Il y avait sur le parcours de leur promenade un lot d'habitués, de voyeur et de matteur qui se branlait sur leur passage ou en restant derrière eux, à bonne distance. Après cette première période de dressage, Sylvie avait appris à ne jamais contester la moindre de mes plus petites décisions, son obéissance était total quel que soit la peur qu'elle pouvait ressentir. Comme à chaque retour de promenade, Mr Gilbert revenait le pantalon tendu par une grosse gaule qui déformais son pantalon. A leur grande surprise réciproque, d'un coup de cravache sec sur son petit short de cuir qui lui moulait la fente de sa chatte, je fis agenouiller Sylvie devant Mr Gilbert qui resta immobile sans plus savoir quoi penser.
"Tu veux te faire vider les couilles....? " lui demandais je...Il hocha la tête sans que l'on en comprenne bien le sens..
Oui ou non...? Je me retournais vers Sylvie " Vide le..! "
Elle baissa promptement le pantalon et sortis du caleçon un belle bite rougeaude, épaisse et tordu, avec de grosses couilles bien remplie qui pendaient, toutes poilues, elle le pris en bouche sans le moindre problème, et alors qu'elle le pompait avec application, je cinglais les fesses poilus de Gilbert d'un petit coup de cravache bien senti, il déchargea son foutre presque aussitôt, tellement il était excité, je tirais Sylvie en arrière par les cheveux et elle se pris la jute plein le visage, Gilbert avait des éjaculation trés abondante et les jets épais et crémeux se succédaient et paraissaient ne pas devoir s'arrêter. Le sperme aveuglait Sylvie qui tirait sa langue et se léchait les doigts, elle avalait goulûment les coulures et semblait lui être reconnaissante de toute cette semence. Gilbert émettait un râle sourd et se finissait la bite à la main. Après avoir tout léchée, Sylvie vint lui nettoyer la bite par des petits coups de langues. Je lui mis une petite fessée sur sa paire de seins et engouffrais ma queue à la suite de Gilbert, mais je pris tout mon temps pour la limer en bouche une bonne demi-heure, Gilbert se branlottais à coté et quand j' éclatais dans la gorge de ma chienne, je le repoussais aussitôt à ma place...sa première décharge passé, il fut beaucoup plus endurant et Sylvie resta agenouillée à la pipe pendant plus d'une heure...avant que Gilbert ne se vide une seconde fois je lui plaçais un god gonflable et vibrant dans le cul que je gonflas jusqu'à l'entendre gémir d'une douleur non feinte, je le mis en mode vibro et je laissais Gilbert se finir en bouche à son rythme...il lui caressait les petits anneaux de ses tétons quand de nouveau il se répandit en gros jus de couille laiteux et visqueux. Ses deux grosses couilles étaient vraiment des usines à foutre et je me promis de m'en souvenir par la suite. Sylvie lécha la moindre goutte et je congédiais sans autre forme de politesse un Gilbert tout surpris. J e dégonflais le god de Sylvie et me servis à boire.
Tu est quasiment prête lui dis je.