Mercredi 22 juillet 3 22 /07 /Juil 09:06

Nous étions sur le lit, et je lui déballais mon gros sexe épilé déjà très gonflé par l'excitation de la situation et les caresses maladroites de Marc.
 Bon, si tu as une petite trousse de maquillage, tu vas d'abords te faire une beauté...il s'assit devant une coiffeuse sur la quel était rangé des dizaines de pots, de boites et autres tubes....et il entrepris avec une certaine expérience, de se maquiller, je réglais la cam sur un angle plus large, et revint m'étendre sur le dos, la bite toujours aussi triomphante, Marc se mit en tailleur près de moi et repris ma queue dans ses mains.....
Il la branlait et la découvrait les yeux extasiés comme devant un paysage magnifique...Il la voyait frémir et se gonfler sous l'action de ses doigts et sentais inconsciemment le pouvoir qu'il pouvait détenir en donnant ou en ne donnant pas de plaisir à cette colonne vibrante de désir. Il sut aussi par instinct, qu'il serait dépendant du gros pieux de chair rigide qui le remplirait comme une femme et qui lui apporterait la jouissance. Il ne pensait qu'au sexe, il en avait envie depuis si longtemps que notre rencontre était pour lui un signe du destin. Son visage aux traits fins et gracieux était à peine maquillé, il me sembla qu'il faisait des séance d'UVA car son teint de peau plutôt clair était un peu halé. Seules, ses lèvres étaient brillante et d'un rouge en harmonie avec son déshabillée, une petite touche discrète d'un parfum fleuri invitait à le peloter de partout.
C'était une véritable femelle et le fait de savoir qu'il appartiendrait à un homme sonnait pour lui comme une véritable libération. Son coté androgyne semblait s'accentuer au fur et à mesure qu'il prenait conscience de sa vrai nature et qu'il acceptais enfin de libérer sa sexualité.
" Tu as déjà sucer de la bite...? "  lui dis-je d'un ton direct en le regardant dans les yeux...je le brusquait sciemment pour qu'il comprenne que notre relation serait basée sur du sexe, et je lui lançait:
- " Je veux te tringler du cul comme une véritable garce, tu vas être ma chienne à bite, je suis pervers, vicieux et cochon...je vais te dresser à soulager un mâle..." il me regardait en baissant les yeux...
- " Alors, tu as pomper de la queue ou pas...? "
- " Non, jamais, me dit il doucement de sa voix fluette, mais Gérard me fais sucer des bananes ou des courgettes devant la cam..." 
- " C'est tout, tu ne t'ai jamais travaillé le cul...?   tu te doigte...?  jamais caressé un homme... ? tu aimes avoir la bouche pleine...?
Je lui posais trente questions en rafale, il avait à peine le temps de réfléchir et par ces réponses, je m'aperçus qu'il s'excitait surtout à se travestir et à s'exhiber à Gérard qui lui faisait faire à distance quelques cochonneries très banal..
Ces doigts fin m'enserrait la bite et il chatouillait mon gros gland par le plat de son pouce...Il semblait ne plus pouvoir la lâcher...." Tu vas me faire voir ce que tu à appris sur tes bananes ma salope..."mon bras s'enroula sur son cou et ma main le pris par la nuque, je le forçait à peine à s'approcher de mon dard, la bouche ouverte, il gobat mon gros gland et ses petites lèvres délicieuses se refermèrent sur mon gourdin. Je le calait de coté par rapport à la cam pour que le vicelard nous matte sans problème...." Gérard te regarde en branlant sa bite, ma petite chienne....ça t 'exite hein..."
il absorbait mon manche comme s'il avait sucer depuis toujours, sa bouche se faisait toute ronde et épousait mon dard comme une gaine étroite, chaude et baveuse. Il grognait doucement et se régalait de la grosse queue qu'il tétait par grosses succions comme un jeune veau avide et gourmand.., des petits gloussements de plaisir s'échappaient, ses petites mains s'activait sur la hampe turgescente, dans une savante branlette, il prenait aussi les couilles délicatement, pour les faire jouer dans sa main et sentir le paquet se gonfler et durcir avant de faire gicler le foutre épais et chaud du mâle en rut.
Je l'avait agenouillé devant moi,mon ventre imposant le surplombait, et dans la positon du soumis à genou devant le mâle dominant, mon gros sexe triomphant lui remplissait sa bouche vicieuse de lopette. Marc accéléra la cadence et je sus qu'il voulait mon jus de couille, il m'aspira la queue une dernière fois, les joues creusées de la petite pompeuse se détendirent et j'explosai dans sa bouche en grosses giclées de sperme, nerveuses et abondantes, lui remplissant la gueule à le faire s'étrangler, il se releva d'un coup et essuya le foutre qui ourlait ses lèvres, en reprenant sa respiration, il essuya ses doigts graissés dans sa bouche.....



- " tu suces aussi bien qu'une femme, tu est très doué pour la sucette...il faudra un peu te perfectionner, apprendre quelques variantes et moins te précipiter... je t'y aiderai.."
Il me sourit et repris ma bite ramollie en bouche pour lui refaire une beauté.
- " Hummm, humm elle est trop bonne et vraiment meilleur qu'une banane....Je t'adore Bernard ..."
- " Tu adores la bite oui...tu est une véritable petite chienne..."
Je lui mis une main dans son shorty, son petit sexe était resté tout mou et en remontant ma main de lui glissa un doigt entre les fesses je vis qu'il était trempé du cul, mouillé comme comme une chienne en chaleur, moite et chaud, prêt a prendre un homme entre ses petites fesses de tapette.

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Mardi 21 juillet 2 21 /07 /Juil 19:02

J'avais gardé le double de la clé de Sylvie qui venait parfois chercher quelques affaires. Je pris un petit sac de voyage et refermais doucement ma porte de pallier. J'hésitais une seconde quand à la tactique à suivre, puis je me décidais.
J'introduis la clé dans la serrure sans faire de bruit et, simultanément je sonnais fermement en tournant le clé.
La porte s'ouvrit, je la claquait fort derrière moi et en trois enjambées j'étais déjà sur le seuil de la chambre, mon sac de voyage à la main...
Marc était livide et décomposé.....encore surpris par la rapidité de mon arrivé..il tentait de rabattre sur lui son peignoir transparent, décontenancé par la situation...il était hébété et sans voix.
Il bredouilla des mots inintelligibles...et je lui coupai la parole....
Je suis désolé dis-je, " Je venais chercher des chaussures appartenant à ta belle mère et je pensais vraiment que tu étais absent...tu n'as pas de cours ?..."
Mortifié, il bégaya une absence d'un professeur....
Je m'approchai et lui dis doucement... ne t'inquiète pas mon petit Marc, je suis très discret et en ce qui me concerne, je te préfère largement comme ça. Je le pris dans mes bras et l'embrassais en lui entrant ma langue dans la bouche. Il était sous le choc, inerte, je lui passais une main sur ses petites fesses et le pelotais tendrement à travers son mini shorty en soie noire. Détends toi, lui dis je doucement, je suis bisexuel depuis toujours et j'adore les filles de ton genre.
Il pleurait sur mon épaule, et de gros sanglots s'échappaient nerveusement. Je n'en continuais pas moins à le caresser et je lui soufflais à l'oreille..."Tu vas être ma petite femme maintenant, tu as besoin d'un homme..." je le pelotai toujours de partout gentiment en l'embrassant...Il se calma et je l'envoyai prendre une douche...il fila sans demander son reste, et pendant que j'entendais le jet de la douche dans la salle de bain, je m'assis devant l'ordinateur ou le gros homme vicieux n'avait rien perdu de toute la scène, mais sans avoir le son....
Bonsoir, je m'appelle Bernard et toi ?
Le type dit s'appeler Gérard, il me raconta leur relation virtuel depuis 2 ans déjà, pas très régulière car dépendant de leurs emplois du temps respectifs, le môme s'habillait avec les fringues et la lingeries de sa mère, ils étaient aussi vicieux l'un que l'autre et Gérard se branlait devant l'écran....Tu peux laisser ta cam branchée et tu lui dira les mêmes trucs cochons que d'habitude ...ok ? ...il approuva trop heureux du dénouement...
Marc sortis de la salle de bains, ragaillardi par la douche et sans doute aussi par la nouvelle tournure qu'avait pris les choses. J'ai discuté un peu avec ton ami Gérard, pour l'instant il reste avec nous !
Je le pris par la taille et l'embrassais...habille toi, s'il te plaît..Il voulu aller dans sa chambre prendre ses vêtements de garçons...
Non, non, non....à partir de maintenant ton dressing, c'est vraiment celui là...il me regarda avec un grand sourire, 
- " C'est vrai Bernard....je pourrai encore..."
 non, le coupais je... ce sera indispensable.. Marc me sauta au cou et je lui dévorait la bouche. Il se recula et me dit un peu inquiet... "Je suis encore puceau, je n'ai jamais eu de relation sexuelle avec un homme ou une fille..."
Allez, habille-toi, ...il enfila son shorty et son déshabillée transparent, je le repris dans mes bras, mes deux mains lui tenant fermement ses petites fesse, je le malaxais doucement et lui dit à l'oreille:
 - "Dorénavant, tu vas être à moi, je suis très vicieux et sexuellement très actif,.... tout en prononçant ces mots, mes deux mains écartaient bien ses fesses pour poser mes doigts autour de son petit anus, à travers la soie du shorty, je sentis sa rondelle se contracter...il se lova contre moi..."
Ce que je veux, dis je d'une voix plus ferme, c'est que tu soit aussi salope que tu l'est avec ton amis Gérard...Il ne répondit pas, mais il se frotta à moi et sa main vint se poser sur la grosse bosse qui déformait mon jean's....Je lui susurrait à l'oreille,
Tu vas apprendre à aimer ma grosse queue et tu ne pourras bientôt plus t'en passer.... 

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Mardi 21 juillet 2 21 /07 /Juil 17:10

Depuis la veille, je surveillais Marc le plus possible par ma petite fenêtre de salle de bains qui était équipée d'une glace sans tain. Cela m'était plus facile car depuis le départ de sa mère il avait récupéré la chambre de celle-ci sur laquelle j'avais une vue plongeante. Je le vis se déshabiller et quitter son petit pantalon moulant avec beaucoup de difficulté tellement le pantalon épousait son corps. Il se tortillait sur place en se déhanchant de façons très lascive et je fut surpris par la féminité qui émanait du jeune homme. Son petit cul m'apparus, à peine recouvert d'un petit string de femme en dentelle noir. Il était petit et mince et ce blondinet était réellement une petite tapette...Il parti prendre sa douche et revint dans la chambre peu après entouré d'une grande serviette de bains. Il la jetât sur le lit et ouvrit les portes coulissantes du dressing ou tout les vêtements de sa mère y étaient encore rangés. Il en sortie un peignoir rouge transparent, bordé de dentelles noires qu'il enfila sans hésiter. Il sorti d'un tiroir et passa ensuite un petit shorty de soie noire qui cacha sa toute petite queue. Je le matais déambulant chez lui dans cette tenue et je repris une grosse trique. Il alluma son ordinateur et je ne vis plus que ses petites épaules délicieuse et ses bras minces dépourvus de la moindre musculature. Son corps imberbe était fin et frêle. J'étais stupéfait de ne pas l'avoir repéré des le premier jour, mais je l'avais finalement très peu vu et à peine regardé.
Je m'était concentré sur Sylvie, et rien d'autre ne comptais, j'avais vu dans l'instant même ou je la voyais pour la première fois, la soumise, qui en elle, ne demandais qu'a éclore pour s'épanouir dans la luxure et le masochisme.
 
Marc était toujours devant son écran et je le vis sortir et brancher une webcam, il était manifestement sur un site de cul et je le voyais se tortiller sur son siège et de temps en temps, se caresser les tétons. Il parlait devant un micro et je distinguais à peine un petit carré sur l'écran dans lequel une silhouette assise se détachait. Je devinais que son interlocuteur recherchais de la chair fraîche et j'en fut à la fois excité et jaloux. La petite salope s'amusait à l'exciter et l'homme de l'écran devait aussi le chauffer à blanc. Le vieux vicieux avait sorti sa bite et se masturbait lentement...Marc lui, tantôt présentait son petit cul, se dandinait et carressait sa croupe par dessus le peignoir de nylon transparent, tantôt il s'approchait de l'écran très près et lui sortais sa petite langue rose qu'il passait sur ses lèvres d'un air plein de gourmandise...Je n'y tenais plus et je décidais d'aller le surprendre sur le champ...!

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Lundi 20 juillet 1 20 /07 /Juil 19:42

Gilbert sortait maintenant Sylvie de plus en plus longtemps, elle devenait endurante et supportait ses talons sans plus de problème, seule la marche était lente, ce qui n'était pas pour déplaire à Gilbert qui marchait légèrement en retrait pour bien lui mater le cul, il astiquait souvent son gourdin par une de ses poches de pantalon qu'il avait percée à cet effet..et bien qu'il n'en avais pas le droit, il la pelotait le plus possible des qu'il pouvait, c'était plus fort que lui.
 Sylvie n'avait aucun droit et ne pouvait pas se plaindre...se rebiffer, même devant Gilbert, elle n'en avait pas le droit...
Lui savait qu'il risquait gros mais le vice était plus fort que la crainte de la punition...et lorsque je choisissais le matin une mini-jupe pour la promenade, il me fallait lui mettre sa ceinture de chasteté cadenassée  pour qu'il ne la baise pas dans quelque impasse ou buisson de jardin public. Je lui faisait mettre un rouge à lèvres spécial anti-pipe qui indiquait tout frottement sur les lèvres, il ne pouvait donc pas non plus la mettre à la pipe. Une paire de gant-bracelets avec de petits cadenas complétait la tenue. On ne pouvait pas non plus les ôter et les gants étaient revêtus d'un produit qui laissait un marquage visible deux à trois jours. Impossible de se faire branler le manche à couilles.
Il ne lui restait que sa bite à branler dans sa poche.
Un matin, alors qu'ils n'étaient pas encore rentrés, je croisais Marc sur le palier. Il vivait seul maintenant dans l'appartement de sa mère, puisque Sylvie désormais habitait chez moi.
Faisons un peu mieux connaissance, lui dis je, tu m'offre un verre...?
Il acquiesça un peu gêné et j'eus le sentiment qu'il ne voulait pas me laisser entrer.. je forçais un peu le passage et lui dis
"je ne suis pas un sauvage tu sais.." ... je peut t'assurer que ta maman est très heureuse avec moi...Il referma la porte un peu embêté, enleva son grand manteau style gothique et me jetât  - "Ce n'est pas ma mère....c'est une des ex-femmes de mon père et lorsqu'il est parti, il m'a laissé chez elle, et elle m'a élevée..."
"Je sais ce vous en faites, et cela m'est égal.....elle m'a dit en effet que c'était son souhait et sa vrai nature.. elle est majeure hein ricanât-il...après tout cela ne me regarde pas..."
Nous nous assîmes dans le canapé et je compris alors en le voyant devant moi, ce qui me faisait bizarre et que je n'arrivais pas bien à cerner, ....ce qui modifiait son visage, c'est qu'il s'épilait les sourcils...... Il se leva pour aller chercher des verres et je m'appercu alors qu'il portait un petit pantalon vraiment trop moulant qui n'avait pas de poches arrières, son petit cul était mis en valeur et les deux petites fesses bombées étaient bien séparer par la pantalon qui lui rentrais dans la raie des fesses...un petit tee-shirt brillant le moulait, il amena un plateau, une bouteille et deux verre.
Soudain je vis clair, et j'éclatais de rire d'avoir été ainsi aveuglé...le dressage de la belle mère m'avait à tel point absorbé que je n'avais pas vu une chose à ce point évidente. C'était un petit homo, avec ou sans expérience, mais j'étais certain de son penchant pour le mâle. Je n'en fit rien voir et l'observais maintenant à la dérobée...Je finis mon verre et pris congé, je le pris par l'épaule, le frottais un peu, manière de le tester....il rougit et esquiva rapidement...
Je décidais de le surveiller de près. Je n'aurais pas de difficulté à le dresser aussi et cette perspective me banda la bite.
Sylvie qui rentrait fut corriger du cul sans attendre et je la sodomisait brutalement  à 4 pattes dans l'entrée avec des claques sur les fesses, elle couinait comme une truie et pour la faire taire je dis à Gilbert de lui bourrer la bouche. Sa bite qu'il astiquait depuis le matin était toute violette et veinée de bleu...j'ouvris la petite fenêtre sur la cour et je sus que Marc l'entendais gémir.....je déchargeais dans son cul en pensant aux petites fesses de la lopette...Gilbert, au signal lui remplie la gueule de foutre......Demain, il y aurai de quoi faire....

Par BERNARD - Publié dans : Marc la lopette
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Lundi 20 juillet 1 20 /07 /Juil 14:29

Des paquets furent livrés à la loge de Mr Gilbert. Il nous les monta aussitôt et les vêtements commandés par Odette se retrouvères sur le lit. La sonnette retentit et Gilbert ouvrit à Odette qui était informée de l'arrivée de la commande. Elle me dit en regardant Gilbert  " C'est lui qui la sort ?.... " Je hochai la tête affirmativement...
- " Gilbert, tu donne un lavement à Sylvie et tu nous l'amène..."
Sylvie était suspendu par les poignets, un travail d'élongation et d'endurance qui était nécessaire pour pouvoir subir les assauts des mâles en rut et la perversité des femelles les plus vicieuses. Le club ne recelait pas que des tendres, et les femmes dominantes était parmi les plus durs et les plus intransigeantes.
Odette ouvrit les paquets et en sortis de magnifique tenue de latex, de la lingeries de cuir, des corsets et serre-tailles, une paire de cuissarde, des bottes et bottines, des escarpins, il y avait une là une garde robe complète de petite salope soumise. Toutes les pièces de cuir de bondage était ajustées à ses mesures, les corsets avaient été fabriqués en angleterre par des spécialistes du véritable corset victorien. Les articles cuir sm était allemand et le latex venait de hollande. Toute les chaussures venaient d'italie et était faites pour le pied de Sylvie. Elle souffrirait, cela étaient certain mais pas de la qualité de ses tenues. Le club veillait à ce que la meilleur qualité soit fournis aux soumis, ils le payaient d'ailleurs  trés cher de leur personne. Chaque membre se faisait largement rembourser sa cotisation d'adhérent par l'utilisation intensive des soumis et soumises. Seul les propriétaires d'esclaves était exonérés du paiement de l'adhésion. La contrepartie était la mise à disposition sexuel du soumis ou de la soumise pour les membres du Club..
Les essayages duréres plus de deux heures et il fallut prendre des notes sur les éventuelles petites rectifications à apporter à certaine pièces. Toutes les tenues de villes, chic et sobre, étaient des tenues pour des plans de sortie exhibitionen lieu public et si en apparence elles semblaient austères ou bourgeoises, en fait elles étaient toutes étudier pour dévoiler une chatte ou un sexe épilé, déballer une paire de seins ou la mouler exagérément, des matières toute transparente ne cachaient rien du corps de l'esclave, des fentes appropriées permettaient un libre accès aux trésors convoités, sous des dehors très sage, ce n'était que vice et perversion.
Les autres tenues affichaient clairement par le look fétish, la matière et la forme la finalité du vêtement. Quand au vêtements de ville...si l'on peut dire, ce n'était que mini jupe de cuir, mini short, ou pantalon hyper moulant.
Tout les soutiens- gorges laissaient les pointes de seins à l'air et faisaient la part belle aux anneaux de tétons.
Toutes les petites culottes étaient fendues et transparentes, mâles ou femelles ce ne pouvaient être que des petites putes dociles.
Odette, après ce travail méticuleux, se fit servir un thé et attrapa Sylvie par les seins, elle lui roula une longue pelle baveuse et lui fouilla la bouche de sa langue. Elle écarta d'une main adroite la fine résille élastique du string de Sylvie et chercha la moiteur du sexe tout épilé et soumis. La moule était toute baveuse, Odette mis son doigt à sa bouche et goûta la mouille de Sylvie..elle se recula un peu et lui envoya une formidable claque qui la fit tomber de coté dans le petit canapé. "Tu as jouis toute seule, petite garce.." elle l'embrassa de nouveaux et lui mordilla les lèvres. Relevant son tailleur étroit elle dévoila une gaine de cuir à 8 jarretelles, sa chatte se plaqua sur le visage de Sylvie qui suffoqua sous l'attaque, elle se fit sucer la moule en astiquant son clito jusqu'à l'orgasme avec un égoïsme parfait.
Odette se rajusta et me dis "Il faudra lui apprendre à bouffer de la chatte à ta chienne à bite...elle est très décevante.."
" elle pompe le mâle divinement bien, lui réponds dis je doucement...en plaquant mes mains sur les oreilles de Sylvie, " Odette un peu vexée répondit méchamment...
 "Après Mahmoud, elle fera moins la maligne...! son anus va être défoncé et au club je trouverai une bonne lécheuse pour profiter du spectacle et  jouir.... quand il la fera hurler..."

Par BERNARD - Publié dans : Sylvie, slave sexe
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