Samedi 8 août 6 08 /08 /Août 09:51










        




Clarisse et Léa était devenue les meilleurs amies du monde et outre le fait qu'elles se gouinaient copieusement , elles sortaient souvent ensemble. Clarisse était une habituée d'une boite parisienne pour transsexuel et autre travesties ou lopettes en devenir, ce petit monde marginal parlait chiffons et beau mec...Bernard n'avait accepté leur sortie que sous la condition que Léa ne soit pas prise du cul. Il lui mettais avant chaque fois une ceinture cadenassée avec un très long et très fin god anal que l'on ne pouvait ni enlever, ni écarter, l'anus de la petite chienne était réservé au mâle dominant et Léa appréciait que Bernard se comporte en propriétaire. 
" Tu peux bouffer de la bite....."  lui disait il, tu as encore des progrès à faire...ton cul, je me le garde, c'est moi qui te diras qui tu recevras dans tes fesses et quand...."
Avant de sortir; elles se mettaient toutes deux à genoux dans l'entrée et pompaient en duo le gros sexe du mâle bandé par les deux petites putes qui se préparaient des heures, maquillage, essayages, pelotage et rires des petites allumeuses le mettaient en érection permanente, il les faisaient sucer lorsqu'elles étaient prête à partir pour bien leurs signifier qu'il autorisait la sortie mais qu'il était le maître et qu'elles lui devaient obéissance et soumission sexuelle.






La sucette des deux lopettes fit exploser Bernard qui pris la bouche de Léa pour faire gicler son jus, il s'enfonça en fond de gorge et lâcha son épaisse semence à gros jets...  Clarisse lui massait les bourses et lécha la queue gluante qui sortait de la bouche de Léa et la nettoya consciencieusement avant de remettre soigneusement le gros chibre à peine dégonflé dans le slip de cuir de Bernard. D'une tape sur la croupe, les deux petites salopes tortillèrent du cul et partirent en rigolant..








 

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Mercredi 5 août 3 05 /08 /Août 20:10

Vers 18 heures, Bernard entra au salon de coiffure de Michelle....  " je ferme et  j'arrive " dit-elle, " passez par derrière et montez à l'étage,...  Clarisse !.... sert leur un verre, je vous rejoins tout de suite..."
En montant l'escalier, Bernard pelota familierement le cul de Clarisse qui se laissa faire avec une docilité qui laissait transparaître une certaine habitude, la jeune salope remuait du cul avec expérience et l'on y voyait nettement le travail de dressage de Michelle sur la jeune fille.



Bernard et Léa s'installèrent sur le canapé et Clarissse leur proposa un verre. Elle leur mis en marche un dvd sur un grand écran plat et fila ensuite sous la douche. Michelle s'intéressait en ce moment aux pony-girl's et le film allemand, montrait le dressage de deux soumises attelées à un petit sulky. Cet univers de latex, de vinyl, de dressage et de soumission la faisait fantasmer à fond...Bernard pris un gros gourdin des les premières images et il appuya sur la nuque de Léa et l'enfonça sur sa bite..." suce salope ! " 
Les femelles harnachées qui trottinaient avec un mors en bouche, légèrement cravachées, avaient un plug queue de cheval enfoncé dans le cul... Michelle rentra dans la pièce et  fut enchantée de les voir déjà entrés en pleine action..
"T'es toujours aussi queutard toi..... hein Bernard ? "  elle était derrière Léa et une main experte passa sous le tête de celle-ci qui gobait la grosse tige et vint griffer le paquet de couilles avec gourmandise...." tu jutes toujours autant gros vicieux?...."
" ne t'inquiète pas, Michelle, tu vas en prendre plein ton fion....je vais te graisser le cul...de la vrai bite ça te fera du bien"
souffa Bernard
" Hummmm , je rejoint Clarisse sous le douche...attendez nous hein... ? "

Elles revinrent peu après, et leur tenue respective étaient superbe...Clarisse était latexée en petite pony-girl et Michelle était corsetée en dominatrice vinyl brillant noir et rouge avec un god ceinture de belle taille en latex noir.
 Michelle poussa un peu Léa et installa Clarisse sur la queue de Bernard et lui lança : " tu vas pas y croire vieux vicelard..."  la petite apprentie à la bouche délicatement dessinée engouffra le gros pieux aussi facilement que les gods que Michelle la dressait à sucer au quotidien. Les fessées de Michelle, la cravache et le martinet lui avait appris à ouvrir la bouche et se la faire remplir pour de vrai..sa petite bouche était devenus un vagin si bien dressé que les succions, aspirations et autres délicatesses étaient devenus instinctifs.



 La petite soumise suçait à ravir et avait des leçons à donner à Léa qui ne pompait que depuis peu...elle aurait put être avaleuse de sabre tellement elle n'avait aucune difficulté à absorbé le gros chibre bandé de Bernard. Elle engloutissait la colonne de chair jusqu'à la naissance des couilles et semblait vouloir les mettres aussi dans sa bouche... Bernard lui appuya sur la tête des deux mains enfoncée sur sa queue, comme pour l'étouffer, il la pistonnait durement dans la gorge, tout étonné qu'une si petite femelle, si jeune, soit aussi bonne suceuse et lui qui avait fait bouffer sa grosse bite si souvent pendant toute sa vie, bandait encore plus dur de tant de perversité de la jeune fille. Clarisse semblait vouloir s'asphyxier à la bite, se remplir de queue. De ses petites mains aux longs ongles vernis d'un rose vif, elle serrait la grosse pine qui devenait violette et bleu, les veines saillantes se découpaient sur la hampe et le désir de Bernard n'en était que plus violent, elle griffait les bourses et faisait parfois sentir ses dents sur la verge, comme pour rappeler son pouvoir, elle repartait ensuite dans une folle sarabande sur le dard turgescent.
Bernard lui passa une main sous la jupette de latex, une gaine porte jarretelle retenait des bas à grande résille rose et ses doigts s'insinuèrent dans le petit shorty fendu, l'index s'enfonça sans peine dans l'anus déjà graissé par Michelle, ses autres doigts voulant fouiller la petite chatte, Bernard s'écria soudain  "Putain la petite salope..ah les garces...les putes..."  Il venait de trouver le petit sexe de Clarisse, une toute petite verge plaquée sur son pubis par un fort renfort de latex, la jeune fille si experte en fellation et dressée par Michelle était biologiquement un garçon. Une lope si parfaite que chacun s'y laissait prendre tant l'androgynie était aboutie...Un rêve éveillé pour Bernard..
" avoue que tu n'y avait rien vu.."lui dit Michelle toute contente de son effet, peu de personne sont au courant....Bernard jouait avec le petit sexe de Clarisse qui restait mou et minuscule...
" - elle n'as pas d'érection, et ne s'en sert pas pour baiser, je lui suçote un peu pour m'exciter car sa petite bite est très sexy, c'est un peu une sorte de clito.. mais elle n'a jamais déchargée...je l'ai un peu hormonée pour former ses hanches et sa petite poitrine, sa peau aussi est plus lisse et elle est maintenant entièrement imberbe..... elle suce divinement bien hein...? je la dresse au god ceinture depuis deux ans déjà..."
Bernard grognait de plaisir aspiré par la petite pompeuse docile, il lui limait la gueule bien copieusement sans prendre la moindre précaution et Clarisse semblait y prendre un grand plaisir et bavait abondamment sur le gros engin...








D'une claque sévère sur le cul, et en la tirant par les cheveux, Michelle retourna Clarisse et présenta son adorable petit cul à la grosse pine de Bernard..  " - Enfourne la direct ! elle est toujours trempée du cul.."
 Les pouces de Bernard écartèrent le petit anus assoupli et il introduit d'une puissante et longue poussée son gros dard de mâle en rut...il râlait de plaisir et vint en buté sur les petites fesses latexées, Clarisse n'était plus qu'une petite chose qui gigotait, empalée sur le gros pieux viril..il lui mettait des coups de bite qui la faisait tressauter et elle jouissait comme une petite chienne lubrique défoncée par le vieux mâle...
A coté d'eux, Michelle avait attrapée Léa par les tétons et lui travaillait les pointes si fortement que l'autre petite salope criait de douleur et de plaisir mélangés....Michelle approcha sa belle poitrine de la bouche de Léa et lui fit lécher ses tétons qui étaient percés d'un petit anneau..  " t'as besoin de sucer toi...tu sera sûrement une très bonne baiseuse après ton dressage à la bite..."  lui dit Michelle en fouillant la bouche de Léa avec ses doigts...elle la fit mettre à quatre pattes et lui enfonça fermement son god ceinture en bouche, elle se pencha alors en avant et lui fessa le cul avec ses gants de vinyl....Léa pleurait, soumise et vaincu par la maîtresse femme qui savait si bien ce dont elle avait besoin..
Michelle la retourna et lui enfonça sa bite de latex dans le cul, Léa cria et pour toute réponse se fit corriger le cul sévèrement aux martinet..Elle se mordait les lèvres et se faisait pilonner le cul à grand coup de goumi par la belle salope en vinyl.
 La dresseuse de lopette en prenait plein la chatte en même temps car à chaque coup de rein dans le cul de Léa, un autre god intérieur lui bourrai la moule..elle paraissait infatigable et le limage de cul produisit son effet car Léa, tringlée comme une chienne, gueulait de jouissance à chaque enfoncement de la queue de latex noir. Les deux jeunes putes, cote à cote prenaient de la bite comme jamais, et l'extase se lisait sur leurs visages transformés par le plaisir. Bernard sortit du cul de clarisse et enfonça celui de Léa, elle gueula le cul éclaté par le changement de pine, le chibre de son mâle était d'un plus fort diamètre que le bite de latex  et son petit fion se dilata en souplesse, elle jouissait comme une folle et Bernard lui démontais le cul brutalement, elle hurlait de plaisir et Michelle la gifla sèchement d'un aller et retour qui la laissa les joues toutes rouge, elle sanglotait et  jouissait en même temps, des râles nerveux la parcourait et Clarisse, habituée à ces scènes d'orgie, vint la caresser et lui rouler des pelles baveuses..Bernard laissa les deux lopettes se gouiner et Michelle leur tendit un grand double dong qu'elles s'enfilèrent chacune dans le cul en s'astiquant en cadence...Bernard attrapa sauvagement Michelle et la plaqua contre le canapé, legod ceinture de la belle vicieuse était ouvert sur le cul et sans même la doigterou la préparer , il écarta les deux belles fesses de la grosse garce et l'encula violemment, à demi surprise par la rapidité de l'attaque et par sa brutalité, Michelle s'agrippa au dossier et mordit le cuir du canapé trop fièrepour le moindre cris...La grosse bite vigoureuse du vieux cochon la perforait de part en part, il la tenait solidement par les hanches et ses coups de boutoir puissants venait s'écraser sur le cul de la belle, il l'attrappa par ses longs cheveux et la menait à son rythme d'enfer, la grosse barre de fer qui lui servait de bite s'était frayé un chemin dans l'anus de la salope et la jouissance qui s'emparait d'elle la rendait étanche à tout ce qui n'était pas en rapport avec les allers et venus du gros membre qui était en elle. Elle qui dominait si bien ses lopette n'était plus qu'une chienne soumise à la bite du mâle, les yeux révulsés par le plaisir, Bernard s'excitait de la baiser si sauvagement, elle qui savait être si sadique, il lui fessa le cul à grandes claques et les coups de bite la défonçait, elle prenait du cul de façons mémorable et les mains du vicelard se mirent à triturer les petits anneaux des tétons pour tenir la salope par ses gros seins. Il l'insultait et la traitait de tout les noms ce qui avait pour résultat de la chauffer encore plus...Bernard la fit enculer Léa de nouveau et mis Clarisse sous lui pour qu'elle lui bouffeles couilles et le chatte de Michelle....Il reprit ses coups de reins et travaillait la garce en puissance, la raideur de son membre ne faiblissait pas et la chienne couinait comme rarement, il lui démontais le cul de tout son poids et la fouillait jusqu'au tréfonds de son cul de pute en chaleur, elle bramait et en demandait encore en pleurant, l'orgasme qui arrivait la crispa, son corps se raidit, l'anus resserra son étreinte sur le pieux  en furie qui gonfla de sève, et enfla d'un diamètre plus gros encore, Michelle hurla sa jouissance sans aucun contrôle, Bernard dans un dernier élan d'une violence inouïe lui déchargea des grosses giclées de foutre épais et crémeux dans le cul de la chienne à bite.
Il s'effondra sur le coté et sans un mots les deux lopettes vinrent lécher l'énorme bite gluante et le cul déformé de la salope qui laissait s'écouler la liqueur du mâle.

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Lundi 3 août 1 03 /08 /Août 19:16

Léa ce révélait être une grosse gourmande de bite. Je l'enfonçais en bouche deux à trois fois par jours sans jamais la lasser et je la sentais même parfois, demandeuse de plus de sexe encore.
Son petit anus c'était transformé en une très jolie petite chatte anale rose, à peine froncée et encore très serrée.
Je lui avait interdis les gods et vibros de grosses dimensions, seuls les diamètres inférieurs à ma grosse pine lui était autorisés. De cette façons, je la motivais à s'amuser avec sa chatte mais sans l'habituer à prendre de gros diamètres. La grosse bite de son mâle était pour elle toujours une sensation recherchée et jouissive.
 Sa jeunesse éclatait et elle ressentais un telle besoin de rattraper ses années perdues sans le moindre coup de bite, que je sentis que pour la garder, il me faudrait la partager sexuellement. Je devais devenir celui par lequel, elle obtient le sexe nécessaire à son bon équilibre. Instinctivement je sus que passées quelques semaines, Léa irait chercher ailleurs ce que je ne pourrait lui offrir...Je continuais à la pervertir avec toutes sortes de petits délices qui la ravissais et qui la faisait grimpée aux rideaux en couinant comme une folle.

 

      

       

Je la faisait mettre régulièrement à quatre pattes comme une chienne et je la tringlais en levrette, assez sèchement en écartant son petit slip du moment et en enfournant ma grosse bite d'abord en bouche, puis lorsqu'elle l'avait bander à fond, je la limait tranquillement devant un film de cul. Elle s'excitait au plus haut point en étant baiser comme une salope, et être la femelle d'un tel mâle lui trempait le cul chaque fois....sa docilité me faisait bander comme un âne et elle commencait à bien savoir comment rendre ma bite aussi dur et aussi raide. Elle appréciait ma domination, morale et sexuelle, plus je lui faisait comprendre que son cul m'appartenait et plus elle était excitée et ouverte...elle avait pris goût à mon jus de couille et n'en perdait plus une goutte...
Léa était maintenant superbe, elle fréquentait assidûment le salon de coiffure de Michelle et la petite esthéticienne s'occupait d'elle très excitée de la situation...Michelle draguait Léa avec toujours autant de conviction, espérant la mettre dans son lit avec l'accord de Bernard, elle la pelotait sans vergogne et voulait à toute force s'emparer du petit sexe de Léa qu'elle assimilait à un gros clitoris. La coiffeuse était une véritable vicieuse et ne prenait que des apprenties qu'elle pouvait pervertir et dévergonder. Elle avait déjà eut beaucoup de petits coiffeurs, qui étaient arrivés jeunes hommes et partis transformés en jeunes filles. Il faut bien reconnaître que la profession s'y prête à merveille et que pour ces jeunes, la plupart étant homosexuels passifs, l'entrée dans la vie d'un salon de coiffure, c'est la découverte du monde des femelles, des soins du corps, des parfums, de la couleur et de la coupe des cheveux, de la lingeries, des vêtements et des fantasmes sur tel ou tel étalon....Michelle c'était excitée sur Léa qu'elle avait vu se transformer de petite lopette homo en un jolie travesti féminin et plus femme que beaucoup de femme...elle ne pensait qu'a lui limer l'anus au god ceinture, c'était une dominatrice, une prédatrice de chaire fraîche, une mangeuse d'apprentis, elle dévorait les culs, les petites chattes et les petites verges de touts ces petits vicieux et vicieuses qui trouvaient en elle une initiatrice expérimentée et intraitable...son adresse circulait sous le manteau et il fallait pour être accepté avoir la chance de lui plaire....sexuellement... 
Elle téléphona à Bernard et lui proposa de façons très direct de monter prendre un verre en venant chercher Léa à l'heure de la fermeture..." nous échangerons nos montures...."  lui dit elle en s'esclaffant...
Clarisse, l'apprentie de Michelle, qui avait environ 16 ans était mignonne, une très jolie bouche, de long cheveux un peu roux, une peau très clair, peu ou pas de poitrine, grande avec de belles jambes et un petit cul rebondi qui avait séduit Michelle des leur première rencontre...
Bernard, n'hésita pas une seconde et lui répondit :
" tu prends bien encore un peu de bite de temps en temps, ma salope...on fera sucer les petites putes et après je te prendrai le cul, ça te rappellera des souvenirs...aller, à ce soir..."


Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Dimanche 2 août 7 02 /08 /Août 02:25

Bernard se mis en tête de faire de Léa une bonne suceuse de bite, et il décida pour se faire de la mettre à la pompe..il la fit sucer sa grosse bite non stop, et sans jamais décharger en bouche, il lui limait la gueule, elle n'eut pour se reposer que les rares moment ou il lui faisait changer de perruque ou de lingeries...


 




 



Ma queue lui rentrait en bouche et la défonçait, ses petites mains aux doigts de pute vicieuse me branlait le pieux et entourait ma grosse bite...elle salivait et faisait des bruits de bouche, de succion, d'aspiration....elle s'appliquait à devenir la bouffeuse de bite que j'attendais.....
Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Vendredi 31 juillet 5 31 /07 /Juil 20:43








Après sa première sodomie,Léa c'était assoupie dans les bras de Bernard. Sa petite chatte avait été soumise à rude épreuve et alors qu'elle avait sombrée dans un demi-sommeil, il lui passa sur l'anus une pommade réparatrice qui faisait des miracles aux dire de ceux et celles qui l'avaient essayer. Le massage la réveilla un peu et elle tendit sa croupe endolorie aux soins du bon docteur.





Des le lendemain, Bernard lui fit essayer une partie de leurs achats, et au premier essayage, une nuisette noir transparente et le petit string de pute qui allait avec......





le gourdin de Bernard déformais son caleçon.....la petite salope s'y entendait pour chauffer un mâle...




elle passa un petit ensemble en faux serpent rose et noir et comme lui avait recommandée Irène, elle osa sortir son petit sexe qui ne bandait pas d'un minuscule string fait pour le troisième sexe... inquiète de la réaction de Bernard, elle fut rassurée lorsqu'elle le vis sourire...il la pris dans ses bras et lui roula une pelle en lui plaquant les mains sur le cul...
" Continue tes essayages, tu m'excite ma salope...




Léa essaya ensuite une petite robe rouge très simple avec des bas noir et des escarpins blanc...elle essaya des petites culottes, noir, rouge...mais Bernard mis fin au essai brutalement, n'y tenant plus il la culbuta dans le canapé de cuir, la retourna et en soulevant la petite robe rouge, il écarta le string pour lui vérifier l'état de son petit trou...La petite chatte encore rosie, il la graissa au silicone et lui remis sa queue après avoir doigté et écarté l'anus devenu plus souple...
Elle ne bronchait pas attendais son coup de bite, impatiente et déterminée...




Bernard approcha le pieux et s'enfonça dans la rondelle sans trop d'efforts, Léa gémit à l'introduction car le ramonage de la veille lui avait bien éclaté le cul et il restait sensible et un peu douloureux, mais répondre au désir de son mâle était pour elle si important qu'elle aurait subit plus encore si il le lui avait demandé...Il la queuta en lui parlant et en l'insultant doucement, en la pelotant de partout...puis il sorti sa bite, et sans rien dire il la releva et lui remplie la bouche de sa bite gluante, surprise et excitée elle le pompa par grosse succion bruyante et efficace.
Changeant à nouveau d'idée, il lui fit mettre une petite culotte noire transparente qui couvrait à peine son clito de lope et il la pris dans un fauteuil en lui demandant de laisser sa bouche entre ouverte comme si elle voulait encore sucer...Il était à sa main pour enfoncer le gros dard dans son petit cul  et elle gémissait comme une bonne chienne sous l'homme qui la prenait.




Léa compris des la deuxième sodomie que désormais, elle ne vivrait que pour la bite....

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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