Lundi 17 août 1 17 /08 /Août 02:39


Bien ramonée, c'est ce qui arrivé au petit cul de salope de Léa.
La chiennasse avait passée sa journée à faire des essayages, de lingeries, de chaussures et autres maquillages.

              
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Dans le principe,  j'étais plutôt pour. Mais la petite pute à oubliée un peu vite qui était le maître. Un peu vicieuse, elle voulue me tester et me fis savoir en fin d'après midi qu'elle était un peu fatiguée et voulait prendre un bain...
" - Un bain ok, mais avant je te tire, tu m'as trop chauffée la queue..." 
elle fit un peu la mou.....ce qui eut le dont de me foutre en rogne, chauffer la bite du mâle et déclarer forfais, ...non..
pas à moi... j'ai passé l'âge.... 

Mon gourdin était bandé bien raide....et se dressais fièrement.......on se regardait dans les yeux et elle se demandait ce que j'allais faire...

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Je l'ai prise virilement par le cou et je lui ai brutalement forcée la bouche....Je la tenais par les cheveux et elle sentie tout de suite que ce n'était pas un jeu..
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Elle dut s'exécuter et s'enfonça sur le gros dard avec conviction, consciente qu'elle avait peut être été un peu trop loin. Elle suçait avec application  et ses succions de gourmande lui procurait un plaisir qu'elle n'avait pas méritée.
Elle pouvait allumer les autres mâles mais moi, il fallait qu'elle sache à quoi s'en tenir.
Je lui limait alors la gueule sévèrement et je je lui mettais mon gros pieux en fonds de gorge, ce qui l'étouffait et je ressortais pour lui mettre des coups de bite sur les joues, de petites claques sèches aussi,  je lui tirait les cheveux fermement pour la diriger et l'entendre gémir de douleur m'excita et banda plus encore ma bite de vicelard. La tête bien prise dans mes mains, je lui imposais mon rythme et la tringlais en bouche.
Au bord de la jouissance, je m'immobilisais dans sa bouche baveuse et laissait mon gros gland battre contre son palais....la salope frémissais et se régalait de la grosse verge qui la fouillait si vicieusement, mon attitude de soudard l'avait excitée et elle était devenue chaude comme la braise, je dus la corriger encore pour mieux la baiser et je la retourna pour lui fesser le cul. Elle me tendit sa croupe et écarta ses deux fesses pour se faire travailler l'anus...



Après avoir tiré sur le coté son string de salope, je lui empoignais les deux petits globes de son cul rebondi et je les malaxais comme un malade. Je lui écartais l'anus pour la doigter et je crachais sur son petit trou pour la lubrifier à la salive....son petit cul frémissait et semblait vouloir s'échapper de mon étreinte ou parfois au contraire, elle s'empalait sur le doigt qui la travaillait du cul..
Elle m'avait tant excité par son comportement de parfaite salope, que n'y tenant plus, je me redressais brusquement et posais le gros gland violacé de mon gourdin enflé par le désir sur sa petite pastille rose encore à peine rodée  à la grosse bite. Une volée de claques sur ses fesses la firent sursauter et crier de douleur et de plaisir mélangés. Je l'empoignait sauvagement par les hanches et elle ressentit ma puissance de mâle désireux de la saillir. La pression du gland sur sa rosette augmentât et un léger coup de rein la fit céder sans effort. Le petit trou c'était ouvert, aidé par le travail de doigtage préalable qui avait assoupli le muscle et permit la pénétration du gros membre, la colonne de chair pénétrait lentement le conduit anale de la jeune lopette qui ne bougeait plus, se faisant remplir doucement et
fermement par la queue du vieux vicieux. Léa gémissait de plaisir et sa jouissance était comme une longue plainte, un râle sourd et infini qui sortait d'elle, rythmé par les va et vient du gros chibre qui la possédait.
    

Bernard avait l'expérience nécessaire et une fois sa grosse pine bien insérée dans les entrailles de la petite chienne qui couinait, il changea de cadence et accéléra ses coups de queue. La tapette se mis à gueuler aussitôt et sous les insultes de Bernard qui la fouillait sauvagement, elle tendit sa croupe et s'empalait sur  l'énorme dard. La sensation d'être remplie du cul et le fait de sentir la grosse verge du mâle qui coulisse en elle pour y prendre son plaisir l'excita au plus haut point. Bernard lui pilonnait le cul et la défonçait sans pitié pour sa petite chatte anale. La tapette en prenait plein son cul et jouissait comme une folle. Le vieux mâle, sur de sa puissance et de sa virilité, sortit brusquement de l'anus, et lui fourra le gros sexe en bouche, juste pour bien marquer qu'il prenait son plaisir ou bon lui semble...il s'enfonça en fond de gorge, à faire vomir Léa et lui pinça le nez pour l'empêcher de respirer. Elle suffoquait et la poigne de l'homme la soumettait brutalement à son caprice. Bernard sortit de la bouche de sa chienne et ré-entra dans le cul sans la moindre manière. Il la ramona sans trêve en enfonçant bien son pieu jusqu'à la garde dans le fion de la lopette, elle était si bonne à baiser avec son petit conduit anal qui enserrait son énorme bite que sa semence menaçait de jaillir de ses grosses couilles à chaque pilonnage. Léa gueulait sa jouissance comme une vraie salope et tortillait son cul pour échapper au gros pieux. Bernard était décidé à la dresser à la bite et il continua à astiquer sa petite chienne sans répit, il lui triturait ses petits tétons qui étaient durcis et bandés par l'excitation. 
Léa était fier de se sentir la femelle d'un tel mâle et le gros engin qui la  comblait sexuellement lui donnait tant de plaisir que la soumission qui en découlait était un plaisir encore aussi fort. Elle n'avait plus aucune force et le vicelard la limait encore gaillardement, la grosse bite toujours aussi raide et la poigne toujours aussi féroce. La jouissance de la petite garce était continue et s'échappait de sa bouche en un long feulement rauque, et lorsque qu'elle sentie Bernard lui attraper les hanches violemment, son chibre devint démesuré, gonflé par l'orgasme qui arrivait, le dard grossit encore violacé par l'afflux de sang dans les grosses veines qui l'irriguaient, la chatte de la tapette se dilata aussi et dans un grand cri de plaisir qui la submergea, elle remua du cul pour essayer de se dégager du gros membre qui la remplissait mais le vicieux la tenait fermement et se plaqua contre les petites fesses du travelo. Léa sentie le puissant mâle qui déchargea par jets saccadés sa crème épaisse et poisseuse en lui inondant le cul. Bernard explosa dans la chatte du petit vide couille et resta enfoncé dans le cul en s'écroulant sur le coté...
"Je n'en peut plus....."lui dit doucement Léa...
Bernard la tenait par les cheveux et lui dit plein de vice en sortant du cul de la salope sa grosse bite encore dur et toute dégoulinante de sperme...."Pour l'instant, tu me nettoie la pine et tu t'appliques.....il enfonça deux doigts dans la chatte et ressortit du sperme qu'il tartina sur sa bite, elle le lécha consciencieusement à grands coups de langue en le regardant dans les yeux...."
Elle était la femelle et elle savait maintenant que dans l'avenir, assouvir les désirs du mâle serait sa seule règle...


Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Mardi 11 août 2 11 /08 /Août 08:50

Je décidais de sortir Léa ce soir pour une petite soirée cool, l'exhiber un peu et pourquoi pas un peu plus si l'opportunité se présente...



je lui fIs enfiller un collant voile en nylon noir ouvert sur l'anus son magnifique petit cul de lope était a peine dissumulé  par une micro jupe plissée qui mettais ses petites fesses en valeur et je lui imposais un petit haut noir avec le devant en tulle noir transparent.
La fine étoffe laisse découvrir un petit soutien gorge de jeune fille qui indique une poitrine à peine naissante, souvent une taille de bonnet A . L'effet push up tentait de gonfler une paire de seins inexistante et ce petit soutien gorge en dentelle féminisait Léa de façons convaincante, les bretelles froufroutantes et un petit noeud de ruban rose entre les seins achevait de la rendre craquante. Son maquillage soigné, ses sourcils bien épilés et ses ongles vernis ne faisaient qu'inviter les mâles motivés par se genre de salope à mater son cul ainsi présenté.
 Ses fesses étaient une véritable invitation à la sodomie et le petit string de vinyl noir que je lui faisait porter sous son fin collant fendu se détachait parfaitement des deux lobes et marquait, comme un fléchage vicieux, la direction de son petit anus.
Je me promenais a son bras et lui malaxait copieusement le cul. Elle tortillait outrageusement sa croupe conscient du feu qu'elle allumait chez tout les mâles, les gros paquets faisaient des grosses bosses dans les pantalons des hommes qui nous suivaient, chacun esperant secretement pouvoir se soulager et vider ses couilles dans l'anus de la jeune salope.

 Ce sont ses bottines et sa jupe à ras de la chatte qui la faisait le plus ressembler à une petite tapineuse. Les femmes, jeunes ou vieilles, mariées ou non, ne s'y trompent pas et lorsqu'elle veulent de la bite commence par mettre des talons plus haut que ceux qu'elles portent d'ordinaire, c'est toujours le cas pour les sorties, les soirées, le shopping, les mariages et autres fêtes.... bref, le message est clair, je veux être bandante, je cherche du mâle...je veux de la bite.....

Lorsque je la faisait  tapiner pour l'exiber en pute, je lui faisait mettre ses chaussures dorées.





Ces chaussures avaient des talons aiguilles de 17 cm, qui lui cambrait les reins, faisait ressortir sa croupe, affinait sa ligne et ses jambes....elle se déplaçait élégamment et semblait aussi à l'aise qu'un top model sur un podium de défilé de mode...elle roulait du cul de façons éhonté et attirait le regard des hommes et des femmes, qui la mataient sans se gêner tellement ont pouvait voir qu'elle était demandeuse de bites.
Je la promenais en la tenant par le cul, une main plaquée sur ses fesses, et nous entrâmes dans un restaurant italien pour un petit dîner rapide. Tous les regards se tournèrent vers nous et un gros homme qui se révéla être le patron, fonça sur nous. Il n'arrivait pas à détacher ses yeux du cul de Léa et nous installa à une table tranquille, pour les amoureux disait -il....je fis asseoir Léa de façons à ce que le gros cochon la matte facilement, son petit string de vinyl noir brillant, qui dépassait était bien visible et lorsqu'il revint prendre la commande, sa bite avait enflée démesurement sous son pantalon et faisait une grosse bosse. Il se plaçât devant elle, la queue à hauteur de sa bouche, le sexe était gros et fort et je vis Léa le regarder fixement, sa langue passait sur ses lèvres avec envie... je l'embrassais goulûment et lui dis doucement
" t'as envie de pomper ma salope? .... tu veux ton dessert tout de suite..? "   je demandais alors au patron...
" Une grosse sucette avec la petite ...ça vous dirait ?    elle est chaude...c'est une débutante mais elle est super bonne en bouche....."
Le gros homme me répondit   " C'est combien ?...
Je m'entendis lui répondre  " 150 euros....." 
Il me dit sans hésiter "  ok ... bon ben.. passez derrière..." il désignait une petite arrière salle du menton.. 
Il attrapa Léa par le bras et la poussa devant lui, le gros homme lui mis la main au cul et la pelota sans gène.... Il sortis un gros portefeuille et en retiras trois billet de cinquante qu'il me tendit...
Il dégrafa sa braguette et sorti sa pine, j'ai pourtant été me faire éponger au bois de boulogne hier soir mais la l'occasion est trop belle" ...aller ma pute, au boulot..." Léa se jetasur le gros braquemard et aspira le gland sans même prendre le temps de respirer, le gros homme au ventre proéminent fut impressionné par la fougue de la jeune garce, elle tenait le gros sexe fermement par la base et son autre main griffait les couilles poilus de ses ongles pointus et vernis de petite chienne en chaleur, sa bouche déformée par l'engin pompait le pieux avec entrain et elle semblait n'avoir jamais rien fait d'autre que du suçage de bite...j'étais derrière elle à lui malaxer le cul et le vicieux lui tirait les cheveux et lui appuyait sur la tête, il grognait de plaisir et l'insultait en bavant...son dard grossissait encore et paraissait écarteler la bouche de ma petite salope à bite. Léa bavait et crachait sur le noeud pour lubrifier la turlute, elle était si excitée par le gros gland rose qu'elle le fixait et se jetait soudainement en s'empalant de la bouche sur le manche en une gorge profonde désespérée....d'un coup de rein furieux, le vieux vicieux bedonnant lâcha un étonnant flot de jute blanche visqueuse, Léa tentait d'attraper les giclées de foutre, la bouche grande ouverte, et essuya avec ses doigts les coulées qui ruisselaient sur son visage pour les mettre en bouche, elle le finit doucement à la main et nettoya la gosse bite flasque à grands coups de langue gourmande... 


 




 

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Mardi 11 août 2 11 /08 /Août 02:23







Léa sortie de sa douche et devant son dressing, semblant hesitée sur le choix de sa tenue, elle enfila négligement un déshabillée jaune transparent avec de petite plume, mis des bas dentelle avec un porte jaretelle ficelle tres élastique et des escarpins transparent à brides et lanières...sur le sofa rose du salon elle s'etendit lascivement en carressant son clito, son petit trou rose apparaissait légerement entre-ouvert. Elle avait dus profiter de sa douche pour se doigter l'anus et cela l'avait toute exitée....la gourmande était de nouveau en manque de bite....
 je pris un coup de sang, l'attrapais violement et sans autre forme de proces, je la pris en bouche et dans l'anus en alternnant les plaisirs. Surprise par mon attaque, elle se fit soumise et docile sous ma poigne qui ne tolérait pas la moindre rebelion. Ma grosse bite la bourra énergiquement et elle couinnait deja son plaisir en véritable chienne en chaleur. Elle avait réellement toujours le feu au cul et ma grosse bite de vicieux suffisait à peine à la satisfaire tant elle était gourmande de sperme.Je la mis a quattre patte pour lui fesser le cul et bien corrigée, je la défoncais sauvagement en la faisant raler de plaisir et gémir comme une garce.












Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Dimanche 9 août 7 09 /08 /Août 10:55
Léa était devenue ma poupée sexuelle et j'en usais à ma guise. Elle était toujours prête a baiser sil elle n'avait pas la bouche pleine ou le cul remplie, elle passait son temps à se changer, se maquiller,à me chauffer, à m'allumer, elle n'avait pas de besoins autres que sexuels et ma grosse bite toujours en érection la fascinait.


Je lui faisait souvent maquiller ses yeux bien sombre et sa bouche bien rose glossy. Je lui imposait fréquemment d'avoir la bouche ouverte, comme pour réclamer de la queue...
Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Samedi 8 août 6 08 /08 /Août 12:12

Un aprés midi que Léase faisait sa gourmande et réclamait de la bite à sucer, Bernard décida de la sortir, elle mit un petit jean's et un petit pull à rayures rouges et noires qui moulait sa mini poitrine et laissait son ventre nu...


         
 
La jeune lope aimait sortir au bras de son vieux cochon et faisait en sorte que rien ne soit équivoque et que chacun dans la rue sache bien qu'elle était la femelle du vieux vicelard...une des mains de Bernard faisait le tour de sa taille et lui prenait le cul, le string de Léa apparaissait des qu'elle se penchait un peu, et lorsqu'ils croisaient une autre femelle qui les matait, Léa passait sa petite main sur la grosse queue de Bernard, pelotant le membre viril par dessus le cuir du pantalon, la bite était toujours semi gonflée par les attouchements répétés de la lope en chaleur et la forme qui se dessinait faisait rêver bien des passantes envieuses... 

Bernard portait un pantalon de cuir qui moulait exagérément son gros paquets de couilles et sa bite de belle taille. Il avait décidé d'aller faire pomper sa petite pute dans un glory hole d'un quartier d'affaire ou des cadres pressés venaient se faire éponger les couilles...

            

 
Léa pompa ainsi une partie de l'après midi des queues de toute tailles sans voir le corps des mâles en rut. Elle prenait plaisir à les faire gicler et à n'être qu'une pompe à foutre... ce fut Bernard qui l'arracha à toutes ses bites qui sortaient des trous de plus en plus nombreuses depuis qu'elle tétait...Il fit pomper la sienne devenue énorme par l'excitation et l'aspirateur à jus de couilles se remis en route, elle lui gloutonnais le dard avec entrain, voulant satisfaire aux mieux son homme qui était difficile et qui ne manquerait pas de la corriger du cul si elle ne donnait pas satisfaction.


 



Bernard avait un gros succès auprès des femmes, de touts âges et des jeunes garçons passif qui voyaient en lui le mâle idéal, la grosse bites les faisaient rêver et la perversion du vieux cochon était devenu une légende que beaucoup de femelles voulaient tester. Il les baisait assez égoïstement en pensant d'abord à sa grosse queue, il avait un besoin permanent de limer une chatte ou un cul, surtout un cul, qui plus étroit lui donnait de bonne sensation, le conduit anal très souvent moins sollicité sexuellement,lui enserrait son gros dard et donnait de profond orgasme qui le faisait exploser violemment dans l'anus des femelles consentantes. Pour les petites chiennes qui avaient un jour droit à sa grosse queue, la bête sexuelle qui les pilonnait sans fin les ammenait à un plaisir nouveaux, brut et bestial, puissant et irrépressible qui faisait d'elles, de véritables femelles lubriques avides du gros membre de Bernard qui leur offrait tant de jouissance. Leur empressement à sucer le gros sexe toujours raide leur permettaient de voir l'engin de près, le gros gland tendu, si lisse et si arrogant,  lui faire mille papouilles baveuses et le sentir frémir, se tendre, se raidir, comme une promesse de jouissance puissante à venir, de le carresser et de prouver au mâle sa qualitée de pompeuse qui donnera droit à étre prise, à être remplie, à se faire couvrir, vaincu par la puissance sexuel du mâle dominant.











Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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