Samedi 21 novembre 6 21 /11 /Nov 00:19
Depuis la séance de branlette collective, nous n'avions pas recommencés. Les images du film porno repassaient sans fin dans ma tête. Et de ce moment dans le noir, je ne me rappelais que le contact de la verge tendu dans ma main, la main qui me serrait puis qui me caressa comme une invitation à la caresse...les images de fellations et les corps qui couinaient, la jouissance...la douceur du gland et les frémissements nerveux dans la verge, cette caresse sur mes fesses qui m'avait surpris et qui l'avait tant excité qu'il avait gicler les gros jets blanchâtre à l'odeur acre...

Je ne comprenais pas comment je n'avais rien fait, rien dit, même pas protesté, en fait je savais qu'il avait raison, j'avais aimé ça et lui aussi...je n'avais pas d'érection, c'était risible et ils en avaient ris, mais je lui avait donné du plaisir et j'en avais pris, il le savait et savait que je le savait...cette obéissance aussi, son pouvoir, sa force physique mais aussi psychologique, son emprise sur moi, le pouvoir que lui donnait son gros sexe bien dur qui me fascinait tant...

Lors de vacance scolaire, je questionnais adroitement mon copain de classe qui partait chez sa grand-mère dix jours sur la présence de son frère avec lui. Sans rien comprendre à la manoeuvre, il me dit que son frère s'engueulait tout le temps avec sa grand-mère et qu'elle n'en voulait plus. Il restait donc chez lui pendant toute les vacances, seul, comme moi.
Le premier après-midi n'y tenant plus, je pris mon courage à deux mains et je téléphonais chez mon copain pour demander à lui parler.
 Bruno, c'était le nom du grand frère me répondit gentiment d'une voix très douce, avec un énorme mensonge, bien sur tu peux passer, il t'attends....je raccrochais un peu perdus, en fait il me tendait un piège en sachant que je savais très bien qu'il était seul, si je venais j'étais à sa merci....je me sentis tous bizarre, un peu en sueur..la peur et l'angoisse qui montaient, m'étreignaient peut à peut..
Sans réaliser vraiment, je partis aussitôt comme un robot vers une chose que je ne comprenais pas mais qui me rendait dingue...
Je sonnais à peine mais la porte s'ouvrit aussitôt... Bruno me fit entrer rapidement, referma la porte, et me dit...
.... prends l'escalier.! .., je passais devant et il montât derrière moi...je sentis son regard sur mon cul et je repensais à la caresse sur mes fesses qui l'avait fait partir... il me poussa dans sa chambre..referma la porte, me laissa debout..et s'assit sur son lit...je tremblais comme une feuille...
Y'a personne dans la maison jusqu'à ce soir,...... t'as peur...?   tu sais pourquoi tu est venus.....?
Je ne pus sortir un seul mot...Il me regardais dans les yeux et je baissais le regard.....il se releva et me dit....
t'est venu pour ça....il baissa son jogging et sorti sa queue.....et moi,  je t'ai fais venir pour ça...il prit ma main et la mis sur sa queue...
Il enclenchât une vidéo porno et se déshabillât...toi aussi dit-il...et vite..!
Je ne vais pas tout le temps tout te dire grognât-il..., son sexe grossissait déjà...Il était baraqué et trapu, brun et un peu mat, j'étais plutôt très mince, sans aucun muscle, blond et pale, imberbe et avec un très petit sexe...je me sentis ridicule et il dit me en regardant sa bite, elle est belle hein?
Je la fais fait cracher deux à trois fois part jour, il soupesa ses couilles, elles sont encore pleine,
c'est toi qui m'excite... depuis l'autre fois je pense qu'a ça.... 
et il me dit, tu vois, toi tu bande pas,....alors hein? c'est assez normal que tu fasse la femme....
Tu verras c'est facile tu regarde le film et tu fais pareil......

à genoux devant l'homme, pour la première fois de ma vie, je fis la femme.......
.
Je pris le sexe dans mes mains et je le caressais comme je l'avais fait la fois précédente...la peau toute douce de la verge se tendait sur le membre qui grossissait, l'image de la bosse du pantalon de mon beau-père m'apparut soudain et j'en fut tout excité..Bruno gémissait sous mes mains et ma branlette le rendait fou....
Il me cria en grimaçant,........suce-la....... allez ......suce la  salope...
Je m'enhardis à m'approcher et a poser mes lèvres doucement sur la tige, le goût de sa peau, et l'odeur acre de ses giclées de sperme se mélangeaient et m'excitait encore plus..je ne me reconnaissait plus, son sexe me faisait envie comme jamais je n'avais vraiment eut envie d'autre chose jusqu'à ce jour..Il m'enfonça la tête maladroitement sur sa bite et faillis m'étouffer, je serrais le queue vers la base pour empêcher Bruno de l'enfourner dans ma bouche, il était si avide d'être en bouche qu'il ne profitait de rien, il ne voulait que limer sa queue, il explosa sauvagement dans des giclées désordonnées qui m'éclaboussèrent le visage, des râles jouissance sauvage me firent prendre conscience des la première fois de mon pouvoir possible sur le mâle...
Il me tenait toujours par la tête, tu vas lécher mon jus de couille ma salope me dit-il, et comme je semblais trop hésiter à son goût, il me plaqua brutalement la face contre les traînées de sperme, il faudra t'habituer à ce goût, certaine femelle en raffole...je grimaçais mais soumis et curieux, je lapais la semence du jeune fougueux...Il me passa un doigt sur le visage pour racler les autres coulures et me les mis directement en bouche en me faisant sucer son doigt...Il se réinstalla confortablement devant le porno, les jambes demi écartés et me tirant par les cheveux, il me proposa de nouveau de sucer sa bite...allez ma suceuse, t'es venus pour ça hein...alors tu suces!  La verge avait perdu sa rigidité mais même flasque elle était belle à voir et agréable à toucher..je la pris en main en décalottant le gland bien précautionneusement, elle restait molle et douce sans les frémissements nerveux qui la parcourait lorsqu'elle était presque prête a cracher son jus. Bruno me pelotais le cul, les épaules et me caressais les tétons, j'étais son jouet, il me le faisait sentir et je fis en sorte de lui plaire car je venais de découvrir que j'aimais vraiment ça...



Je suçais sa bite comme je pouvais et souvent mes dents lui faisaient mal et il me mettais sur la tête des tapes fermes en me tirant les cheveux...Je reprenais en faisant bien attention à le lécher correctement, il redurcissait sa bite rapidement  et gémissait dans ma bouche...Je le sentie se contracter se raidir et en me bloquant la téte solidement, il se vida cette fois ci entièrement dans ma bouche......... j'avalais tout son jus et nettoyait sa bite à grands coups de langue comme je l'avais vu faire dans les films de cul.....   Bruno en fut fort satisfait et me dit que j'apprenais décidément bien vite..
Il me dit d'un ton dur et cassant...tu dégages, barres toi..... et tu reviendra me sucer demain à la même heure...pas un mot à personne...compris...?
Je me réhabillais rapidement et rentrait cher moi sans rien dire....

Par BERNARD - Publié dans : Gérard, mon beau-pére...
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Vendredi 20 novembre 5 20 /11 /Nov 21:16

Moi, Léa la lopette, du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours été attirée par les hommes.
 Jeune pré-ado, dès les premiers émoi sexuels, mon attirance pour les dessous féminins, les dentelles et autres fanfreluches était déjà bien affirmée.
 Mon beau père, costaud et plutôt dominateur, très amateur de lingeries sexy exigeait de ma mère qu'elle en portes quasi quotidiennement.  Bien que fort jeune, je compris rapidement les demandes, même formulées de façons plutôt voilées de mon beau père à l'égard de ma mère. Il était intraitable sur ce sujet comme sur bien d'autre et participait de façons active aux choix des ensembles qu'il convenait de porter selon ses humeurs...ma mère s'y pliait de bonne grâce, contrainte et forcée parfois, le plus souvent ravie et motivée, gagnée par le virus qu'il lui avait inoculé...élégante et racée par nature, elle devenait sexy et provocante par jeux de connivence avec lui..et lorsque ma mère un peu inquiète de l'image qu'elle renvoyait, demandait un peu plus de discrétion à mon égard, il savait par je ne sais quels arguments, retourner la situation et la convaincre que pour un jeune garçon, la vision d'un couple unis et amoureux ne pouvait être que ce qu'il y avait de plus sain pour un développement harmonieux....et blablabla...  bla bla..
Ma mère, ne voyant pas venir de ma part la moindre récrimination ou manifestation d'une quelconque réprobation finit par penser qu'il avait sans doute raison. Mon beau-père ne se privait pas de la peloter sans vergogne, à la maison et même aussi dans les lieux public. Il aimait s'exhiber et exhiber ma mère. Les tenues sexy qu'elle portait  le mettait souvent en érection et si cela était possible, il ne s'en cachait guère...à la maison en tous cas, il était fier des bosses qu'elle provoquait au travers de son pantalon, et avec le temps, ma mère s'en offusquait de moins en moins et je finis par tous connaître de leurs petits jeux, leur vocabulaire et la façons dont cela se terminait.
Sans jamais avoir l'air de me douter de quoi que ce soit, je faisais très bien le jeune niais mais n'en perdais pour autant pas une miette. Comme tout les garçons de mon âge, le sexe m'intéressais au plus haut point. Je ne pensais en fait qu'a cela. Ils sortaient souvent et seul à la maison, j'allais aussitôt fouiller dans les tiroirs de lingeries de ma mère, toucher ces dessous, ces matières qui me faisaient tant d'effet.

C'est chez un copain qu'un après-midi, je vis pour la première fois un film porno. J'avais déjà vu des bribes de pornographie, des photos, des magazines...mais jamais, aussi explicitement, des fellations aussi détaillées, des levrettes, des sodomies et autres position....la bande son fut aussi une découverte de grognements, de feulements, de respirations, de gémissements qui me rappelèrent aussitôt des souvenirs de la maison...beaucoup de ses sons m'étaient connus et les images qui allaient avec complétaient mon puzzle...la plus grande révélation fut pour moi l'usage intime que l'on faisait de ces tenues que ma mère portait. Les strings écartés pour laisser passer les gros membres des hommes qui s'enfonçait dans des anus dilatés, les bouches bien peinte en rouge qui sucaient de grosses queues parcourues de veines bleutées..les ongles longs et vernis qui griffais des couilles bien remplis de jus..pas une femme qui n'était en bas et porte jarretelle..talons aiguille, cuissarde...toute la panoplie que mon beau-père faisait porter à ma mère prenait un sens nouveau et évident. Des morceaux de ce grand puzzle de la découverte de la sexualité se liaient de façons évidente et me plongeaiens dans des abîmes de perplexités.
Mon copain si en avance sur moi, me certifia que chez moi aussi, il devait bien y avoir de ces films là. Je répondis sans conviction par la négative, en me disant que oui, décidément la bande son, dans son genre ne m'étais pas inconnus..
Mais oui, me disait-il, ils mettent le film et ils baisent devant....il en était sur, c'est son grand frère qui lui avait dit...
Une autre fois, le grand frère, qui du haut de nos quatorze ans nous paraissait être un vieux avec ses seize ans passés nous appris la branlette devant le porno. Ils nous surpris devant un film et voulus alors nous montrer tout son savoir et sa supériorité, sans aucune gène, il sortis sa bite et commença à se branler.
 Bien que je me caressais souvent tout seul, intimidé par cette promiscuité, impossible de bander..mon copain lui y arriva très bien et le grand frère, avec une queue qui me sembla énorme se masturbais en respirant fort...ils virent tous les deux ma queue qui était si petite et toute molle, en rirent et se tournèrent vers le film...l'aînée mis le son plus fort et éteint la lumière, seule la lumière du film éclairais la pénombre de la pièce. Sans être vu de son petit frère qui s'astiquait sa bite dans un état second, le plus grand m'attrapa la main et la posa sur son gros sexe chaud que je sentis aussitôt se raidir, il garda sa main sur la mienne et la fit aller et venir lentement. Cela ne se voyait pas mais je devins rouge de honte, je voulus retirer ma main mais il la maintenait en serrant fort et le sexe dans ma main se gonflait encore, je ne bougeais plus, intimidé, gêné, ne sachant que faire...il le compris comme un accord, desserra sa main et me caressa les doigts doucement, en m'imprimant légèrement un mouvement de va et viens sur sa hampe..j'obéis sans trop réfléchir, envahis par une curieuse excitation que je ne connaissais pas, je découvrais un plaisir à tenir ce sexe, à y être contraint, à être l'instrument du plaisir d'un autre...comme un automate je continuais les aller et venus sur la verge si raidement tendus.... Je fut de nouveau surpris par sa main qui me pelota les fesses mais avant même que je ne réalise quoi ce soit, me mettre la main au cul le fit décharger aussi sec et de gros jet de foutre se répandirent sur le sol. Il s'éloigna d'un pas, alluma la lumière, et nous fis voir fièrement les giclées de semences qu'il avait put produire. Son petit frère qui n'avait rien vu de toute la scène, trop absorbé qu'il était par sa branlette,se retourna alors, désolé de ne pouvoir pas gicler a son tour. Le grand frère le rassura et lui dit que contrairement a moi qui ne bandait même pas, il était déjà un vrai homme lui...il avait pas déchargé, certes, mais il bandait bel et bien. Nous remontâmes les pantalons, le film fut éteint, le grand ordonna sechement au  plus petit d'aller au sous sol chercher de quoi nettoyer.
 Celui-ci fila sans broncher et resté seul avec moi, il me dit sans hésiter, tu branles mieux que ma copine, faudra que tu reviennes le mercredi après midi, je vais te donner des leçons, il me regardais dans les yeux et conclus, je sais que tu as aimer ça et moi j'ai adoré, alors tu fait pas d'histoire....
Le petit frère revint avec ce qu'il fallait pour nettoyer, il se mis a l'ouvrage et moi je restais la sans rien dire....
Nous repartîmes un peu penaud et mon copain me dis, tu sais mon frère, il fait le malin mais il est gentil en fait, ...nous nous séparâmes un peu après, encore tout chose de l'aventure que nous avions vécus...
De retour à la maison, après avoir plus ou moins décris mon après midi à ma mère sans lui raconter l'essentiel bien sur, je m'assis devant la table de la cuisine, feuilletant négligemment un programme de télé...ma mère préparais le repas face au plan de travail de la cuisine, et je lui matais le cul en détail...bien moulée comme le voulait mon beau-père, une jupe de tailleur à la coupe droite bien serrée, au dessus du genoux, dans un tissus légèrement satinée lui comprimais la croupe et dessinais pour qui savait être attentif, le petit triangle du string et l'empreinte des jarretelles qui descendait le longs des cuisses. Ses bas couture bien tendus et le talons renforcé finissais de confirmer aux amateurs qu'elle était en porte jarretelles, des escarpins à talons aiguilles la rendais vraiment bandante et son chemisier blanc un peut transparent ondulait sur sa grosse poitrine bien maintenus par un soutien gorge de dentelle noir qui mettais en avant par sa forme de corbeilles pigeonnante la grosse paire de seins.
Mon Beau-père rentra alors et sans même enlever son manteau, après un bonsoir à la cantonade, il l'attrapa fougueusement par les hanches, lui pelota le cul sérieusement, passa sur l'empreinte du string, tripota les jarretelles, comme pour vérifier leurs présences, lui retravailla le cul tout en lui roulant une grosse pelle baveuse, c'était leurs habitudes, il n'entendait pas en changer, il se plaqua derrière elle, imbriqué contre son cul,comme pour la prendre contre le plan de travail et lui faisait les seins de ses deux grosses mains en lui parlant à l'oreille..il se retourna vers moi, pour prendre quelque nouvelles et sa grosse érection se devinait sous son pantalon, il en était fier, s'exhibait, elle lui faisait alors quelques remontrance de façade, trouvant qu'il exagérais et il disais alors....mais enfin, il sait ce que c'est quand même..c'est un garçons non...? moi a son age....et il revenait se frotter contre la croupe, manière de bien conserver son érection..il me surpris ce soir la alors que je les matais bien vicieusement et il vit nettement mon regard posé bien fixement sur sa grosse bite...ma mère toujours de dos ne s'aperçut de rien...mais lui, depuis ce soir là, me regarda différemment et je fut gêner de son regard...







Par BERNARD - Publié dans : Gérard, mon beau-pére...
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Mardi 3 novembre 2 03 /11 /Nov 23:32
      


Je corsetais souvent Léa et elle savait alors que ce que cela voulait dire......ainsi préparée, un serre taille de cuir équipé de 10 jarretelles tendait ses bas couture à la perfection...son string fendu laissait sa chatte anale toujours accessible à ma grosse bite...sa croupe rebondie mise en valeur par la tenue était excitante à souhait et je manquais pas de lui tripoter le cul chaque fois qu'elle était à porter de mains...Je lui faisais porter au dessus d'une jupe moulante qui montrait juste ses mollets un autre corset victorien qui lui faisait gonfler et ressortir sa petite poitrine naissante...Elle mettais aussi ses piercings et enfilait d'elle même un de ses petits colliers de chienne a gros anneaux sur le devant qui marquait plus encore sa soumission et son appartenance au mâle....Ses talons aiguilles était si vertigineux qu'il lui était impossible de ne pas être bandante pour tout fétichiste qui pouvait l'apercevoir...     C'est dans un état d'excitation sans pareil que je la prenais alors en main afin de parfaire son dressage à la bite...



Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Dimanche 11 octobre 7 11 /10 /Oct 23:00

Bernard avait fait de Léa une véritable petite chienne à bite si parfaite que quiconque,mâle ou femelle la voyait, en avait aussitôt envie..Elle savait allumer en vraie salope et si Bernard lui en donnait l'ordre, elle était la parfaite petite pute soumise..
       

Comment faire pour résister à ce petit cul, tout les mâle, hétéro ou non, voulait lui mettre dans l'anus leur grosse tige gonflée..





Les coup de bite la faisait jouir comme une folle et après chaque pétée au cul, elle n'avait de cesse de s'en prendre une autre. Seul Bernard y mettait bon ordre et savait quand et pourquoi elle devait etre montée et par qui. Quand à lui, sa grosse bite de vicieux disposait a tout instant des trous de la petite pute.
 
Léa devait s'attendre à être prise à tout instant et son anus était une véritable petite chatte annale...

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Samedi 26 septembre 6 26 /09 /Sep 12:48

Léa avait maintenant acceptée véritablement son statut de petite tapette dressée à la bite. Bernard était son mâle et son maître...il se comportait envers elle en propriétaire et ses ordres devaient être exécutés sans attendre, quel que soit la situation. Si Bernard exigeait une chose, elle se devait d'obéir, d'une simple tâche de la vie quotidienne à la soumission sexuelle la plus absolue, elle s'exécutait sans attendre et avec entrain...Le plaisir qu'elle y prenait était immense et en retour Bernard savait la faire jouir comme jamais elle n'eut pensée que cela était possible...il la traitait comme elle aimait être traitée et il savait instinctivement, chaque fois, ce qu'elle avait envie d'entendre...
Bernard ne travaillait plus, car bien qu'encore assez  jeune, il avait profité adroitement d'une offre de départ anticipé proposé par la grand groupe international pour lequel il travaillait. Une trés confortable indemnité lui permettait d'attendre sans difficulté financière une retraite anticipé qui serait ensuite plus que confortable. Sa vie n'était qu'une suite de soirées plus ou moins orgiaques parmi des amis au statut sensiblement identique à savoir, une bourgeoisie désoeuvrée et vicieuse qui entendait satisfaire ses perversités chaque fois que cela était possible.
Dans ce petit groupe de libertin qui se laissait aller à ses penchants les plus inavouables, Bernard s'affichait avec Léa ou avec d'autres maîtresses dans la plus parfaite quiétude...Il tirait une grande fierté du dressage de sa petite salope et la partageait avec hommes ou femmes de ses amis comme bon lui semblait. Léa avait finit par prendre un grand plaisir à ses savants échanges et être la poupée sexuelle du vieux mâle l'excitait au plus haut point. Lorsque Bernard la sortait en pute, ce pouvait être juste pour le plaisir de l'exhiber en public aux yeux de tous, ce pouvait être pour l'emmener se faire queuter par un de ses amis qui voulait essayer Léa. Bernard pouvait aussi la prêter à un couple échangiste curieux pour une petite partie carré ou la faire monter par quelques un de ses amis après une partie de carte, cela finissait alors en mini gang-bang ou Léa était la reine de la soirée...
Parfois, sans que rien ne soit prévu, il arrivait à Bernard de faire sucer à Léa dans des circonstances toujours assez insolite, un inconnu qui avait montré, par exemple par une grosse érection bien voyante, qu'il appréciait fort ce genre de petite lopette. Bernard, qui remarquait vite ce genre de vicelard, si le type l'inspirait, exigeait de Léa qu'elle l'allume encore plus, et allait directement voir le type pour lui proposer de goûter à sa salope...

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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