Samedi 11 juillet 6 11 /07 /Juil 09:30

Dans l'après-midi, je la préparais pour sortir faire quelques courses....un chemisier blanc léger et transparent laissait apercevoir un soutien gorge balconnet un peu juste qui comprimait sa poitrine et la jetais en avant dans un décolleté vertigineux. Les matteurs pourrait s'en donner à coeur joie...une jupe de tailleur lui moulait le cul et ses jarretelles laissait une empreintes que l'on devinait très bien, ses bas noir à couture et talons renforcés. Ses escarpins à talons haut s'ajoutait à un maquillage assez prononcé, la bouche bien rouge, cela lui donnait un petit air de pute de luxe qui m'excitait assez....
La fessée de ce matin lui avait laissée le cul tout rougie et très sensible, le fait de juste lui peloter les fesses la faisait tressaillir, j'aimais la crainte que je pouvais lui inspirer, je lui dit de nouveau " tait toi et obéis....tout ira bien..."
Nous poussâmes la porte d'un magasins spécialisé pour fétichiste, sm et autres joyeusetés. Odette, la patronne, vieille connaissance de mes nuits parisiennes, nous accueilli tout sourire, "ah  Bernard...une nouvelle élève j'imagine ? Cela faisait longtemps que nous nous étions vus..."
après quelques petits bavardages, elle me dit : " Bon, tout est à reprendre j'imagine..."
"Oui répondis-je, nous partons de zéro....Sylvie à eu sa première correction ce matin...
Odette la poussa par l'épaule dans un petit salon de velours rouge qui faisait office de grande cabine d'essayage, un petit canapé, une chaise et une table basse était les seuls meubles de la petites pièce. Une ouverture fermée par un rideau de grosse toile de lin écru faisait face à un grand miroir.
Hé bien, dit Odette, on commence par du basic, le sur mesure on verra plus tard si elle le mérite.....
"Déshabille toi" lança t'elle à Sylvie en la regardant dans les yeux...Sylvie se souvenant de sa fessée du matin baissa les yeux et s'executa lentement. J'étais certain que cela l'exitait terriblement, sa nature soumise, docile et vicieuse pouvait s'épannouir dans cette perversité acceptée dont elle était réellement demandeuse.
Odette regarda les traces de la fessée du matin et me dis: "Tu n'y a pas été de main morte..."
Elle  sortie et revint avec un large écrin, l'ouvris et en sortie en tour de cou en cuir qui ressemblait assez un collier de chien clouté mais en plus mince. Des petits pendentifs brinquebalait, fixés à de minuscule anneaux et figurais de petites bites en érection. Odette lui fixa le collier autour du cour et le vérouilla par un petit cadenas, elle me remis la clef sans un mots. Après avoir verrifier sa pointure de chaussure, elle disparu vers le magasin et revint avec une paire de chaussure noir, les talons était tout simplement vertigineux, des talons métallique chromés d'environ 12 cm, il semblait peu problable que Sylvie puisse marcher avec mais avant même la moindre objection, Odette me dit "Il lui sont absolument nécessaire à sa nouvelle condition, il lui faudra les porter chaque jour un peu plus, et d'ici un mois elle s'en accomodera sans jamais s'y habituer..."
D'une petite tape seche, elle lui fit lever chaque jambe et lui enfilla les escarpins..Sylvie était complétement instable et tres incertaine....d'une claque au cul sur les rougeurs du matin, elle lui intima l'ordre de marcher en rond dans la pièce, en trouvant maladroitement son équilibre, Sylvie obtempéra et vétue de son collier de chienne, ses bas et ses escarpin, fit quelques tours de piste...."Assez" lui jeta Odette....Elle disparue de nouveau et apporta cette fois ci une brassée de corset..."Choisis me dit elle, ceux ci sont parfais pour débuter..."
Celui qui m'attira de suite était un mélange de matiére, le cuir noir formait l'armature et des empiècements de vinyl brillant noir et rouge assemblés par un laçage savant surmontait de petits volants de latex brillant. 8 grosses jarretelles permettait d'arimer les fins bas de nylon sans que jamais il se se décroches quelque soit les outrages reçus par la soumise.
Odette se mit derrière Sylvie et la corsetta sévèrement, cet étrange dessous n'avait d'autre but que de lui comprimer la taille et de la soumettre davantage. Ensuite elle lui mis un soutien gorge avec des demis balconets qui laissait les pointes de seins toujours accessibles. Odette me dit qu'elle lui ferait livrer toute une panoplie de nouvelles lingeries, tout les soutiens gorges, quelque soit les matières, les formes et les couleurs devront laisser les pointes de seins libres. Les tétons étant des éléments majeurs du dressage, ils se devaient d'être toujours accessibles, pour une caresse, une punition, une exibition ou tout autre besoin du maître. Odette carressait les pointes de Syvie et les pris en bouche, elle les aspira un peu et me dit, "tu me l'ammenera un soir chez moi que je la baise." Sylvie écoutait attentive, toujours soucieuse de son équilibre sur ses talons vertigineux. Elle reçut ensuite un string de perle qu'Odette lui inséra dans la chatte et entre les fesses. "Bon" dit Odette, je vais lui prendre un rendez vous pour l'épilation et les piercings. Elle ammena un imperméable de cuir tres fin, le passa sur les épaules de Sylvie, nous souhaita une bonne après-midi et roula une grosse pelle à Sylvie......à la semaine prochaine mes chéries....

Par BERNARD - Publié dans : Sylvie, slave sexe
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Vendredi 10 juillet 5 10 /07 /Juil 01:55
J'avais ma clés dans le serrure quand Marc sortie à son tour de chez lui, je n'avais encore pas vraiment fait attention à lui, c'était un blondinet d'une vingtaine d'année, plutôt mince et petit, peu bavard voir assez timide, le regard fuyant, avec quelque chose de particulier que je ne saisissait pas...un détail qui m'échappait...mais quoi...son look genre "gothique" ne me disait rien qui vaille, sa voix plutôt aïgue ne le rendait pas plus viril que ça et ses piercings lui donnait un genre pas très recommandable.
J'attendis Sylvie bien décidé à voir ce qu'il y avait à en tirer. A l'heure dite, elle sonna à ma porte exactement à l'heure.
J'ouvris la porte, je la laissai passer.....et à peine entrée, je la poussai dans une grande piéce qui donnait sur la rue, elle m'avait fais bander direct, et mon gros gourdin tambourinnait contre ma cuisse..." ne dis rien...ne parle pas" lui ordonnais-je fermement...j'ouvris le tiroir d'une petite commode et j'en retirais deux paires de bracelet de cuir avec de gros mousqueton et un baillon boule. Je posais les accessoires devant elle et lui dit : - " tu peux partir si tu le souhaite, si tu reste je te ferai obéir quoi qu'il arrive et tu seras à moi...."
Sans hésiter, elle s'emparat des solides bracelets de cuir et les fixat à ses poignets et à ses chevilles....Je la mis face au mur et lui enfoncai la boule du baillon, je réglais celui-ci bien serré. Une fois baillonnée je la fis se déshabiller, elle conserva ses bas résilles et ses escarpins rouge de salope. Je fixai alors les mousquetons des bracelets sur des anneaux scellés dans un des murs et prévus à cet effet.
Je l'entrepris par le cul en lui caressant les fesses et en lui malaxant la croupe, des petits grognements s'échapèrent, j'ecartais suffisement ses jambes, un peu comme pour une fouille au corp de policer, et les première claques lui rougirent le cul...."Tu es punie lui dis-je car hier soir, je t'avais dit en sortant de ta douche de te faire les seins, tu a, en plus, fais ton clito, une grosse branlette de chienne..., tu aimes jouir..., tu m'a désobéis, il te faut apprendre à obéir aux ordres, du sera fessée et punie jusqu'a ce que ton dressage soit parfais! "



Je lui fessa le cul jusqu'a ce qu'il devienne écarlate, elle se tortillait à chaque coup pour tenter de se soustraire à la correction, ce qui ne faisait que redoubler mon ardeur à la frapper....Je m'arreta un instant et retira cette fois du tiroir de la comode une petite paire de pince à seins et une cagoule à pipe. Face au mur, elle ne pouvait tourner la tête, l'inquiétude la faisait grogner, gémir et couinner à travers son baillon boule. Je lui mis la cagoule de cuir rouge avec des lacets qui permettait de l'ajuster par derrière. La cagoule la rendait aveugle et laissait la bouche accessible. Elle avait peur et cela m'exitait à fond. Son cul rougit par la violente fessée était ultra sensible, je l'efleurai à peine pour la faire tressaillir, je la pelotait partout et mon index lui pénetra la chatte, son exitation était tel qu'elle dégoulinait de mouille, je détacha l'un des mousquetons pour lui faire faire volte face, cette fois dos au mur, je lui fis les tétons en les roulant doucement sur eux mêmes et tout de suite bandés, je leur fixait les petites pinces à seins...ma mains c'était plaquée sur sa motte et son clito était gonflé de désir, je la débaillonna et lui ordonnai de se taire....mon doigt sortie de sa chatte et vint lui tater l'intérieur de la bouche, je lui mettais de petites claques sur le visage, plus humiliante que douloureuse, aveuglée, la bouche doigtée, les pinces à seins sur les tétons, elle était trempées et heureuse.
Je détachai les bracelets des anneaux du murs, la mis à genou, et je me me vidait les couilles en me branlant dans sa bouche comme dans un jouet pour célibataire vendu en sexshop. Je lui balancait mon foutre sur le visage, sans un mots, elle lècha chaque goutte et m'astiqua la queue.
Maintenant, il faudra obéir.......
Par BERNARD - Publié dans : Sylvie, slave sexe
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Dimanche 5 juillet 7 05 /07 /Juil 00:06
Je sonnait chez ma voisine, elle m'ouvrit la porte surprise et avant qu'elle n'ouvre la bouche je lui demandais si Marc était la, elle hocha la tête négativement, "il rentre ce soir"... me répondit elle.
Je me jettai alors sur elle et lui pris la bouche, mon pied referma la porte, mes mains agrippés sur son cul, je lui malaxait les fesses comme un salaud, elle réagit aussitôt en se tortillant du cul et en me suçant la langue...Je déballais ses gros seins pour faire rouler les tétons, sa grosse paire était sensible et les pointes déjà toutes gonflées...avec bien du mal tellement la jupe moulante était serrée, je la lui baissait et elle apparue alors en porte jarretelle rétro enveloppant bien ses hanches, une petite culotte noir diaphane avec une ouverture sur la chatte et le cul me confirmère que ses intentions était bien de me chauffer la bite pour que je la tringle...elle se jetas sur ma bite pour l'engloutir, ses ongles me griffèrent les couilles, je la tenait par les cheveux et l'enfonçait sur mon dard, elle bavait comme une chienne et me gloutonnait la bite, son envie de queue en bouche la faisait couiner comme une garce en manque...Je l'ai retournée brutalement et je me suis enfoncé d'un coup dans sa moule toute mouillée, tenue fermement par les hanches, avec de grandes claques qui lui rougissait le cul, elle gueulait comme une chienne, culbutée debout dans l'entrée, elle en prenait plein la chatte....et je sentais qu'elle adorait mes manières de cosaque. Ramonée à fond, elle se branlait le clito pendant la baise et je la sentis qui allait partir....Je l'ai fait venir en lui écartant l'anus de mes deux pouces pour la doigter profondément, et quand l'orgasme arriva, je me déboîtais pour lui balancer la purée sur le visage et elle, bouche ouverte, tentait d'attraper les giclées de foutre. Je m'essuyais la queue dans sa jupe et lui mis une grosse claque retentissante sur la croupe....t'aime la bite ma salope, hein...et bien, tu vas t'en prendre... t'inquiète pas....elle se léchait les doigts et me dit " j'ai adorée ta queue mon salaud...."  et elle partie se jetter sous la douche....
Rentré chez moi, je décidais de voir prochainement si elle était d'un tempérament à se soumettre, elle m'avait semblée céder bien rapidement et je ne distinguais pas bien, qui, de la chaude du cul ou de la soumise, j'avais baisé ce soir. Je jettai un coup d'oeil par ma petite fenêtre de salle de bain, elle était sortie de sa douche et je décidais de lui téléphoner.
Lorsque son mobile sonna, avant même qu'elle ne parle, je lui dis d'un ton ferme, " tais toi, caresse tes seins...demain, bas résille et talons aiguilles rouge....."  Je racrochais après un silence ou j'entendais sa respiration....Je continuais à matter et je la vis se faire les seins, caresse les pointes, les triturer, une main descendis sur sa chatte et elle se fit le clito jusqu'à l'orgasme, debout,, les yeux fermés.
Le lendemain matin, j'attendis au bar devant la porte de l'immeuble, qu'elle sorte. Mr Gilbert rentra les poubelles et elle sortie du porche, il lui matta le cul comme un gros vicelard des qu'elle passa devant lui. Elle portait un petit ensemble de cuir noir, elle avait mis des bas résilles et de très haut talons aiguille rouge, elle tortillait bien son cul comme une vraie salope en manque de bite, je sortis du bar, cela la surpris un peu et je lui dis en passant près d'elle sans m'arrêter, " dans une heure chez moi...!  "
En remontant je croisais le gardien qui me dit carrément " elle est bonne hein ? je suis sur que vous l'avez déjà passée à la casserole...pas vrai..." Il me regardait bizarrement...avec ses petits yeux de fouine, " j'en était sur, se persuada t'il..."
Je lui dit alors brutalement de la fermer.... il recula et s'apperçu qu'il avait vu juste...il rentra dans sa loge en ricannant....
Par BERNARD - Publié dans : Sylvie, slave sexe
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Vendredi 3 juillet 5 03 /07 /Juil 20:06









Je frappais à peine, elle ouvrit la porte souriante et décontractée....
- oui...?
- Bonjour, je suis votre voisin de pallier, le concierge Mr Gilbert m'a appris votre arrivée, j'étais en week-end...
  je me présente, Bernard GIRAUD...
- Sylvie Ducras, je vous en prie, entrez donc une minute, je faisais un pause...je vous offre un verre?
- Si je ne vous dérange pas c'est avec plaisir...
- Non, non, je venais juste de finir les derniers cartons, le reste attendra bien..... vous connaissez l'appartement ?
- Oui je suis dans l'immeuble depuis 16 ans.....et..
- Dites donc, votre gardien, m'interompit elle, il ne serait pas un peu obsedé sexuel ?

Sa façons direct d'en venir au fait et de dire clairement les choses m'impressionna plus que la remarque en elle même.....
- Pourquoi lui dis-je, que c'est il passé ?
- Il me déshabille du regard, il tire la langue, il bave.....il n'a jamais vus une femme ou quoi ?
- Il est un peu spécial effectivement, mais il n'est pas méchant....il vis seul, ne sort presque pas et la vue d'une jolie 
  femme sexy comme vous l'aura un peu énervé j'imagine....Il n'y a que des personnes agées dans cette immeuble, c'est tres calme, vous verrez....
Elle me dit qu'elle l'avait un peu vus comme ça et que, à l'hopitale, ( elle était infirmière comme je l'appris par la suite)  
ils avaient un peu le même genre de personnage...j'en fais mon affaire dit-elle, il me mangera dans la mains....
"Moi aussi, vous me mangerez dans la main" lui balançais je
Elle me regarda surprise et interloquée, ses yeux me fouillait le regard, mon attaque l'avait déstabilisée mais son coté franc et direct,  la fit répondre, troublée et rougissante, pourquoi pas, j'aime les hommes dominateurs et pour me provoquer, elle me dit " j'aime le cuir et les fessées...et vous ? "



Je la pris par les épaules et je lui dévorai sa bouche. Elle céda sans le moindre combat. Après un instant, je me tint à distance comme si il ne c'était absolument rien passé. Elle ne broncha pas et resta distante a son tour.

Après deux verres et une bonne heure de bavardage, je pris congé et en sortant je croisais son fils, il me bredouilla un bonjour géné et partis dans sa chambre. Il s'appelle Marc me dit Sylvie, il a 20 ans. On se promit de se revoir pour pendre la crémaillère.
Je rentrais chez moi, me repassant le film de la soirée....c'était une grosse chaude, j'en était certain...son allure, son maquillage, ses ongles longs et vernis, son coté direct...Je décidais d'en avoir le coeur net des notre prochaine rencontre...
Pas plus tard que le lendemain midi en descendant de chez moi, je la croisais qui remontais, l'ascenceur est hors service me dit elle...Je pensais aux manigances de Mr Gilbert...toujours à l'affût. Elle portait un tailleur tres stricte gris foncé, très serrée au dessous des genoux qui entravait sa marche et faisait rouler son cul de salope, sa croupe était moulée et laissait entrevoir l'empreinte de ses jarretelles, ses bas couture et ses talons vertigineux m'on foutu la grosse trique directe et voyant combien je la mattais et l'effet produit , elle me lança, " n'oubliez pas ...ce soir crémaillère...."  Elle disparue le cul tendu en arrière....

Gilbert ricanna derrière moi...." Une belle salope hein...?  j'l'avais dit....! "
On entendit rouspéter dans les étages, il partit dans sa loge et remis l'ascenseur en route.
Je remontais aussitôt....


Par BERNARD - Publié dans : Sylvie, slave sexe
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Vendredi 3 juillet 5 03 /07 /Juil 10:13
Mr Gilbert était un petit homme trapu, râblé, presque chauve, poilu comme un singe, les poils de son torse dépassait par le haut de sa chemise. Des mains épaisses et de gros doigts terminait des bras assez court. Ses petits yeux vifs roulaient dans tout les sens, toujours à la recherche d'on ne sais quoi. Son passée d'ancien gendarmes avec toutes une carrière "dans les colonies" comme il aimait à le dire avec nostalgie lui avait permis de prendre cette place de concierge.Sa candidature fût chaudement recommandé par une veuve de général qui habitait l'immeuble et qui avait en commun avec lui d'avoir partagée quelques villes de garnison du bout du monde. Assez peut apprécié, son coté inquisiteur et son absence de bonnes manières ne plaisait guerre mais d'une autre façons, les propriétaire se sentaient en sécurité et sa rigueur toute militaire devant les visiteurs et autres démarcheurs de toutes sortes était reconnue comme étant nécessaire pour faire face à l'insécurité que leur montrait la télévision. Il faisait assez bien la part des choses et se soumettait comme pendant toute sa vie militaire à l'ordre établi. Finalement pour lui, les gradés habitaient l'immeuble, il était de garde à la porte et chacun se tenait à sa place. Mon statut était à ses yeux un peu différent. J'étais propriétaire, certes, je faisais partie de ceux qui commande mais sans pour autant qu'il m'assimile à cette bourgeoisie vieillissante qui habitait l'immeuble. Un peu comme la position d'un médecin dans l'armée, un militaire oui mais différent.
Les allées et venues nocturnes de mes maîtresses et autres prostituées était pour lui la seule carte de visite valable. Tant que j'aurai de ces visites, mon aura ne baissera pas et à ses yeux, j'étais digne d'être servis par lui.
Son goût pour les choses du sexe était évident et le vice transpirait par tout les pores de sa peau. Il ressemblait en quelque sorte a ses belzébuth de la littérature érotique que l'on voyait sur les gravures des livres interdits. Un diable poilu avec un demi corps humain et deux jambes de bouc, noueuse, poilus, avec des sabots et un sexe énorme et turgescent, un vieux satyre qui coure après les jeunes filles.
M'ayant annoncé l'arrivé de ma nouvelle voisine de palier, il retourna dans sa loge avec l'air fataliste de celui qui sait parfaitement ce qui va arriver.
Je montais chez moi curieux de voir la nouvelle arrivante. La fenêtre d'un petit dressing de ma salle de bains permettait par un vitrage spécial de voir sans être vu et surplombait légèrement deux  fenêtres de son appartement. Je m'y postais et attendis à peine une minute pour la voir finir de déballer quelques cartons dans le salon. Une belle femme d'une quarantaine d'année, blonde un peu rousse, assez fine avec de gros seins et une belle bouche. Je compris les insinuations de Mr Gilbert, car même sa tenue de déménagement évoquait la femme qu'elle pouvait être dans l'intimité. Un petit pantalon corsaire au dessus  des mollets lui comprimait les fesses et la moulait efficacement. Un petit haut décolleté présentait sa poitrine enserré dans un wonderbras comme deux gros fruits dans une petite corbeille. Je lui mis d'entrée de jeux une trés bonne note pour son allure et sa tenue. Après trois jour dans les cartons on ne pouvait pas demander beaucoup plus.
Je décidais brusquement d'aller lui faire une petite visite de bon voisinage.....
Par BERNARD - Publié dans : Sylvie, slave sexe
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