cône qui m'écartais l'anus me faisaient crier de jouissance, je pleurais aussi, je sentis son gros sexe revivre et se tendre sur mon ventre chaque fois qu'il me frappait le cul violemment, cela m'excita tellement que je jouis d'un orgasme absolu, du plaisir et des larmes, je ne voulais plus rien d'autre que jouir de l'anus, prendre un jour sa grosse queue dans ma toute nouvelle petite chatte, encore, encore et encore....
Gérard me passa une main dans ma petite culotte, et vint caresser mon petit sexe, il ramena ses doigts sous mon nez et me dit, t'as déchargée ma salope, suce ton foutre...et il me mis ses doigts visqueux de ma semence en bouche, je dus lui nettoyer la main....
Tu vois que tu peux jouir avec ton petit clito, faut juste te corriger du cul comme une chienne ....tu verras, bien dressée, je ferais de toi une bonne petite pute, aller, c'est pas finis, tu vas te remettre à la pompe, et cette fois ci...applique toi....
je replongeais sur sa queue, heureuse de pouvoir être le vide couille d'un mâle si puissant et si plein de vices....
La grosse bite turgescente me replongeât dans les délices de la sucette...et du foutre... je prenais la hampe à pleine main, et la branlais à peine, mon autre main soupesait le gros paquet de couille et jouait avec les grosses boules rasés de prés, le gros gland rose et lisse, bien décalotté, frémissait sous ma langue et recherchait la chaleur de ma bouche, je creusais mes joues pour pomper ce dard majestueux et j'absorbais le plus possible de longueur de bite, comme il me l'avait imposé tout à l'heure, des hauts-le-coeur et de la bave me faisaient m'étoufer presque jusqu'à vomir, je reprenais alors haleine rapidement et je me rejetais de nouveau sans attendre sur le gros sexe impatient...c'était une lutte contre moi même pour pouvoir avaler le plus possible la colonne de chair, lui offrir un fourreau de plaisir qui le retienne dans ma bouche le plus possible, être le réceptacle de sa semence de mâle, je voulais que mes trous lui appartiennent et qu'il puisse y trouver de quoi satisfaire le plus possible ses gros besoin sexuel, je serais moi aussi une de ses femelles, et j'entendais bien défendre ma part de plaisir jusqu'au bout. 
Je pompais son chibre épais comme une grosse chienne et les images des films pornos que me montrait Bruno me revenait en exemple...je me démenais sur sa bite, enragée de ne pouvoir faire plus et mieux....son gros manche raidi par le plaisir, mon beau-père, me tripotais les tétons pour m'encourager et me glissait à l'oreille, une sarabande de cochonnerie plus vicieuse les unes que les autres.....Il contrôlait parfaitement son érection, sortait parfois de ma bouche pour me gifler avec sa bite, de grand coup de queue sur mon visage, il me signifiait sa domination et mon état de soumission, je le reprenais en bouche et parfois bien enfoncé sur sa queue, il me pinçait le nez pour m'empêcher de respirer, me faire suffoquer, m'étouffer et par la, me montrer l'étendu de son pouvoir....les mâchoires fatiguées, épuisées par le traitement du vieux vicieux, il me fit grâce, et avec un parfais contrôle, il me lima sauvagement en bouche pour faire cracher à son gros gourdin, un foutre aussi épais et visqueux que celui que j'avais avalé précédemment....en si peu de temps, j'étais devenu une petite salope qui ne pensait déjà plus qu'a de la grosse bite d'homme...et j'avais, chez moi, un vrai bon gros vieux vicieux qui allait m'éduquer, me féminiser et faire de moi sa fiotte, son vide couille...sa poupée gonflable....

  

       

     

Par BERNARD - Publié dans : Gérard, mon beau-pére...
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Mercredi 25 novembre 3 25 /11 /Nov 20:27
Je filais à la salle de bain pour ne pas provoquer sa colère, et sur le plan de travail prés des vasques, il avait réunis  quelques sous-vêtements de femme, un serre taille très élastique en vinyle rouge et avec de large volant de dentelles noires, un string coordonnés et une paire de bas voile à couture avec un revers de dentelle, je reconnus un déshabillé de nylon rouge très transparent qui appartenait à ma mère et que j'avais déjà vu sur le séchoir à linge...un tube de rouge était posé à coté et une paire de mule à talons trop petite pour moi semblait m'attendre aussi...
Je tremblais comme une feuille, de peur et d ' excitation...Je pris une longue douche pour essayer de faire reculer le moment ou je devrais me lancer mais sa voix forte et énervée me cria de ne pas y passer la journée....
Bien sèché, je respirait un grand coup et m'habillait comme il l'avait voulu..le serre taille très élastique me moulait les hanches et les grosses jarretelles étaient huit alors qu'il me semblait que d'ordinaire il n'y en avait que quatre, les bas n'étaient pas trop court car j'avais de longue jambes, mais si fine qu'ils s'étirèrent en longueur alors que les cuisses de ma mère, plus plantureuses, les étiraient en largeur..le petit string me moulait ma petite queue et le petit triangle s'étirait en rentrant dans la raie de mes fesses...en enfilant le déshabillé transparent, le contact du nylon sur ma peau me fis frissonner et mes petits tétons se dressèrent, caresser par le frottement de tissus..j'eus beaucoup de mal à attacher et régler les nombreuses jarretelles du serre taille et à fixer les bas...il me fallu ensuite me passer les lèvres dans un rouge gloss brillant et enfiler les mules à hauts talons...
je tremblais plus encore et avant même que je ne me décide a sortir ainsi de la salle de bains, il rentra furieux, me pris par le bras, me sortis de la salle de bains, je perdis maladroitement une mule et suivi en clopinant, il me traîna vers sa chambre...
Il va falloir accélérer ma petite...quand j'ai envie de baiser, faut pas me faire attendre!... compris?
Il me contempla alors de haut en bas et de bas en haut... vas chercher ta chaussure! je me depéchais d'executer son ordre et revins de suite chaussé comme il se doit ... il se radoucit alors en me voyant obéir si promptement..bien dit il, si tu fais ce que je te dis, tout iras bien pour toi, sinon tu vas apprendre de quel bois je me chauffe...
Son regard dur me transperçait et me clouait sur place...il marchait autour de moi, fit une revue de détails, il commença alors à me peloter doucement de ses grosses mains chaudes et puissantes, il était sur mes fesses, passait dans ma raie avec un doigt, courrait sur le vinyle avec ses ongles pour caresser ma bite, remontait sur mes épaules, me passait la main sur le cou, comme un collier, sur la nuque, il entre ouvrit ma bouche et passât un doigt à l'intérieur, appuyant sur mes dents, mon palais, m'appuyait sur les joues par l'intérieur, il touchait ma langue, son autre main me faisait les cuisses, jouait avec les grosses jarretelles et le revers des bas, il revenait sur mes fesses, les malaxait, les écartais fortement en dilatant l'anus mais sans jamais y toucher, après 10 minutes de ce traitement, il passa un doigt entre mes fesses et le remonta sous son nez... tu es trempée du cul ma salope.... je me suis pas trompé, t'as vraiment envie de bite.. pas vrai ? t'es bandante comme une vraie chienne, tout le portrait de ta mère, je vais te dresser à la queue.... comme elle...et tu vas adorer... comme elle...
A genoux salope !  il enleva sa chemise qui cachait un slip de cuir noir moulant avec un rabat tenu par de gros boutons pressions, la grosse bosse qui le déformait semblait vouloir le faire exploser, mais le slip était ainsi fait qu'il contenait sans peine les plus grosses érections....
Je vais faire de toi une véritable lope me dit-il...bientôt, tu me suplieras pour avoir de la bite....le petit pédé qui t'a fait sucer, c'est rien, c'est de la merde...dans une heure tu l'aura oublié... Aller, à genoux, .... tu vas apprendre à pomper !



Par BERNARD - Publié dans : Gérard, mon beau-pére...
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Mercredi 25 novembre 3 25 /11 /Nov 15:29
Ma mère était infirmière dans un hôpital et mon beau-père, ancien militaire était gestionnaire d'un parc immobilier pour le compte d'une grosse société d'assurance et s'occupait plus particulièrement de la surveillance des travaux de maintenance.
Les horaires de ma mère était rigides et prévus à l'avance, le planning de ses jours de gardes et ses jours astreintes étaient affichés sur le frigo. J'étais souvent seul et cela m'arrangeait plutôt...
Mon beau-père était lui totalement imprévisible dans ses allés et venus, il avait toute autonomie pour s'organiser, seul le résultat et la satisfaction de ses supérieurs importaient. Depuis tant d'année, il n'y avait jamais vraiment de problèmes et il faisait ce qu'il voulait...la maintenance était souvent répétitive et il connaissait parfaitement les entreprises, patrons et employés qui travaillaient pour eux...

Ma mère partie très tôt le matin comme ses horaires le prévoyait.  J'entendis de ma chambre mon beau-père passer quelques coups de fil pour se libérer la matinée... et je compris immédiatement que nous allions passer la matinée ensemble. Je redoutais sa présence en même temps que je la souhaitais si fort.
Je l'entendis prendre une douche puis en sortant de la salle de bains, il m'appela fermement de sa chambre,
" ... prends une douche et rejoins-moi ! ... m'ordonna t'il ... je t'ai mis des affaires dans la salle de bains, tu t'habilleras comme je l'ai choisis...dépêche toi ! ....

Le sachant autoritaire et décidé, je ne me risquait pas à lui désobéir, même en la présence de ma mère, mon beau-père c'était toujours fait respecter, un regard lui suffisait pour me mater et le fait de devoir élever la voix était déjà pour lui un signe de rébellion qu'il ne tolérait pas, ma mère et moi filions doux à la maison, c'était le mâle dominant.
 Ma mère lui était soumise, amoureuse et comblée, quand à moi, avant cette nouvelle tournure que prenait les choses, je n'existait pour ainsi dire pas...je n'était pas son fils et je ne suis même pas sur que son fils aurait eu plus de droit que moi. 

Il fallait se soumettre, psychologiquement et physiquement, il était le maître...brun, la peau mate, baraqué, 90kg avec un peu de bide, les cheveux en brosse, de larges mains puissantes et de fortes cuisses musclées, plutôt velu sur le torse et les jambes, son sexe était rasé de près, sa queue était large et de belle dimension, ses yeux vert avec un regard dur, il était de la race des dominants....et il le savait...

J'étais moi, tout le portrait de ma mère, la peau fine et blanche, très blond, imberbe et filiforme, sans aucune musculature, le visage fin et assez androgyne, des petites fesses rebondîtes et de longues jambes...ma toute petite bite était ridicule et à quatorze ans passés, je n'avais encore pas d'érection...

J'avais à peine commencé à comprendre mon attirance pour les hommes et bien que je sache ce qu'étais l'homosexualité masculine, je me considérais plutôt comme une femme et je trouvais donc que cela n'avait pas de rapport...
Bruno devant les films pornos, me faisait tenir le rôle de la femme et me traitait de pute, ce qui me plaisait plutôt.
 Ces sexes rigides et dur qui cherchaient à tout prix une femelle pour les faire gicler m'excitaient terriblement et que ces mâles actifs et dominants me choisissent comme une femelle possible me mettait dans tout mes états..
Mon beau-père avec sa posture de macho assumé, exib et vicieux, qui baisait ma mère sans la moindre retenue, sans se soucier de ma présence ou de ce qu'elle pouvait lui dire, me mettais en fait depuis longtemps dans un état d'excitation que je n'avais pas réalisé..et si devant le porno, j'avais cédé à Bruno, c'était en fait parce que le désir de caresser ce membre de mâle qui plaisait tant aux femmes me brûlait aux plus profond de moi...il avait allumé un feu qui ne demandait qu'a s'étendre...Bruno s'en était saisi, et comme un jeune mâle avide de trouver de quoi se soulager, lui aussi avait senti la femelle qui était en moi, me révélant à moi-même, mais sans l'expérience et le pouvoir nécessaire, il c'était fait voler sa proie par mon beau-père qui, ayant senti lui aussi les choses, n'hésita pas à reprendre sans aucun mal ce qu'il considérais comme son bien, c'est à dire moi !
J'étais maintenant à lui, je vivais chez lui, il possédait déjà ma mère, je serais, moi maintenant sa deuxième femme...






 
Par BERNARD - Publié dans : Gérard, mon beau-pére...
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Mardi 24 novembre 2 24 /11 /Nov 21:26
Un jour, après les cours, avant que Bruno me rejoigne, je sortis de mes affaires la fameuse petite culotte de fine résille noir que mon beau-pèreavait mis d'autorité dans ma poche...j'eus envie d'être plus féminine je voulais voir l'excitation produite sur Bruno...je me mis nus et enfila le petit sous-vêtement...mes petites fesses blanches ressortaient des volants de dentelles noires et la transparence des fines résille m'excita et me mis dans un état que je ne connaissais encore pas, j'allais dans la salle de bain et je tirais mes cheveux en arrières, je pris un tube de rouge à lèvres de ma mère sur la tablette de verre, au dessus des vasques de la salle de bains et maquillais ma bouche assez outrageusement..je me trouvais très salope et j'étais certain que cela plairait à Bruno..
Je me tenais derrière la porte et lorsqu'il ouvrit, je refermai justederrièrelui...il poussa un cri de surprise et resta un instant les bras ballants avant de me tripoter le cul en me caressant le string...putain la pute...oh putain la salope, la pute...il ne savait ou ne pouvait pas direautrechose....il me poussa dans ma chambre, et sortit sa bite déjà dur qui à peine effleurée cracha la purée aussitôt, oh la pute re-dit il encore ... putain la pute.... il s'effondra sur mon lit et m'ordonna de le reprendre en bouche, allez suce ma queue, il grognait en me tenant la tête...il me repoussa soudain et ses yeux exorbités m'effrayèrent, il bégayait..arrrerertte...aaaraarretette... il tentât de se redresser...je sentis derrière moi une présence et je réalisais, effondré que mon beau père sur le pas de la porte, contemplait le spectacle qui s'offrait à lui...
Avec une détermination et une froideur à faire peur, le colosse de 90 kg nous attrapas chacun par le cou et nous emmena rudement devant lui...Bruno, le pantalon sur les chevilles, trébuchait sans cesse et moi nu comme un vers, le petite culotte comme seule tenue...Il nous mis dans un coin du salon et sorti un appareil photo, me fis mettre ma main sur la queue de Bruno et fis quelque clichés et me lâchant il attrapa Bruno par le col en le soulevant à moitié de terre...
Toi le pédé, je t'ai en photo....si je te revois tourner autour de lui de te défonce la gueule, et je vais voir tes parents, tu est dans une très mauvaise position....okmaintenant tu dégages et je ne veux jamais te revoir....il lui envoya une terrible pairede claque qui l'envoyât se cogner à la cloison et qui laissa sur son visage l'empreinte de sa main... encorechoqué, Bruno qui d'ordinaire jouait les durs, sanglotait...la douleur, l'émotion ....
Remonte ton pantalon et disparaît petit merdeux....mon beau-père le mis dehors sans ménagement et je le vis partir sans demander son reste, nous n'entendîmes plus jamais parler de lui...

Il me regardait maintenant d'un drôle d'air, je baissais les yeux et regardais le sol....

Tu le vois depuis combien de temps?  
Les dernières vacances..
Comment cela a commencé ?
Devant un film porno, il à vu que je bandais pas alors il m'a mis la main sur sa queue....
Et ?
Le lendemain... j'ai été chez lui...
Il t'a forcé ?
Non...pas vraiment, il m'a demander de lui faire des choses et je l'ai fait...
Tu as aimé ça ?
Au début non...
Et après ?
Apres oui...
Regarde moi....me dit il....je levais la tête, il était face a moi, sa main caressait sa grosse queue toute raide qui formait une belle bosse sous son pantalon et il me dit très doucement....tu es à moi maintenant....sexuellement tu vas devoir m'obéir...
pas un mot à ta mère et de mon coté, je ne dirais rien... Je vous ai surpris car j'avais compris votre petit manège, quand à toi, je sais depuis longtemps ton attirance pour la bite, je vais te faire découvrir le mâle et tu vas adorer ça, tu peut me croire, toute les femelles aiment ma queue et toi tu vas l'adorer aussi..Il m'attira vers lui, me pris la bouche, la fouilla avec sa langue, ses deux mains me caressèrent les fesses et écartèrent  fermement les deux lobes, je sentis mon anus encore vierge s'ouvrir légèrement sous la pression, je n'étais plus moi même, soudain conscient que j'avais envie de lui depuis toujours, sa force et sa puissance me fascinait, toute résistance était vaine et sans objet, je me mis à genoux devant lui, la bouche à hauteur de sa bite, d'un battement de cil, il acquiesça et je dégrafais sa braguette pour en sortir le grosse colonne de chair qui me fascinait tant...elle était au moins deux fois plus grosse que celle de Bruno qui me semblait déjà de bonne taille, mes mains fine n'en firent pas le tour et le gros glands tout rose était comme un gros bonbon...Je le pris en bouche et le suçotait comme une grosse fraise tagada....Il me laissait jouer avec sa bite, comme pour me convaincre des délices qu'il pouvait me laisser espérer...après 5 minutes, Gérard, mon Beau-père me dit  allez va te doucher, ta mère rentre dans 1 heure...
Il me mis la main au cul comme il mettais sans cesse à ma mère, passant les doigts sous la petite culotte, il me caressait les fesses, me malaxant le bord de l'anus, je m'occuperait de ta petite chatte demain dit il....tu vois bien que ce petit slip de pute était pour toi... t'es comme ta mère, une bonne salope..il me poussa dans la salle de bain d'une bonne claque sur les fesses...

La soirée se déroula normalement mais je les entendis la nuit, baiser comme des bêtes et il me sembla qu'ils étaits plus bruyant et plus long que d'habitude...

Par BERNARD - Publié dans : Gérard, mon beau-pére...
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Mardi 24 novembre 2 24 /11 /Nov 20:27
En rentrant à la maison, les voitures de mes parents m'indiquèrent qu'ils étaient déjà rentrés, à peine la porte ouverte, j'entendis des gémissements caractéristiques, ils baisaient dans la cuisine, mon beau-père prenait ma mère debout contre le plan de travail...elle se tenait à deux mains contre l'évier en lui tendant sa croupe, sa jupe relevée sur la taille, il lui empoignait les hanches et lui défonçait la chatte à grands coups de reins puissants, ses bas résilles et sa paire de botte à talons aiguilles finissait de donner à la scène un coté porno chic très excitant...je les avais entendus bien des fois lorsqu'ils baisaient comme des bêtes mais c'était la première fois que je les surprenaient en pleine action...je soupçonnais mon beau-père, trop exhib pour être honnête d'avoir recherché l'incident... Après avoir matter un peu la scène je fis un pas en arrière et claqua la porte...j'enlevais mon manteau et fit un pas vers la porte de la cuisine, ma mère n'eut que le temps de se déboîter et de filer le cul à l'air dans la salle de bains par l'autre porte de la cuisine...
Je bredouillais un vague..."désolé...excusez moi.. "
Mon beau-père me dit à voix basse, je t'ai entendus il y a deux minutes, tu t'es rincé l'oeil petit vicieux hein...il me regardait dans les yeux, le pantalon sur les chevilles, son gros sexe bandé, encore humide de mouille, se dressait droit devant, comme me montrant du doigt, il remontât doucement son slip et son pantalon mais en laissant encore sa queue dehors, bien raide, il passait sa main dessus doucement....sa main soupesait de grosses couilles bien rondes, c'était la première fois que je voyais un sexe rasé...
Je vis passer dans son regard un éclair de lucidité, et instinctivement, il sut des ce moment que sa bite me faisait envie...il se baissa et ramassa sans un mots la petite culotte de fine résille noir de ma mère, l'enroula autour de sa bite, se caressa un peu avec, essuya le gros pieux et me regardant dans les yeux, il mis le petit dessous affriolant dans ma poche..
 "c'est pour toi me dit il, ....un souvenir.... garde la...elle te sera utile... j'en suis sur..."
Je baissais le regard et fila dans ma chambre....

Le lendemain, ma mère vint s'excuser auprès de moi, et je dus entendre le couplet sur l'intimité, sonner avant d'entrée etc
désolée...mal à l'aise... mon beau-père avait de gros besoins sexuels, très amoureux....le devoir de l'épouse...en fait, il la baisait en permanence et elle adorait ça. Point barre.

Pendant un temps, il n'y eut plus la moindre allusion à l'incident...c'était oublié...

Bruno s'enhardissait maintenant à venir à la maison car les vacances finit, son petit frère était là et il trouvait qu'il était plus commode de venir se faire sucer chez moi. Je ne pouvais rien dire car j'étais sous sa coupe, physiquement et psychologiquement, de plus cette dépendance me procurait un vif plaisir, je n'avais ni érection, ni éjaculation, mais j'adorais ça et Bruno s'en rendait très bien compte...
Le prétexte était un soutien de cours de math et ma mère avait été tout de suite d'accord..elle proposa à Bruno de le rémunérer et il venait donc se faire pomper deux fois par semaine, payé par ma mère....mon beau-pèrene dit rien et se tint à l'écart...il étudiait Bruno à la dérobé mais sans jamais faire la moindre remarque...
Par BERNARD - Publié dans : Gérard, mon beau-pére...
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